Nom de l'homme : WHITE, Régis
Mentalité :
C’est un baroudeur, qui a déjà pas mal trainé sa bosse en tant que marine. Ce qui lui a valu quelques mauvais souvenirs, mais surtout un caractère de cochon. Totalement hermétique à tout ce qui sort de son cadre d’activité, il méprise les civils et prend plaisir à jouer le « mauvais bidasse qui fait peur ». Totalement dévoué à ses supérieurs, il est prêt à donner
sa vie pour l’objectif qu’on lui a donné même s’il ne l’approuve pas.
Ce n’est pas un imbécile, mais il aime jouer le rôle de celui qui comprend rien quand il s’adresse à des administratifs ou à des scientifiques. Il est du genre bagarreur, et ne rechigne jamais à boire un coup ou à draguer une fille facile. Bref, un splendide spécimen de bidasse porté sur la gâchette.
Description physique :
Autour d’un mètre 85 pour 80 kilos, il a une forte musculature, bien que celle-ci ait un peu fondu pendant le temps de son voyage vers Pandora. Ses épaules carrés et son visage peu amical cachent néanmoins une étonnante agilité pour quelqu’un de sa corpulence. Sa peau est blanche et il arbore une horrible brûlure sur son bras gauche, qui le démange parfois affreusement et mais qui serait, d’après le toubib, une douleur fantôme dû à son imagination. Il fût le premier à être surpris en apprenant qu’il avait de l’imagination… Il a aussi une prothèse à la hanche du même coté qui le fait parfois sonner aux contrôles des aéroports.
Histoire :
Né dans l’état de New York, il fut remercié par la plupart des écoles privées auxquelles ses parents, de riches fournisseurs de spirulines, en raison de son mauvais comportement envers les enseignants et ses collègues de classes. Vers l’âge de 17 ans, exaspérés, ils décidèrent de l’envoyer chez les marines, afin (espéraient-ils) de le dégouter de l’agressivité dont il faisait preuve et d’apprendre la soumission, puis de revenir afin de travailler pour l’entreprise familiale. Ce fût la dernière fois qu’ils se croisèrent, et au bout de quelques mois, ils ne s’écrirent même plus. Il avait pris goût à cette vie de caserne où chaque chose à sa place, et où lorsqu’on avait des soucis avec un collègue de chambre, on réglait ça à coup de poings sans se faire séparer…
Il fût intégré au 3ème escadron aéroporté en tant que parachutiste, dans lequel il servit 5 ans. Suite à une mauvaise chute, qui lui valu sa prothèse de hanche, il fut suspendu un temps, puis intégré dans une unité spécialisé dans la démolition, et devint avec les mois, un expert en explosifs de toute sortes. C’est après avoir atteint ses galons de sergent qu’il eu la mission de remodeler les rocheuses afin de rendre cet espace habitable, vu la démographie croissante de la terre et la saturation des places sur la lune. Cette mission aurait du être rapidement mené à bien, lorsqu’un escadron de militant écologiste firent sauter les charges avant qu’elles ne soient mise en place. Il fut l’un des seuls survivant à la catastrophe, et ne s’en tira qu’avec sa vilaine brûlure au bras gauche.
L’année suivante, il mena sa mission à bien, réduisant ces majestueuses montagnes en poussières avec la bénédiction de l’ADR, qui était à l’origine de ce projet.
C’est d’ailleurs cette opération qui poussa l’ADR à lui proposer un poste sur Pandora après que les Na’vi aient mis à mal la colonie humaine qu’ils avaient implanté pour extraire le précieux unobtanium. D’abord réticent, White finis par accepter d’y aller et de travailler pour la compagnie qui y avait établit une nouvelle colonie. Il démissionna donc du corps des marines et après une longue période de stase, il finit par arriver en vue de la mythique planète…
Objectif/motivation :
Sa principale motivation d’accepter le poste est l’excellent salaire que lui verse la compagnie avec lequel, il pourrait fonder sa propre entreprise civile de démolition, ou même acheter un de ces appartements de luxe sur la lune et y créer un service de gardes du corps… Mais il cherche aussi à se prouver à lui-même que rien ne lui fait peur, et que s’il y avait un enfer, et bien, au moins, il ne s’ennuierait pas trop. Il espérait juste que les rumeurs sur les difficultés de survie n’étaient pas surfaites.
White veut se prouver, comme la plupart des colons d’ailleurs, qui rien ne peut avoir raison de lui et que c’est bien l’humain, et non le Na’vi, la forme de vie connue la plus développé.