Elio Jésabel
Mentalité : Je suis un homme de Dieu, très philanthrope. Un point martyr j’aime rendre service aux personnes sans aide quitte à souffrir en retour. Courageux et brave il m’est très difficile de paniqué face aux dangers bien que mon statut ne soit en aucun cas fait pour le combat et la guerre. Je suis un fils de Dieu comme vous tous et il m’incombe donc de guider ses enfants vers le chemin de l’allégresse.
« Bénit soit-il l'homme de bonne volonté qui au nom de la charité se fait le berger des faibles qu'il guide dans la vallée d'ombre de la mort et des larmes car il est le gardien et la providence des enfants qui se sont égarés. »Ma venue ici n’est nullement anodine, je dirais même plus destiné. Rêveur au plus profond de moi, je reste tout de même terre à terre et ancré dans les traditions, c’est pourquoi au nom de l’Eglise catholique je parlerais afin de remettre cette planète, en droit chemin, vers la lumière céleste, abandonné depuis des temps immémoriaux. Ces hérétiques à l’allure des plus extravagantes ne sont que de vulgaire copie de Satan ne méritant que le nom de Succube, dont le seul but est de séduire.
Je vous le dit moi, Elio Jésabel, n’est-il point malheureux de ce laissé prendre par la beauté du lieu, qui ne me laisse bien sûr nullement indifférent, alors que ce ceci n’est qu’une mise en scène, une théâtralisation, un subterfuge afin de nous endormir, nous et notre humanisation que jamais ne possèderont ses bêtes avides. Intelligent je suis et de folie vous me traiterait pour l’instant, mais lequel des deux est le plus fou ? Après tout Galilée n’a-t-il pas été traité de fou à son tour ?
Description physique : Je suis un homme de Dieu comme je vous l’ai très bien dit et donc mon physique n’a pas d’importance si ce n’est peut être lors des conférences. Sachez qu’a tous ceux qui me demande, et n’êtes vous pas déçut de ne point être plus beau garçon ? Je leur réponds, je suis à l’image que Dieux m’a créé, si je suis laid, ou au contraire plaisant à regarder, c’est que le Tout-Puissant nourrissait des desseins particulier pour la personne que je suis.
Mais en faisant bref, je suis brun et plutôt beau garçon, les yeux sombres avec un visage assez fin. Je mesure un bon mètre quatre vingt-trois et pèse peu lourd, soit soixante dix kilos. Autrement je porte en ca de congrégation officiel une Aube noir qui par la grâce de Dieu est bénit. Plus belle que pratique c’est une tunique à long pans tombant jusqu’à mes chevilles et fixé à la taille par un cordon. Autrement dans la vie de tous les jours, je favorise bien le pratique à l’esthétique, une aube arbore donc mes membres peu musclé, nullement habitué aux ballades trop longue et efforts éprouvant. Enfin, caché dans ma valise s’y trouve une chasuble ainsi qu’un magnifique Dalmatique rouge et blanche.
« L’habit ne fait pas le moine » Voila un proverbe qui me porte et valorise très bien, qui plus est, il est vrai.
Histoire : Les flashs défilaient, le grouillement des journalistes s’accentuait, tout comme mes pulsions cardiaques qui s’accéléraient comme lors de mes conférences sur les sujets plus ou moins divers et variés. Aujourd’hui j’abordais le thème de la Science, un point particulièrement épineux qui pour de nombreux hommes d’Eglise étaient l’ennemi directe de la foi, la vraie, la véritable. Ainsi en cette conférence, il me devait donc de ne pas m’opposer à mes confrères, prêtres et croyants mais aussi en ralliant les savants et si Dieu me le permet, les scientistes.
Certaines voix s’élevaient, je reconnaissais celle d’un représentant du journal en ligne
La croix, c'était un fidèle et qui plus est de par son support de communication présentait un réel enjeu dans ce débat car c’était sur ce point que j’allais m’appuyer. Les chaises grinçaient par-ci par-là et mes jambes s’élançaient sur les marches menant à la scène, à l’estrade. L’heure était arrivée. Dieu dans ta générosité, aide-moi, ne t’ai-je point fait honneur depuis ma naissance ?
« Bonjour mesdames et messieurs, et bien je vois que nombreux sont les yeux rivés sur moi. Et j’en suis heureux. Je tâcherais donc d’être à la hauteur de vos espérances, néanmoins avant de débuter je voudrais citer un passage de la bible très bien ancré dans le sujet que j’ai à vous présenter. «Je vous le déclare, en cette nuit-là, deux personnes seront dans un même lit: l’une sera emmenée et l’autre laissée. Deux femmes moudront du grain ensemble: l’une sera emmenée et l’autre laissée. Deux hommes seront dans un champ: l’un sera emmené et l’autre laissé.»
En ce passage, Dieu ne montre-t-il pas que le jour et la nuit, phénomène très largement expliqué par la science, peuvent se montrer à deux endroits différents dans un même temps. Aussi, j’assisterais sur le faîte que la Science ne cesse d’expliquer justement l’inexpliqué repoussant à chaque découverte la Terra Incognita, qui parfois est déjà suggéré par notre Sainte Ecriture. » Le début d’introduction venait de se terminer, je me raclai la gorge et reprit. La plaide s’alimentait de chaque paroles que je débitais et les dictaphones tournaient à plein régime. Les minutes passaient, ce fut ensuite une heure puis deux. Mes yeux avaient scruté chaque membre de la salle, personne n’était délaissé et s’ennuyait. Satisfait j’en viens donc à conclure.
« C’est ainsi que je terminerai par ceci, « ce qui est tordu ne peut être droit, ce qui manque ne peut être compté. ». Vous l’aurait donc comprit, la Religion n’offre pas d’explication mais une chose bien plus importante que la connaissance, la foi, le pouvoir de croire en chaque chose de la vie expliqué, démontré ou pas, car que sera l’Homme quand il aura tout apprit ? Sera-t-il avide de pouvoir, sans cœur ? Ou au contraire prêt à aidé son prochain, rempli de tendresse et accompagné par la foi, inscrit au plus profond de nous, dans nos cœur ? Je vous le dit, réfléchissez-y. »Je décollai donc ma bouche de se micro, interprète de mes pensées et croyances dévoilé au grand jour, fit un signe de remerciement avant de faire demi-tour, comme toujours munit de ce sourire intarissable. A peine eut-je quitté la scène que mon élève, François Armand, loyal et croyant comme jamais. Ma confiance en lui était totale, c’est donc ainsi qu’il me donna une lettre blanche écru avec un sceau rouge. Surpris je le regardai alors que ce dernier arquait déjà une mine d’impatience et de bonheur.
« Mmmm… Ne serais-ce pas le sceau du Vatican ? »
« Si parfaitement mon père ! Vous avez fait forte impression comme toujours lors de votre discours. »
« Allons, allons ne grossit pas mes chevilles ainsi c’es un pêché tu le sais. Je suis donc supposé l’ouvrir ? »
« Bien sûr ! Ouvrez là ! »
« Bien.. »Après quelques minutes de silence, la lettre était enfin lut, nous étions bouché-bée, complètement ébahie. Je ne croyais pas ce que je venais d’apprendre ou plutôt ce que l’on venait de me proposer. En échange de mes loyaux services auprès de Dieu et de mes talents d’orateur dut à mon charisme, je recevais le droit de partir pour Pandora, ou la débauche était total afin d’y installer la voix du Tout-Puissant et de rendre cette planète à l’image de la notre, paradisiaque à côté de l’enfer décrit lors des journaux de bords des soldats.
Je ne pouvais le nié, j’étais émut et mon disciple aussi bien que pour sa part il baissait la tête pour ne point montrer de faiblesse.
« Pleure si tu le souhaite François, ce n’est nullement un fardeau. »[/i]Le vol décollai le lendemain ce qui me laissait peu de temps pour dire Adieu à mes fideles, faire mes bagages et écrire une lettre afin de répondre au Pape lui-même. L’excitation m’envahissait mais aussi la morosité et très vite la dépression car j’étais née en France et étant très patriote le faîte de quitter ce bon vieil hexagone me rendait triste. Les immeubles et nos automobiles polluantes et immonde me paraissait à présent anodines et surmontables, je pouvais enfin depuis tant de temps vivre dans ce monde. Mais voilà qu’à présent on m’envoyait en enfer pour avoir servi Dieu. Peut être étais-ce ma destinée… Nul ne le sera jamais.
Le lendemain, tout fut rapide, je fus emmené à bord d’un avion pour ensuite prendre le vaisseau en direction de Pandora. A la vue de soldats, je provoquai moultes moqueries non sans évidence mais surpris tout de même. Apparemment ceux-ci riaient de mes vêtements mais heureusement pour eux leur stupidité n’étais pas total car après quelques paroles bien placé, tous semblait m’aimer et près à me suivre dans ma mission. On me respectait déjà pour mes idéaux, et j’osais espéré que les chefs militaires ne seront pas hermétique à ma venue qui normalement donnait enfaîte un sens à leurs actes. Un sens noble et courageux.
Voila la voies que je m’efforcerai donc de suivre sans jamais m’en écarté. Et de part mes compétences d’orateur muni de cet arme natal qu’est le charisme, je chevaucherai bientôt sur leurs cités comme l’ange de la mort afin de construire un monde encore meilleur, un paradis tel que Dieu la concevait réellement, et non une vision corrompu et idéalisé comme ce fut sur Terre. Je serais le précurseur de cette planète, le Prophète, père de ce monde.
Objectif/motivation : Mes objectifs? Et bien anéantir ce peuple succube afin de rendre l'image que Dieu aurait aimé recevoir de lui dans sa miséricorde. L'homme doit vivre et le Malin périr.
Mes motivations... La parole du seigneur fait ma force, que sa volonté soit faîtes, je vivrai selon ses idées et en retour il me donnera sa conviction et sa force de persuasion. Tel sont mes motivations, moi Elio Jésabel fils de Dieu.