Retour chez les seins [Sauvetage d'Ateyo ACT3]

La bataille avait été longue pour les humains. Sans qu'aucun ne s'en rende compte un groupe d'une dizaine de chasseur était caché dans les arbres attendant la fin des hostilités pour intervenir et reprendre l'enfant.

Ce n'est qu'à la fin de la bataille et au moment où le marcheur de rêve allait partir avec Ateyo que les chasseurs sortirent de leur cachette tout en prenant tout de même soin d'avoir une flèche de prête à tirer au cas où un humain aurait la folie de s'en prendre à eux ou carrément à l'enfant. C'est pour cela que chaque chasseur se trouvant sur un arbre ou sur son pa'li avait un humain comme cible.

"Oei nagati Kameie !"

Celui qui dirigeait le groupe de chasseur le salua en retour.

(langage na'vi) Où comptais-tu allé avec l'enfant marcheur de rêve? Nous sommes venus le reprendre défois que tu aies dans l'idée de le ramener chez les vôtres. Alors donne-le moi et nous partirons aussitôt.

Ca ne rigolais pas vraiment avec celui-là. Il faut dire qu'il avait reçu des consignes venant de Tsu'ka et qu'elles étaient on ne peut plus clair : ramener son enfant sain et sauf.

Anderson regarda les Na'vi approchaient, un Na'vi qui semblait être le chef du groupe lui rendit son salut. Puis il l'écouta parler, Anderson soupira, ce n'était pas se qui avait été convenu. Il sentit que la situation allait tourner mal, il jeta un coup d'œil à Okami. Puis se qu'il pressentit arriva, le capitaine MacHenzy arriva d'on sait où, Anderson n'aimait pas ça, il devait être d'un un hélicoptère en direction de la Base One. Il prononça des paroles juste juste avant d’ouvrir le feu :

- Nous voilà, Anderson, on s'occupe d'eux !

Anderson fit la seul chose qu'il pouvait, il sauta sur le Na'vi, tombant sur lui. Il posa sa main sur l’étui de son poignard car le Na'vi croyez qu'il l’attaquer. Alors qu'il venait de lui sauvé la vie, car une rafale de mitraillette lourd volaient au-dessus d'eux. Soudain, il entendit plus un bruit, l'hélicoptère d'Okami, venait de s'interposé entre les Na'vi et les Hommes du Capitaine MacHenzy. Il se releva lâchant le Na'vi, Il recula, un peu troubler pas les évènements. Il entendit la voix d'Okami résonné dans les haut-parleur de l'hélicoptère :

"- Il n'a jamais était question de les attaqués. Dois-je vous rapellez qu'un de nos hommes et détenu ? Nous devons respecté le status quo aussi longtemps que nous le pourront alors rendons leur l'enfant et recuperant notre camarade. Si vous avez une quelquonce objection, je n'hésiterait pas a vous éxécuté sur place. Anderson, êtes-vous d'accord ? "

Anderson sourit, Okami mériterais une augmentation, s'ils s'en sortissait vivant. Il regarda les Na'vi, ils sentaient qu'ils n'allaient pas rester la sans rien faire et que sa mission allait être menacé d’extinction. Mais Okami, rappela à tous, le pourquoi de leur présence :

"- Vous voulez recuperé l'enfant, alors évitons toute hostilité et privilégions la diplomatie pour cette fois."

Anderson traduit les paroles d'Okami qui était destiné au Na'vi, au et fort pour que tous comprennent. Puis il écrit sur son PDA, à destination de l'écran de l'hélicoptère d'Okami :

Vous avez autorisation d'ouvrir le feu, sur tout mercenaires indiscipliné.

PS : Merci, Okami.

Anderson scruta les visages des Na'vi et leur répondit en Na'vi :

"Je souhaite accompagner l'enfant ?..."

Mais il fut interrompue par l'arrivée de drones, six pour être précis. Il se douta bien que quelque chose cloché avec ses drones, et il n'y avait qu'une seule solution. L'I.A. du petit laboratoire avait surement un bug, ou alors... Quoi qu'il en soit, les drones gardaient en joue les Mercenaires du capitaine MacHenzy. Anderson pris la parole, et dit en humain :

"Capitaine, vous me décevez beaucoup. Ces drones vont vous surveillez, je vous conseil, de restez là, en attendant que je règle quelque dossier. Si l'un de vous hommes bougent, je pense que les drones l’ablatera. Et contre des missiles, vous ne faite pas le poids."

Comme pour ponctuer ses dire, une balle fusela, un cris d'agonie se fit, un mercenaire tomba mort dans l’humus de Pandora, puis se fut l’hécatombe, six autres mercenaires rejoignirent le premier. Ils avaient eu le tord de s'opposaient aux machines. Anderson sourit, il avait vu juste, l'I.A. obéissait toujours à sa voix, mais c'était bien étrange. Il revient vers le Na'vi, et lui demanda de nouveau :

"Je vous rends Ateyo, mais je souhaite l’accompagner. Je vous demande de pardonnez la sauvagerie de mes soldats, mais ils ne sont pas encore sur la Chemin. J'avais dit à Tsu'ka, devant les anciens, que je lui ramènerais moi-même son fils. J'ai qu'une parole ! Et comme vous voyez, je commande aux esprits de métal. Ne doutait pas de moi, J'ai bien repris l'enfant comme je l'avais promis. "

Il attendit une réaction du chef du groupe na'vi, et observa les Na'vi, il n'y avait eu que des blessées, sauf pour celui qui était mort d'une balle tirait pas le Capitaine. Anderson se demanda se qu'il allait en faire de son soldat, son cousin aurais pris son vieux 9mm et lui aurait tirait une balle sur la tempe, s'il ne l'avait pas fait fusiller. Anderson jeta de nouveau un coup d'œil au drones qui était camouflé, il semblait observait la scène avec minutie. Il aurait très bien plus à lui seul, détruire le groupe des Na'vi et le groupe du Capitaine MacHenzy, par effet de surprise. Mais il n'avait rien, fait et avait préféré appel d'autre drone. Anderson se demandait à quelle jeu, il jouait et avec quoi.

- Nous voilà, Anderson, on s'occupe d'eux !

Le chef du groupe na'vi fut plaqué contre le sol par le marcheur de rêve tout en prenant soin de mettre sa main sur l'étui de la dague montrant ainsi qu'il ne l'agressait pas mais le protégeait de l'attaque sournoise d'autres humains.

Malheureusement, un des omaticaya n'eut pas cette chance et fut tuer par celui qui avait prit la parole avant de tirer avec son arme qui crachait le feu. Mais d'autres étaient blessés à cause d'eux.

Étrangement, la machine volante se mit entre les na'vi et les humains qui tiraient stoppant ainsi toute agressivité des deux côtés. Une voix se fit entendre depuis la machine.

"- Il n'a jamais était question de les attaquer. Dois-je vous rappelez qu'un de nos hommes et détenu ? Nous devons respecté le status quo aussi longtemps que nous le pourront alors rendons leur l'enfant et récupérant notre camarade. Si vous avez une quelquonce objection, je n'hésiterait pas a vous exécuté sur place. Anderson, êtes-vous d'accord ? "

Les na'vi non-blessés allaient voir leur frère blessés et les aidèrent à se lever. Deux autres préparèrent des brancard fait de vois et de feuilles pour les plus atteint ainsi que pour celui qui est mort.

"- Vous voulez récupérer l'enfant, alors évitons toute hostilité et privilégions la diplomatie pour cette fois."

Le marcheur de rêve traduisait la dernière phrase en na'vi afin que tout le monde comprenne bien ce qui leur était destiné. Le meneur de groupe était assez décontenancé quant à la suite des choses à prendre. Ils venaient de se faire attaquer lâchement et d'un autre côté le marcheur de rêve et l'humain dans la machine volante les aidait.

"Je souhaite accompagner l'enfant ?..."

Accompagner les chasseurs jusqu'au Kelutral pour ramener l'enfant? Ils peuvent très bien le faire eux-même et laisser les humains entre eux. Le leader allait répondre lorsque 6 petites machines volantes arrivèrent et mirent en joue le groupe d'humain qui les avait attaqué.

"Capitaine, vous me décevez beaucoup. Ces drones vont vous surveillez, je vous conseil, de restez là, en attendant que je règle quelque dossier. Si l'un de vous hommes bougent, je pense que les drones l’abattera. Et contre des missiles, vous ne faite pas le poids."

Et ca ne se fit pas attendre car plusieurs des hommes périrent sous les balles des petites machines.

"Je vous rends Ateyo, mais je souhaite l’accompagner. Je vous demande de pardonnez la sauvagerie de mes soldats, mais ils ne sont pas encore sur la Chemin. J'avais dit à Tsu'ka, devant les anciens, que je lui ramènerais moi-même son fils. J'ai qu'une parole ! Et comme vous voyez, je commande aux esprits de métal. Ne doutait pas de moi, J'ai bien repris l'enfant comme je l'avais promis. "

(langage na'vi) Pardonner ne tiens pas à moi. Notre Olo'eyktan décidera si elle veut te pardonner ou non. Mais si tu tiens vraiment à venir sache que le premier geste suspect que tu feras te signifiera la mort.

Puis il regarda en direction de celui qui avait ouvert les hostilités et pointa son arc dans sa direction.

(langage humain) Quant à toi, je me ferais un plaisir de t'ôter la vie si je te revois.

Il laissa ensuite le marcheur de rêve prendre l'enfant avec lui avant de disparaître avec tout le groupe en direction du Kelutral et de rendre enfin l'enfant à son chef.