Le combat du siècle : Na'vi contre... Na'vi

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Ce jour-là, Fen'an était de mauvaise humeur. Cette nuit, il avait rêvé de son frère en train de se faire tirer dessus par les tawtutes dans leur machine et à pieds. Il ne comprenait pas pourquoi il faisait ce genre de cauchemar de temps en temps, et toujours aujourd'hui. Il savait que les songes avaient un sens, enfin, il croyait à ça, mais si seulement il pouvait rêver de ce qui n'allait pas et de comment le résoudre! Sauf que ça faisait très longtemps qu'il n'avait pas fait ce rêve, et ça l'avait tellement... surpris? En tout cas, il n'avait pas su se concentrer correctement à son entraînement matinal et il avait raté plusieurs fois sa cible, et sa distance d'erreur était très inhabituelle en plus! En effet, elle était... plus courte. D'habitude, sa marge d'erreur est assez grande et il peut toucher la cible. Là, elle est réduite mais il n'arrive pas à toucher la cible! Bizarre quand même...

En tout cas, pour dépensé son énergie, il était parti faire un tour. Il n'avait pas pris un Pa'li du clan, parce que ça lui rappelait qu'il n'avait toujours pas le sien et aussi parce que si il était énervé, ce n'était peut-être pas les sentations de la course qui l'aiderait à se détendre! Quoi que... Il fit des exercices d'assouplissement avant de partir. Mais croiser les jambes (position du lotus) et attendre pour se calmer comme les bouddhistes, ça, ce n'est sûrement pas lui qui le tentera le premier!

Cette fois encore, donc, il parti à pied. Il marchait rapidement, mais si les ancêtres des humains avaient comme point fort l'endurance, les Na'vis, eux, avaient directement cette endurance, et pas qu'un peu! Quoique, Fen'an n'était jamais allé jusqu'à ses limites. Peut-être pourrait-il avoir maintenant l'occasion de se tester?

En tout cas, marcher, il le fit, et pas qu'un peu! En effet, au bout d'un moment, la plaine laissa la place à la forêt. Cela l'angoissa un peu. Lui, il était né dans les plaines, ouvertes et pleines de cachette. La forêt, c'était un autre monde pour lui. Un monde qui avait des allures de renfermé. Alors le guerrier s'arrêta brièvement lorsqu'il arriva aux premiers arbres pour observer ce qui l'attendait. Il n'avaiit pas vraiment peur, il se sentait juste un peu démunit en ce lieu. Mais ça ne l'empêcha pas de s'y rendre, continuant ainsi sa route. Il lui semblait que cette forêt appartenait à tous le monde, et pas uniquement aux Omaticayas, mais de toute façon, sur le coup, il n'y pensait pas vraiment.

Les bêtes du coup pouvaient aussi être différentes de celle sde la plaine. Au bout d'une nouvelle heure de marche, Fen'an se dit qu'il avait été idiot d'entrer ici comme ça, juste armé de son couteau. Et si il rencontrait une bande de nantangs? Il serait capable de s'en débarasser si la meute n'était pas trop nombreuse, mais tout de même, le risque était assez présent! Et hélas, les nantangs, malgré leurs nombreux échecs, semblaient en retenir de la méfiance, mais ils n'abandonnaient pas à essayer de chasser le Na'vi.

Bref, la forêt, c'était peut-être une escale de trop. Fen'an ralenti l'allure jusqu'à s'arrêter et s'asseoir sur un tronc. La végétation d'ici était différente de la sienne. Mais c'était plutôt sympa. Il entendit vaguement le vol d'un ikran au loin, qu'il reconnu lorsque ce dernier poussa un cri. Il connaissait très peu ces bestioles, car presque aucun cavalier n'en chevauchait. En tout cas, le peut qu'il en savait ne lui indiquait pas un danger. De plus, celui qui volait dans le coin avait probablement un "propriétaire" qu'il portait peut-être actuellement sur son dos, qui sait. En tout cas, le cavalier était sur le qui-vive. Sa non-connaissance des lieux commençait à le rendre vraiment méfiant, voir paranoïaque. Ici, les endroits d'où pouvaient sortir l'ennemi étaient tellement nombreux! C'est peut-être pour ça qu'il ne remarqua pas que quelque chose approchait de lui par derrière.

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Ce jour là, un jour paisible d'été s'éveilla sur Pandora . C'était un après-midi ensoleillé, le travail avait été suspendu car des troupes de la RDA menaçaient le village dans la forêt interdisant donc la chasse aux Na'vis du village. Je me trouvais dans les sentiers du village qui se trouvait dans les montagnes hautes qui nous servaient de protection et de cachette. Un petit vent frai traçait son chemin entre les grandes feuilles géante qui servaient de porte pour la plupart des huttes qui nous servaient de résidences. C'était une journée dédiée à passer du temps ensemble étant donné que personne ne partait. Personne sauf moi bien entendu qui étit l'exception. Je n'avais en effet que faire de ces pertes de temps. Je voulais aller voir Eiwa et écouter la forêt pour méditer en paix. Pour cela, il me fallait traverser l'autre versant plus sécurisé et sans RDA de la montagne et me rendre dans une forêt qui séparait mon peuple et celui des cavaliers des grandes plaines....

Je me guidais tant de bien que de mal entre les roches immenses. Très haut au dessus de moi j'entendais les Ikrans des montagnes qui criaient. La verdure était abondante. Je décidais d'y marcher pour ne pas me faire mal aux pieds. Mes pieds se mouillaient dans l'herbe fraiche et la terre se retournait sous mes pas. J'aperçus bientôt les premiers feuillages au loin, plus tard, les arbres apparaissaient plus distinctement, enfin, je me trouvais en face. J'allais m'engager lorsqu'un cri se fit entendre. Je reculais et je me demandais ce que c'était. Je crus d'abord que c'était les hommes mais un deuxième cri se précisa : C'était un Ikran. Je le cherchais des yeux et je l'aperçus finalement au dessus de la forêt assez loin. Dans mon clan, les chevaucheurs du sud, on disait que lorsqu'un Ikran seul t'appelai, c'était qu'il voulait te montrer ton destin. Sans attendre, je décidais d'écouter les dires des anciens et je m'engageais en courant dans la forêt. Je courrais sur les hautes branches pour me protéger des créatures sauvages et féroces que j'appelais "frères" et "soeurs" pourtant du dessous. La lumière des rayons du soleil étaient filtrés par les feuillages laissant apparaitre des nuances ombragées sur les branchages et sur moi même. Je désespérais d'arriver en dessous de l'Ikran après environ vingt minutes de course accélérée. Je m'essoufflais aussi... J'allais finalement m'arrêter en pensant que j'avais mal juger la distance qui me séparais de l'Ikran lorsque ses cris s'arrêtèrent. Je m'arrêtais subitement en me demandant ce qu'il s'était passé... Je regardais le ciel à l'affut...

Soudain un bruit rettentit autour de moi. Je regardais partout mais je ne voyais rien... Le stress m'envahit soudain. Je vis une ombre bleu passer non loin devant. Elle se trouvait environ deux où trois branches en dessous de moi... Je regardais et j'avançais discrètement. Après quelques minutes de rapprochement et de stress, je distinguais finalement l'allure d'un Na'vi des cavaliers des grandes plaines... Alos que j'allais repartir, un cri de l'Ikran retentit à nouveau. Je compris que mon destin était de combattre ce Na'vi. Je décidais de le scruter avant de l'approcher. Je le regardais avec attention. Il avait du se rendre compte de ma présence car il était très stressé en tout cas en apparence. Ce na'vi était baraqué et avait une allure imposante... De toute manière, tous les cavaliers du sud avaient cette particularité qui les différenciait des autres peuples. Je me rendis compte que j'avais oublié de prendre mon arc. J'allais rebrousser chemin avec regret car je pensais que je n'avais aucune chance lorsque je m'aperçus que mon "adversaire" n'en avait pas non plus. Je fus surpris mais content de pouvoir me mesurer à lui tout de même. J'appréhendais quand même le combat car les cavaliers des grandes plaines avaient la réputation d'être brutaux. Je me dis que de toute façon Eiwa déciderait de l'issue du combat. Après de nombreuses minutes d'observations, je sortis mon couteau et je pris une liane en main. Je sautais et j'atterris derrière lui, dans une petite clairière. Je regardais son dos en attendant qu'il se retourne puisqu'il savait à présent que j'étais là. Je le regardais et hésitais à parler. Je finis par me lancer :

"Bonjour frère des grandes plaines, je m'appelle Ti'dart." dis-je distinctement.

hrp : désolé 'avoir mit du temps j'ai eu un beug j'ai du tout recommencer --"

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[Arrête, t'a été plus rapide que moi maintenant Razz

& je connais ça, le beug, je déteste quand ça m'arrive >.< ]

Fen'an ne remarqua pas tout de suite les mouvement vers un buissons. Puis, enfin, il les remarqua. Il eu alors l'idée de continuer à regarder un peu partout. On peut certes se concentrer sur un point, mais on peut tout de même voir ce qu'il y a autour, et le champ de vision des Na'vis est également large. Alors il s'appliqua à tester cette technique. En effet, si l'autre ne se rendait pas compte qu'il était repéré, il pourrait refaire ça plus tard, lorsque ça pourrait se montrer très utile. Et d'ailleurs, ça pouvait aussi l'être maintenant. En effet, il avait reconnu la peau bleue des siens ainsi que la haute taille des Na'vis, mais le fait qu'il ne se montre pas ne signalait rien de bon. Et Fen'an n'avait aucun ami assez farceur pour lui jouer un coup pareil. Alors il se prépara à saisir osn couteau. Oui, pour un Na'vi, il était aussi très méfiant envers ses frères. Après tout, les guerres entre les tribus ont existées...

Soudain, la tache bleue ne fut plus là. Le guerrier se contrait à l'immobilité, mais un heureux réflexe lui fit tourner les oreilles vers l'arrière. Il entendi ainsi le faible bruit que fit l'autre Na'vi en atterissant sur le sol couvert de végétation. Se fiant à son ouïe et à son instinct, Fen'an continua à faire mine de ne pas l'avoir repérer lorsque l'inconnu dans son dos parla.

"Bonjour frère des grandes plaines, je m'appelle Ti'dart."

Aïe, dès qu'on passait en mode politesses et bavardage, le cavalier perdait de son assurance. En effet, il était très peu à l'aise dans les dialogues, raison pour laquelle il préférait s'entraîné plutôt que d'aider au village. Raison aussi pour laquelle il connaissait peu d'autres cavaliers...

Le mâle se retourna net pour découvrir un Na'vi, naturellement. Il su aussitôt que ce n'était pas un membre de sa tribu. Il avait beau y être peu de temps, il en connaissait tous les visages, et une impression de familiarité l'avertissait lorsqu'il avait en face de lui quelqu'un de son clan. Hors, là, c'était un parfait inconnu. Il avait l'air agile, ce devait être un chevaucheur. Quoique, les Omaticayas peuvent également être ainsi. En bref, de toutes les tribus, celle des cavaliers est bien celle dont il est le plus facile de distinguer ses membres! Avantage ou inconvénient?

- Kaltxi (Bonjour) frère chevaucheur. Je suis Fen'an.

Il était encore sur ses gardes, donc il ne ressentait pas encore le malaise habituel en présence d'un autre Na'vi. Et puis, avec un Na'vi d'un autre clan, ce n'était pas pareil... Et puis il espérait qu'il avait bien supposé. Le guerrier n'aimait pas dire des bêtises, il avait alors tout de suite l'impression d'être ridicule.

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J'étais donc devant mon adversaire. Dans son dos. J'avais les poings fermés et le fait qu'il ne bougeait pas me laissait perplexe... Je regardais les points luminescents de son dos en attendant qu'il se retourne. Il réfléchissait probablement mais l'attente me parue longue... Le cavalier des grandes plaines à l'allure imposante se retourna à mon appel. Il me répondit après quelques secondes d'apparentes hésitations. J'avais remarqué qu'il ne savait pas de quel clan j'étais vu la tête qu'il faisait. Il était très expressif, comme tous les cavaliers que j'avais vu jusqu'ici d'ailleurs. Je le dévisageais en quelques secondes. il avait l'air à l'affut. Je regardait son couteau aiguisé. Je me dis que ce n'était pas la peine de tourner autour du pot. Je reculais de deux pas et je m'arrêtais net. Je me décidais enfin à ouvrir la bouche :

"Je n'irais pas par quatre chemins !" dis-je d'une voix claire.

"Je suis un Na'vi des chevaucheurs des mers de l'Est . Eiwa m'a conduit jusqu'à toi et mon destin est de t'affronter en duel !"

Je reculais d'encore quelques pas. Un vent se fraya un passage entre les troncs d'arbres et créa un courant d'air frai qui me fit frissonner. Les feuilles mortes s'envolaient haut vers le ciel. C'était dit ! Je levais le bras et pris mon couteau de guerrier. Je me baissais et me mis en position de combat. Je m'entrainais souvent au combat rapproché pour combler le point faible des archers, mon point faible. J'étais donc devant lui, couteau à la main. J'étais à présent à l'affut du moindre mouvement, du moindre souffle, du moindre battement de paupière de mon adversaire.

La tension montait et mon cœur se mit à battre plus fort. La carrure de mon adversaire était tout de même surprenante. Malgré mon agilité et ma mai trie du combat rapproché, je devrais utiliser les arbres et mon environnement si je ne voulais pas finir K.O. rapidement. Une graine de l'arbre des âmes de Eiwa, cet esprit très pur et d'un blanc éclatant, vint passer devant nous. Comme un signe. Le cri de l'Ikran retentit et je contractais mes muscle, paré à passer à l'attaque. Les bruits des oiseaux et des animaux de la jungle dense camouflaient un peu nos souffles. Je décalais mon pied droit vers la droite projetant de la poussière sur la droite. Je fronçais les sourcils, j'allais attaquer...

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Au regard de l'autre Na'vi, je fini par comprendre que je laissais trop transparaître mes pensées. C'est dangereux de laisser un adversaire lire en toi. Evidemment, je ne suis pas encore sûr que ce Na'vi est un ennemi, mais son attitude m'incite à la prudence. Il n'a pas démenti être un chevaucheur, ça doit être le cas. Quand à moi, je dois fermé mon visage et ne rien laissé flitrer que ce que je veux, idem pour mon regard. Parce qu'on peu transmettre beaucoup de choses par les yeux, je l'ai appris grâce à mes copains d'entraînement...

Fen'an n'avait pas plus d'attitude agressive que tout à l'heure, mais il était prêt à réagir. Quand ils faisaient des batailles - d'entraînement ou pour rire - avec ses camarades, certains l'attaquaient parfois par surprise, ce qui donnait souvent lieu à de scombats comme "Tous sur Fen'an" ou "Tous sur XXX!".

"Je n'irais pas par quatre chemins !"

La phrase mit Fen'an sur ses gardes. Ce Na'vi avait l'air de l'avoir approché ainsi pour une raison précise, et il n'était pas sûr de vouloir savior laquelle. De son côté, il s'arrangeait pour garder un masque neutre. Et ça aussi, il savait le faire, très bien même.

Mais je suis idiot... Pourquoi voudrait-il se battre? Il c'est pas chez lui, ça se voit maintenant que j'y pense. Il n'est pas autant à l'aise dans la forêt que les Omaticayas. Et si il avait eu des intentions agressives, il l'aurait montré dès le début. Ou alors...

"Je suis un Na'vi des chevaucheurs des mers de l'Est . Eiwa m'a conduit jusqu'à toi et mon destin est de t'affronter en duel !"

Bingo. Je me doutais d'un truc comme ça. Ca m'arrange, les duels en règles, c'est ce qui me connais bien! Comme les autres d'ailleurs. Mais il est bizarre ce chevaucheur - oui, s'en est bien un, j'avais raison - de penser un truc pareil juste à cause d'une coincidence. M'enfin si il veut se battre, je ne suis pas contre, je pourrais ainsi tester mes capacités!

En fait, Fen'an était presque sûr de gagner. Depuis qu'il était petit, il savait ce qu'il voulait faire : guerrier. Même avant la mort de son frère, il le savait, et il s'entraînait depuis très longtemps à ce but. Hors, Ti'dart n'avait pas la stature d'un guerrier. On voyait cependant qu'il s'y était un peu entraîné. Il était sûrement archer et voulait combler ce point faible. Mais il avait peu de chances. En effet, le cavalier aussi était agile comme fort, et il savait aussi se servir de son milieu.

Les deux adversaires commencèrent alors à se tourner prudement autour. Fen'an prit son couteau, comme le chevaucheur, et ils se mirent en position de combat et ils se mirent alors à tourner l'un autour de l'autre. Très vite, le guerrier remarqua une failli ici et là dans la garde de son adversaire, mais ça pouvait aussi être des pièges. C'était classique de laisser une ouverture dans une garde pour inciter l'ennemi à y attaquer pour mieux le prendre par surprise. C'est alors qu'une graine d'Eywa passa entre eux, sans y rester. Fen'an se demanda si elle approuvait par là leur combat. Etrange. Cela venait-il vraiment d'Eywa? C'était absurde! Mais bon, il avait droit à un combat contre un ennemi, il n'allait pas s'en plaindre! Au loin, le cri de l'ikran retentit à nouveau.

En face, le chevaucheur contracta ses muscles, toujours à l'affut du moindre changement chez Fen'an. Ils étaient aussi attentifs l'un que l'autre. Mais cela se voyait que Ti'dart allait attaquer. Il se préparait trop lentement, et ses gestes étaient si évidents! Alors le cavalier en profita.

Tout d'un coup, sans bander de muscle avant ni ralentir son rythme, il bondit vers le chevaucheur pour porter un coup.

Le combat commençait.

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Je regardais attentivement mon adversaire. Adepte du combat rapproché, je savais ce qu'il fallait faire. Je lus un instant la confiance du cavalier des plaines dans ses yeux mais d'un coup son visage se ferma ne laissant plus transparaitre d'émotions. Il devait avoir comprit qu'il laissait trop ses émotions prendre le dessus sur son visage... Il était en fait perspicace.

Je m'approchais de lui tout en tournant comme l'art de combat des na'vis l'indiquait. Je me préparais. Je contractais mes muscles d'un coup et j'allais lancer une attaque lorsque l'autre na'vi, mon adversaire, me sauta dessus et m'envoya un coup vers le ventre. J'esquivais avec rapidité, il semblait visiblement oublier qu'un chevaucheur des mers de l'est était très agile. Il avait foncé tête baissée. J'esquivais donc et je pris la jambe de mon adversaire de mains fermes. Je pris toute ma force pour le faire tourner et le lancer en l'air. Je lâchais un cri pour me donner plus de force.

"RaaaaaaAAAAAAAAhH !"

Le lançais et lâchais le na'vi mais je n'avais pas bien considéré son poids et il tomba juste par terre avec quelques roulades. Je reculais d'un bond en arrière et lorsqu'il se relevait je distinguais bien ses muscles. Sans une seule hésitation, je décidais de prendre l'avantage du terrain en reculant dans la forêt et en sortant de la clairière. Les rayons du soleil se firent peu à peu plus rares et je me hissais sur une branche géante qui faisait deux fois ma taille. Je fixais anxieusement mon adversaire. Lorsqu'un combat entre deux na'vis était lancé, ces deux na'vis feront tout pour en sortir vainqueur.

Je sautais de branches en branches avec agilité et facilité car j'étais habitué à en faire de même dans les montagnes. La forêt était un bon moyen pour moi de prendre l'avantage. Rapidement, je décidais de sortir du champ de vision de mon adversaire. Je sautais sur une branche faisant croire que j'étais tombé et je me faufilais avec rapidité dans les buissons, couteau en main. Je ressortis ma tête quelques secondes plus tard en faisant attention de ne pas laisser dépasser ma queue. Je me trouvais maintenant derrière lui. Je ne faisais aucun bruit, comme en période de chasse. Ma main tremblait faisant elle-même trembler le couteau qu'elle tenait fermement. La lame avait un léger reflet qui éclairait modérément mon visage. Je n'étais plus qu'à quelques mètres de lui et je pourrais bientôt, en m'approchant un peu plus, sortir et l'attaquer en lui sautant dessus. Je m'avançais encore un peu plus. Il se demandai où j'étais même si il essayait de le cacher. Je voyais du coin de l'oeil ses yeux me chercher vigoureusement. Je m'apprêtais à l'attaquer. J'allais rentrer en action lorsque je me rappelais que je ne ferais pas le poids face à lui au niveau force. Je regardais autour de moi en cherchant une liane. J'en trouvais bientôt une. Je reculais et sans faire exprès, je marchais sur une feuille morte. Mon erreur était irréparable. Il savait à présent où j'étais. j'avais vu son oreille bouger suite à ce bruit.

Pris par la panique, je me mis à courir en direction de la liane que je coupais d'un coup agile de mon couteau. Je la pris de mes mains et j'attaquais de front en rangeant mon couteau. Je sautais au dernier moment sur une branche et je me balançais, les bras tendus, vers mon adversaire. Je lançais la liane vers lui pour faire diversion. Celle-ci, par sa grandeur, le cachait de ma vue. Je sortis mon couteau, attaquant de haut mon adversaire...

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Ti'dart se trompait, Fen'an était beaucoup trop expérimenté pour attaquer n'importe comment. Aussi devina-t-il la riposte du chevaucheur, et il se laissa faire en voyant qu'il pourrait rapidement se remettre debout et contre-attaquer sans que son adversaire s'en doute. Malheureusement, l'autre Na'vi l'envoya mal et Fen'an ne put pas se redresser assez vite, car il n'avait pas révu ça. Il avait aussi sous-estimé la rapidité des chevaucheurs, mais on ne pouvait pas vraiment l'en blâmer car c'était la première fois qu'il se battait contre un membre de cette tribu.

Ti'dart du en tout cas comprendre qu'il était en danger car il y aussitôt se dissimuler dans la forêt. La montagne devait ressembler à cet environnement car le cavalier ne réussi pas à le repérer. Mais il sentait un regard sur lui. Il constata alors avec agacement que le terrain ne jouait pas en sa faveur. Mais il restait décider à gagner. Les guerriers sont comme ça : têtu. Voir plus.

Soudain, une feuille craqua. Je me suis aussitôt retourné vers l'endroit du bruit. Je me doutais qu'il m'approcherais par derrière, aucun guerrier connaissant un minimum son affaire n'attaquerait pas devant, l'effet de surprise en serait perdu. Et j'ai fait exprès de rester concentré devant pour prévenir toute attaque venant de derrière.

Le chevaucheur se précipita alors vers une liane qu'il coupa. Je ne savais pas ce qu'il voulait faire mais je me tournais vers lui, prêt au combat. Cependant, il ne me laissa pas le temps de placer un coup et bondit hors d'atteinte sur une branche. Il faudrait que je m'entraîne dans ces lieux aussi, ça m'aiderait. Mais pas maintenant. Si jamais je tombe, se serait une opportunité pour lui et un risque trop grand pour moi.

Il saute, lance la liane vers moi. C'est une diversion, je le sais. Je connais l'art de la guerre mieux que lui. Je l'apprend depuis plus longtemps. Je le pratique depuis plus longtemps, avec des maîtres. Lui, il est surtout un archer. C'est différent. Mais il sait se servir d'un couteau.

Je fais un bond en arrière. Ainsi, il ne pourra pas me blesser. Il a sauté, car il sait qu'il ne doit pas attendre que je comprenne l'astuce. Sauf que je la connais déjà. Je l'ai trouvée très vite lors d'un entraînement au combat. Il n'y a pas de liane autour de lui, pas de branches à laquelle se raccrocher, car j'étais au milieu d'une clairière. Il ne pourra pas modifier sa trajectoire. Il va atterir, et je serais là pour l'accueillir.

Fen'an s'élance vers la zone d'atterissage du chevaucheur. Il sait que ce dernier le verra arriver, mais il est très difficile de porter un coup en l'air et en si peu de temps. Cependant, le cavalier les sait rapide, alors au dernier moment, il tourne autour de Ti'dart et porte un coup de toutes ses forces dans son dos. Et même en portant ce coup, il a une main de libre et ses pieds sont ancrés dans le sol, prêt à esquiver. Malgré cela, la force dans son coup était très grande grâce à son élan et à une multitude de mouvements dans son corps, qui ne prenaient pas beaucoup de place mais qui emplifiaient la puissance [c'est vrai, on apprend ça au karaté ^^ ]. C'est l'art de la guerre, être prêt à être attaquer même lorsqu'on porte un coup, et toujours avec une main pour se défendre. Être sur ses gardes, toujours, et surveiller attentivement son adversaire.

Ce sont les clés de la victoire, entre autre.

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[je sais c'est un mawashi geri xD j'en ai fais quatre ans.]

J'arrivais donc de front, contraint à l'attaquer comme je le pouvais. Je sortis donc mon couteau rapidement. Mon adversaire lu étrangement facilement mon attaque. Il l'esquiva en reculant facilement. Je me trouvais en l'air et après une petite hésitation il m'envoya un coup de pied que je ne réussis pas à éviter. Il me l'envoya dans le dos mais je l'avais suivis des yeux. J'avais réajuster mon corps pour subir un peu moins de dommages. Il me tapa à côté de la colonne vertébrale. J'avais en effet fais en sorte qu'il ne me touche pas la colonne vertébrale car cela aurait pu m'handicaper. Je volais par terre. Je m'arrêtais de ma main gauche et je me relevais rapidement. J'avais gardé tant de bien que de mal mon couteau dans ma main droite. Je me mis à marcher à reculons. Mon adversaire m'avait remit dans la clairière car il avait comprit que tout à l'heure j'avais essayé de me donner l'avantage. Je reculais à une bonne distance et je rangeais mon couteau. Je me mis alors à réfléchir à un moyen efficace de l'avoir...

Je remarquais un gros buisson épineux non loin de moi. Il était cependant à une distance considérable de mon adversaire, je ne pouvais donc pour l'instant pas l'utiliser... Je regardais à nouveau autour de moi... Il n'y avait rien. Pas de liane, pas de roches, rien. Il en avait visiblement fait exprès. Je me mis alors en position de combat à mains nues. Une technique de combat rapproché qu'un sage de mon village m'avait, durant ses jours jeunes, enseigné avec passion. Je mis alors un pied devant et un pied derrière. Je me trouvais face à mon adversaire. Malgré sa visible endurance, j'avais l'avantage de la rapidité et de l'agilité. Après une analyse plus longue de son corps (de ta fiche de personnage xD), je me rendis compte qu'en fait nous avions à peu près la même masse musculaire. Je repris alors confiance en moi. Cela, je le fis montrer d'un petit sourire narquois. J'inclinais alors ma main gauche vers le haut et j'ouvris totalement ma main droite devant moi c'est-à-dire devant mon adversaire.

Je décalais un pied vers le droite et je créais ainsi un petit nuage de poussière qui s'éleva. L'Ikran était désormais plus près de nous, je le savais par ses cris qui se rapprochaient. Je m'avançais doucement mais surement vers mon adversaire. Un cri plus strident de l'Ikran déclencha comme un signal et je fonçais vers mon adversaire. Je feintais rapidement d'un coup de poing mais comme je le savais, il l'esquiva facilement. Alors, je profitais de l'élent émit par mon coup de poing droit pour me retourner et envoyer un coup de pied puissant dans la tête de mon adversaire, vers le haut. Je me retournais et me remis en position de combat pour envoyer vite un second coup de poing dans le ventre du Na'vi. Il devait être sonné de ma précédente attaque et il n'avait donc que très peu de chances d'esquiver cette seconde offensive. D'ailleurs, je me rendis compte que lui n'était pas très offensif. Il se contentait seulement de parer et de riposter à mes attaques. Je ne pensais pas cela des cavaliers mais il semblait visiblement que je m'étais trompé à leur sujet...

Le vent souffla une bourrasque dans mes cheveux lorsque je touchais mon adversaire au ventre. Je remarquais qu'un tourbillon de feuilles tournait autour de nous. Cela me donnait plus de motivation encore. J'avais l'impression que la nature réagissait à notre combat et que nous réagissions à elle. Cette osmose faisait de ce moment rapide un instant étrange mais pas désagréable. Je continuais donc ce combat, plus motivé que jamais !

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L'ikran se rapprochait, on le savait grâce à ses cris. Ti'dart s'arrangea malgré tout pour minimiser les dégâts. Ensuite, il fit volte face, rendant impossible une deuxième attaque pour le moment - Fen'an n'avait pas été assez rapide et un deuxième coup aurait trop de chances d'être esquivé. Et puis le chevaucheur se mit à chercher quelque chose qui pourrait l'avantager du regard. Grosse erreur que de chercher de façon si ostensible, et le cavalier pu ainsi savoir ce que regardait son adversaire, et lorsque son regard s'arrêtait sur quelque chose, il pouvait deviner que ce dernier essayerait peut-être de l'utiliser, comme ce buissons là-bas, trop loin de Ti'dart pour qu'il puisse s'en servir poue le moment. Mais malgré cela, le guerrier ne perdait pas de vue les agissements de son ennemi.

Le chevaucheur finit par remarquer que nos masses musculaires n'étaient pas si différentes que ça. Malgré tout, je sais que ma force est supérieure à celle de nombre de mes camarades, et même d'aînés! En effet, ce n'est pas toujours le physique qui donne toutes les informations! Et puis j'ai l'impression qu'il se croit supérieur en agilité et en vitesse. Moi, je me déplace principalement à pied, pas sur un Pa'li, je suis donc endurant, et on travaille aussi l'agilité! Il me sous-estime sur ce plan là, je dois m'en servir, le surprendre.

Ti'dart afficha alors un sourire narquois. Puis, soudain, il ouvrit sa main droite devant le visage du cavalier et il créa ensuite un nuage de poussière. L'ikran se rapprochait encore, et, comme un signal, le chevaucheur bondit alors vers Fen'an. Mais la poussière pouvait jouer dans les deux camps : en effet, ce genre de déstabilisant est toujours utilisé pour distraire l'adversaire avant une attaque, mais c'est un peu trop "primitif" pour le guerrier, et le chevaucheur avait attaqué trop lentement après. Son adversaire donna plusieurs coups dans le vide. Un tourbillon de feuille se rajouta à la poussière qui retombait, lui donnant ainsi l'illusion que Fen'an avait pris ses coups. Mais en réalité, il avait frappé un morceau de bois laissé là par le mâle.

Le chevaucheur est toujours aussi motivé. J'ai du mal à comprendre pourquoi il désire tant combattre. Moi aussi j'aime ça, mais sans raison, c'est un peu idiot. Hors de question, cependant, de perdre!

Pendant que Ti'dart préparait son coup, je me suis penché pour mettre une buche en équilibre devant lui pour jouer mon rôle. Je suis fort, et je me suis entraîné à utiliser mon terrain en entraînement. Ca a été rapide et sans bruit. Le chevaucheur lui-même n'aurait sûrement pas fait mieux. Et puis je me suis évaporé dans la forêt. Au final, c'est comme dans les plaines : il y a des buissons, de l'herbe, des fougères, et je peux m'y dissimuler. L'autre guerrier est plus habitué aux montagnes,e t je sais qu'ils n'ont pas autant de végétation. Certes, je suis peu coutimier des arbres, mais ce n'est pas grave, je peux m'en servir quand même. Je suis une ombre parmi les végétaux. J'ai déjà chassé, surpris d'autres Na'vis, même de mon clan.

Fen'an fit discrètement et en silence le tour de son adversaire pendant que ce dernier continuait à donner des coups au tronc. Alors qu'il se remettait en position après une de ses attaques, Fen'an bondit silencieusement et avec force et rapidité de sa cachette. Ses deux poings étaient prêts à frapper. En face de Ti'dart, le nuage d epoussière était toujours là, et il ne pouvait pas encore voir la vérité. De son côté, Fen'an frapap une première fois à la colone vértébrale puis aux côtes. Ainsi, il serait mis K.O pendant assez de temps pour qu'il en profite...

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Je frappais une deuxième fois tandis qu'un nuage de poussière se forma autour de moi. Je ne voyais plus mon ennemi. Le deuxième coup se fit plus rude. Je sentis alors que je ne frappais plus mon adversaire. Celui-ci, croyant que je ne l'avais pas vu, se glissa par derrière. Il était vraiment naïf de croire que j'allais resté là comme un idiot à frappé un vulgaire tronc d'arbre dont j'avais deviné l'identité grâce à la matière rugueuse que mes pieds frappaient. Je fus déçu qu'il me sous-estime à ce point. Cela me donnait la rage. Je m'énervais et alors je décidais de me prendre à son jeu. Je frappais l'arbre en lui faisant croire que je n'avais toujours pas comprit. En y repensant je me disais qu'il me prenait vraiment pour un idiot ! Je gardais les oreilles prêtes à m'informer.

Le nuage de poussière était maintenant presque dissipé. Même si il faisait en sorte que je ne l'entende pas, je savais qu'il se trouvait derrière moi. Je tournais ma tête de moitié d'un coup et je vis distinctement son visage. Il m'envoyait un coup vers la colonne vertébrale. J'esquivais vers la droite d'un coup très rapidement et je pris le Na'vi, rageant toujours qu'il m'ait sous-estimé à ce point. Je le balançais par terre et lui sautait dessus. Je le prit avec force et agilité et, connaissant désormais son poids réel, je pus facilement bien doser sa propulsion que je fis avec mes jambes sur son torse alors que toute la poussière s'était dissipée et le vent s'était arrêter l'espace d'un instant.

Je l'envoyais avec une grande puissance grâce à l'impulsion de mes jambes elles-même bien entrainées par les sentiers rocailleux de la montagne. Je l'envoyais vers le buisson épineux, il tomba dedans. Je ne le quittais bien sur pas des yeux. Je profitais de sa position où il ne pouvait pas me voir pour aller dans son angle mort me cacher avec la plus grande discrétion que je pouvais. Je fis attention à ne pas faire dépasser ma queue. Je sortis mon couteau, il était temps de passer à l'acte final. Il était maintenant bien blessé non seulement par mes coups mais aussi par le buisson épineux dans lequel je venais de l'envoyer. Il était désormais temps de l'achever ! Il ne pouvait pas me voir. Comme j'avais déjà attaqué par l'arrière, je me glissais devant lui mais suffisamment loin et profond dans la jungle pour ne pas qu'il ne me voie. Je ne faisais pas de bruit. Je sentais quand même la douleur du cou qu'il m'avait donné avant. Je savais que je pouvais le battre. J'étais à l'affut. Je préparais mon couteau en cherchant une façon de l'abattre d'un coup final... Le vent s'était complètement arrêté et l'Ikran ne se faisait plus entendre. C'était le calmeplat. Le na'vi se relevait. Je le fixait...

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Hélas, Fen'an avait oublié un détail : la texture du tronc trahissait aussitôt son absence. Il ne pouvait y avoir pensé car lorsqu'il avait utilisé cette technique avec ses camarades, personne n'y avait jamais fait attention, et les guerriers expérimentés n'étaient alors pas là pour leur donner des conseils avisés. Apparement, si ils avaient été présents, ils auraient dit un truc du genre "Ce n'est pas une bonne idée, tu seras trahit au premier coup." Et ils auraient eu raison.

A nouveau, Ti'dart pris sa jambe pour l'envoler dans les roses - façon de parler, évidemment. Il connaissait le poids de Fen'an maintenant, et il avait l'air en colère. Mais instinctivement, le cavalier se prépara de la même manière que la dernière fois. Le chevaucheur l'envoya avec une force non négligeable mais il n'avait pas autant travaillé ses muscles que Fen'an, et même lui aurait du mal à déplacer un Na'vi, donc se genr ede tour se jouait surtout sur le déséquilibrage de son adversaire. Le guerrier fut alors envoyé vers ce bon vieux buissons épineux repéré tout à l'heure par Ti'dart. Mais grâce à de discrets appuis lors de son atterissage, il se reçu de manière impecable mais avec assez de bruit pour qu'on pense qu'il c'était fait mal. Et dans les plaines, on trouvait aussi ce type de buisson et Fen'an avait alors eu l'idée de s'insensibilisé aux épines. Il s'en fécilitait aujourd'hui.

Le chevaucheur se placa alors dans son angle mort. Mais en général, quand on se place de façon à ne pas être vu, on ne peut pas voir non plus. Ce fut son cas, surtout que le buissons cachait bien le corps du Na'vi. Aussi il put profiter à nouveau du terrain pour s'en extirper discrètement et sans un bruit [et ne me fait pas encore le coup du "Il était pas discret et je l'ai vu" y peut très bien se déplacer en silence aussi comme Ti'dart l'a fait dans les branches! ^^ C'est pas méchant ni rancunier hein Razz

]. Son adversaire se préparait pour le coup final et pour l'heure, c'était le calme plat.

Fen'an en profita pour faire le tour du chevaucheur par derrière - toujours en silence et en se cachant bien sûr, sinon autant arriver directement par-devant! Il avait déjà son couteau en main et ressera sa prise dessus. Sa queue était collée à ses jambes, ne risquant ainsi pas de faire du bruit en effleurant un quelconque brin d'herbe.

Enfin, le cavalier fut dans le dos du chevaucheur. Alors, toujours en silence, le guerrier arma, et son coup parti avec la vitesse de l'éclair vers la colonne verbétrale, encore, mais au niveau du cou cette fois, et il cherchait à frapper avec le pommeau de son couteau, donc le sifflement de la lame ne pouvait pas trahir sa présence.

Il pensait vraiment avoir tout prévu cette fois.

[C'est Fen'an]

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