Le choc des idées [PV Evan, + Libre ?]

Invité

La jungle était si... émouvante. Qui a jamais pu s'empêcher de sourire, lorsque ses yeux étaient posés sur la petite poitrine d'un enfant plongé en plein sommeil ? Qui, un jour, une seule fois, n'a pas senti son coeur étreint par une poigne chaude et amicale, lorsqu'il contemplait, émerveillé, ébahi, le miracle de l'enfance se déployer juste sous ses yeux ? Qui n'a pas un jour été soumis à cette délicieuse chaleur qui empoigne celui qui s'extasie, muet, devant un spectacle à la candeur infinie ?

J'aurai menti en disant que Pandora était semblable à un bambin innocent et paisible. Mais la jungle est semblable à tous les êtres de cette planète ; elle est telle une pierre, un diamant, aux multiples facettes. On peut l'adorer pour certains reflets, et la haïr pour d'autres. On peut l'exécrer et la chérir tout à la fois. Et, en cette seconde, en ce fragment de temps, j'étais toute entière emplie par le désir de communiquer avec la forêt.

La nuit était tombée en silence. Rien ne troublait ce spectacle merveilleux, cette lente libération de toutes ces plantes qui, sous le regard des étoiles, se mettaient à luire d'une chatoyante luminosité, clamant tout simplement et dans un parfait mutisme leur simple joie de vivre. Mes doigts bleutés en caressaient les pétales, ravivant une lueur ici et la ternissant là. Je m'amusais de temps à autre, allant cueillir un animal qui se croyait invisible pour le déposer un peu plus loin, parfois au risque d'une morsure qui, j'en étais consciente, pouvait être venimeuse. La vie vaut parfois de souffrir pour elle, souffrir, pour la vivre pleinement.

Prise par une furieuse envie de profiter plus encore de ce spectacle, je bondis en hauteur, ombre vive parmi les ombres, et agrippais une branche, avant de me coller à un tronc. J'avisais une liane et la fit mienne, afin de poursuivre mon ascension. Mes muscles souples de Na'Vi aidant, j'allais toujours un peu plus haut dans l'arbre que j'avais choisi, jusqu'à finalement en atteindre la superbe cime.
Je portais mon regard sur la jungle, goûtant à la profondeur d'une vallée encaissée, décelant ici une rivière tranquille qui s'écoulait sans histoire, et notant un peu plus au nord une lumière froide dans le ciel qui devait annoncer un emplacement humain. Je frémis inconsciemment, douchée. Le plaisir venait de s'estomper, tout aussi brutalement que la détonation d'un fusil dans l'air de la nuit...

Comme si j'avais été surveillée, je redescendis, prudemment, presque inquiète. J'avais la sensation d'être observée, et même menacée. Les ténèbres de la jungle n'étaient d'un coup plus si accueillantes. Au fond de mon ventre, l'angoisse commençait déjà à se muer en colère. Colère envers les humains qui venaient, en conquérants arrogants, imposer leur seule présence et la nervosité qu'elle induisait, de par la peur qu'ils incarnaient, et la violence génocidaire qu'ils suscitaient. Comment un jour quelque chose de bon pouvait jaillir du genre humain, quand leur seule évocation était un tel glacial malaise ?

Je m'accroupis sur une branche plus épaisse que les autres, une main accolée à l'écorce et l'autre posée sur ma cuisse. Sous ma paume, ma propre chair était chaude, rassurante, tendue. Pleine de vitalité.
Comment pouvait-on venir ici, sur Pandora, et chercher à briser un équilibre qui jusqu'ici n'avait jamais été en danger ? De quelle fange étriquée et spirituelle pouvait-on avoir pris naissance pour représenter pareille horreur ?

Je secouais la tête. Les humains étaient incompréhensibles, et pour être franche, je n'avais pas envie de chercher à les connaître davantage. Ici et là, on parlait de ceux qui marchaient dans les rêves, de ceux qui étaient plus que des hommes, qui devenaient des Na'Vis...
Ceux qui, touchés par la clarté de Pandora, s'y convertissaient.

Je n'y croyais pas trop.

A la manière d'une personne qui espère que, quelque part, réside bien un espoir, préservé, inchangé, pur, j'espérais qu'il fût possible un tel miracle. Sans pouvoir me défendre d'en douter.
D'en désespérer.

Je me laissais souplement tomber au sol, soulevant quelques feuilles au passage. Et là, le bruit. Le bruissement.
Aussitôt, la panique envahit mon coeur, moi qui croyait pourtant l'en avoir chassée. Je me dérobais dans l'obscurité, me faufilant dans les broussailles, m'enfonçant aveuglément là où la jungle était la plus dense. Mettant à profit et ma vélocité, et mon dynamisme, je disparus dans la pénombre, me coulant dans le noir.
Lorsqu'enfin je fus certaine de ne pas être suivie, je m'arrêtais.

Et là, je le vis.

Invité

J'étais partis du village pour aller chercher de quoi nourrir toute la petite famille , tsu'ka et notre enfant Ateyo , Tsu'ka ne pouvait plus s'occuper de la chasse elle s'occupait activement de Ateyo se qui est normale , et il est aussi normale que se soit le mari qui parte chercher la nourriture , ont m'avait demander de seulement ramener de la nourriture pour la chef et le futur prince mais je voulais en profiter pour aussi ramener touts se qu'il fallait pour toutes la tribus ! Me voila dans la jungle , un endroit que je connais bien a force de faire des aller retour , chaque jours.J'avais un bandage qui cachait mon œil droit , depuis le combat que j'avais mener contre une base de la RDA ou j'ai perdu cette œil je souffrais horriblement ! Mais rien ne pouvais m'empêcher d'attendre mon but ! Chasser la RDA et les Fanatiques de cette magnifique planète , Pandora ! Jamais ces monstres ne feront de nouveau du mal a ma nouvel famille , a mes frères et a mes sœurs Na'vis . Je me sentais de mieux en mieux dans la jungle , j'avais enfin reprit le droit chemin , Eywa m'avait guider vers la bonne voie , et le soutiens de ma femme ma aussi beaucoup aider et surtout la naissance d'Ateyo qui fut l'évènement le plus important dans ma vie ! J'arrivais dans un endroit en peux plus dégager que le reste de la jungle il y avait beaucoup de loup-vipère dans le coin , je savais qu'il y avait un de leur nid non loin d'ici . Aucuns bruits autour de moi , rien ! Le silence complet , d'un cotée sa me permettais de me concentrer mais se n'étais pas très rassurant , se ne sont pas les Na'vis qui me font peur , la plus part des Na'vis présent ici son des Omaticayas , a mon avis il ne s'attaqueront pas au mari de la chef . Je sortis mes deux l'âme et me mit en position de chasse , en reniflant chaque odeurs . Une chose, ou plutôt un petit bruit derrière moi , stoppais ma marche , c'était une odeur connus ... Un Na'vi ? Non plutôt Une Na'vi , je tournais le regard vers moi et dit doucement.

" Ne te cache pas je sais que tu est ici . "

Je rangeais mes l'âme et approchais de l'endroit d'où venait le bruit.

Invité

Cela fessait 3 heures que Jack marchait dans la direction de la base des Fanatiques, 3 longue heures et éprouvante heures de marche dans cette jungles hostile et terriblement stressante. Jack c'était retrouver dans cette merde à cause d'un simple Ikran, une saleté de piaf qui c'était jeté tel un kamikaze vers l'un des rotor de son Samson. Bilan, le rotor bâbord explosa en envoyant dans tout les sens des morceaux de chair, d'organe et de métal, la plupart de ces morceaux furent envoyer dans le restant de l'appareil, le co-pilote de jack fut presque coupé en deux à cause d'un des rotors qui finis sa course dans le cockpit, les passager à l'arrière furent carbonisé par l'explosion soudaine des réservoirs de carburant de l'engin. Jack eu une chance incroyable d'avoir le réflexe de s'éjecter et atterris dans une partie de la forêt qui lui était complètement inconnue.

Et depuis 3 heures, Jack essayer tant bien de mal à rester en vie, de sa position actuel, il pouvait apercevoir la lumière qu'émetter les restes de son appareil en train de flamber avec ses ancien camarade. Alors qu'il poursuivait sa marche qui n'était pas prête de ce terminer, il entendis des bruits en provenance d'un buisson, sans réfléchir, il pointa son arme vers le buisson et s'avança a pas lent. Il arriva seulement a quelque mètre du buisson quand il apperçus des yeux de couleur verte, avec un réflexe rapide, Jack appuya sur la gâchette et une balle s'échappa de son canon avant de ce loger dans l'animal, ce dernier, ce mit a gémir et Jack sortit son couteau à dent et le planta avec une violence inouï dans le torse de l'animal. La créature eu des convulsion et cessa de faire le moindre geste, Jack soupira et retira son couteau de la bestiole avant de reprendre sa marche vers l'ouest.

Il arriva en vus d'une sorte de clairière et resta cacher dans les buissons, avec les Na'vis, ont n'étaient jamais trop prudent car on ne savait jamais où ils étaient, et quand. Jack s'arrêta nette en voyant une de ces saletés de bestiole bipède sortir de la forêt.

Invité

" Ne te cache pas je sais que tu est ici . "

Un long frémissement secoua mon échine, envoyant une décharge dans tout mon corps. D'une main hésitante, j'écartais les branches feuillues d'un arbuste puis enjambais lentement un buisson, pénétrant dans la clairière au centre de laquelle il se tenait.
Sa voix avait été tranquille, posée. Et pourtant, je n'avais pas pu m'empêcher de ne pas l'aimer. Mes yeux s'agrandirent, et je me raidis imperceptiblement. J'avais toujours secrètement désiré de ne jamais en voir un.

- Marcheur de rêve, soufflai-je dans un silence presque complet.

Suite à ces mots, un léger vent se glissa entre les ramures épaisses de la sylve, comme si mes paroles avaient brisé une quelconque entente tacite que je n'avais pas su sentir. Bien malgré moi, je fis un pas en arrière, ne m'en rendant compte qu'à l'expression de mon interlocuteur effrayant.

- Vous êtes un monstre, vous le savez ?

Avec des doigts fébriles, je quêtais mon arc, pour me rendre évidemment compte qu'il n'était pas présent dans mon dos, pas plus qu'un quelconque poignard. L'intrus, lui, était armé de deux couteaux, bien qu'il les ait rangés en m'apercevant.
C'est une sorte de colère qui ne m'avait jamais vraiment quittée qui se mit à monter, doucement, presque tendrement. Presque tristement.
Elle envahit mon ventre, ma poitrine et mon dos. Avant de remonter par ma gorge ; et je me mis à cracher cette rage qui bouillonnait, parce qu'il me fallait ou l'expulser, ou m'en consumer.

- Rien qu'un monstre avide, sacrilège. Vous infestez ce monde, vous en violez l'âme et l'esprit, en plus d'en lacérer et d'en brûler l'enveloppe. Au nom de quoi êtes-vous ainsi prêts à sacrifier sur un autel aussi abscons, autant d'êtres, de vies ? Pourquoi ?

Mon ton montait. Sensiblement, c'était à présent moi qui me rapprochais de lui. J'en tremblais de fureur, bien que je n'en sois pas encore au point de hurler.

- Immondes. Vous êtes immondes, sifflai-je, certaine qu'il avait saisi la nuance au pluriel. Des créatures infâmes et pathétiques, cloîtrées dans ce que vous croyez une logique implacable. Codifiez, classez, numérotez et comptabilisez ; le peu que j'ai aperçu de vous m'a dégoûtée, répugnée jusqu'au plus profond de mon être. On aurait pu avoir pitié de vous.

Je levais des yeux brillants de larmes de rage vers un ciel qui avait peine à apparaître, tant étaient pourvues les cimes des arbres de Pandora.

- J'aurais pu avoir pitié de vous... Mais votre violence, votre humanité, sont autant de méfaits qui ne peuvent être oubliés. Allez au diable avec vos manigances...

Cette dernière phrase, je l'avais murmurée. Elle était davantage tournée vers moi-même que vers lui.
Je lui tournais le dos, incapable de supporter davantage la vue de cet assassin, de ce misérable qui avait ou n'allait pas tarder à commettre ses crimes au sein du peuple Na'vi.

Qu'est-ce que je pouvais faire pour l'en empêcher...?

Invité

La na'vie se rapprochais de moi , dans ces yeux je pouvais voir de la colère voir même de la haine , je vois encore une Na'vi contre le fait qu'il y est des humains ici , se qui est tout a fait normale et que l'ont peut vite comprendre , elle se rapprochais de plus en plus et prit la parole.

" Vous êtes un monstre, vous le savez ? Rien qu'un monstre avide, sacrilège. Vous infestez ce monde, vous en violez l'âme et l'esprit, en plus d'en lacérer et d'en brûler l'enveloppe. Au nom de quoi êtes-vous ainsi prêts à sacrifier sur un autel aussi abscons, autant d'êtres, de vies ? Pourquoi ? Immondes. Vous êtes immondes, Des créatures infâmes et pathétiques, cloîtrées dans ce que vous croyez une logique implacable. Codifiez, classez, numérotez et comptabilisez ; le peu que j'ai aperçu de vous m'a dégoûtée, répugnée jusqu'au plus profond de mon être. On aurait pu avoir pitié de vous. J'aurais pu avoir pitié de vous... Mais votre violence, votre humanité, sont autant de méfaits qui ne peuvent être oubliés. Allez au diable avec vos manigances... "

Je baissait la tête , voila une belle description d'un êtres humains , je n'aurais pas trouver mieux , mais je ne pus retenir quelques l'armes , en aucuns cas pour les humains , mais pour moi . Avant j'étais comme sa , un monstre assoiffée de sang , maintenant je suis un fier Na'vi qui protège sa tribus ! Je comprenais pourquoi cette Na'vie étais en colère et c'est normale , je marchais vers un arbre et m'assis au sol . j'enlevais les quelques l'armes qui coulait sur ma joue et tournais le regard vers la Na'vie , avec un ton triste .

" Écoute ... tu ne t'adresse pas a la bonne personne , si je dit que je ne suis pas comme les autres humains tu ne va pas vouloir m'écouter , mais dit moi ... esse que le fait d'êtres le maris de la chef Omaticayas et le père du futur prince , cela fait de moi un monstre qui veut tuer les Na'vis ? Je ne crois pas , comme je te l'ais dit se n'est pas a moi que tu dois dire sa ... "

Je me relevais et cette fois , c'étais sur un ton de colère que je reprit la parole.

" Pourquoi t'en prendre a moi ?! Les vrais monstres son La bas ! Dans leur bases ! J'ai sacrifier tellement de chose pour avoir une nouvelle chance ! Et j'ai us le droit a cette nouvelle chance grâce a Eywa ! J'ai communiquer avec elle , elle ma montrer la bonne voie a prendre ! Désormais je suis un Na'vi comme les autres ! Je ne suis plus un humains ! Daccord ?! Je ne veux plus qu'ont me compare a ces êtres monstrueux ! "

Puits je lui tournais le dos.

" Si tu veux me tuer Vazy , tu priveras un enfant de son père et une femme d'un mari , et je ne crois pas que ma femme Tsu'ka , accepte le fait que tu est tuer son mari , mais vazy ! Si tu a de la haine envers moi Vazy ! "

Invité

Au départ, sa réaction provoqua ma surprise. Et je m'en voulus aussitôt... Peut-être parce que soudain, je doutais de moi et de ce que je ressentais. Ou plutôt, de la légitimité de mon ressenti.
Et rien n'est jamais si douloureux.

" Écoute ... tu ne t'adresse pas a la bonne personne... "

J'encaissais ces paroles plus difficilement que s'il m'avait frappé, engoncé dans l'une de ces statues de métal. Je cherchais à déceler la moindre trace de raillerie ou de triomphe dans ses mots. Je fus stupéfaite de n'en trouver aucune. Il ne tirait aucun plaisir à m'asséner ses paroles avec une telle franchise, aussi brusque, aussi brutale.
Et là encore je me sentis me ronger moi-même devant l'incertitude qu'il suscitait en moi. Incertitude que je combattis férocement.

Sa colère à lui aussi s'enflammait.

" Pourquoi t'en prendre a moi ?! Les vrais monstres son La bas ! Je ne veux plus qu'ont me compare a ces êtres monstrueux ! "

Mes dents crissèrent dans dans ma bouche comme je m'efforçais de me calmer. Qu'il nomme ainsi Eywa, qu'il en souille le nom par sa mesquine arrogance, par son éclat superficiel, me dégoûtait. La dignité était un présent qu'Eywa accordait à chacun, mais pour elle seule savait quelles raisons, certains s'en débarrassaient comme on peut jeter un vêtement.

" Si tu veux me tuer Vazy , tu priveras un enfant de son père et une femme d'un mari , et je ne crois pas que ma femme Tsu'ka , accepte le fait que tu est tuer son mari , mais vazy ! Si tu a de la haine envers moi Vazy ! "

A entendre ce seul mot - haine - je la sentis en moi. J'eus le souffle coupé tant je fus frappée par son ampleur. Jamais, au grand jamais, je n'aurais pensé qu'une telle intense rancoeur résidait au fond de moi être, à un tel point que je m'effrayais moi-même. Comme si je me redécouvrais.
Sur cette seule fin, il venait de m'ébranler. Pourtant, je me trouvais dans l'instant des arguments pour parer à son plaidoyer futile, mais je m'en voulais de devoir les présenter.

Comme si lutter encore avec lui, comme si jouter encore, c'était me prouver ma propre cécité, ma propre erreur. Et, encore une fois, rien n'est plus douloureux.

- Tu peux parler, marcheur de rêve, répliquai-je doucement, vibrant d'une colère à peine contenue. C'est bien la seule raison qui m'empêche de te mordre. Comment tu as pu ainsi tromper ma mère, je n'en sais rien.

J'avais dit "ma mère", mais bien sûr je n'étais pas la fille de Tsu'ka. Seulement, c'était une manière toute Na'vi de lui témoigner ainsi mon amour et mon respect.

- Mais sache que toujours tu auras mon regard posé sur toi, humain.

N'importe qui aurait pu sentir le mépris frémissant qui emplissait ce seul mot. Mon intonation l'avait clairement enrobé de mépris, à la manière d'une lance enduite de poison.

- Je ne suis pas de ceux qui condamnent tout un système en n'en examinant volontairement qu'une partie. Mais je n'ai jamais voulu jeter un oeil aux humains, et pourtant, ils sont venus à moi. Et tout ce que j'ai pu en voir m'a horrifié. Tu te défends d'avoir des intentions mauvaises, mais personne ne peut savoir ce qui se trame dans l'esprit d'un être tel que toi.

Je tournais à demi la tête, avant de me rendre compte que lui aussi m'avait tourné le dos. La symétrie de cette scène me saisit jusque dans le ventre, et c'est une étrange chaleur qui gagna le creux de mes épaules. Dans la vacillante lumière de la jungle, je devinais des traces de larmes sur sa chair. Et soudain, je me rendis compte qu'il abandonnait.
Il y avait dans sa posture une telle lassitude, que je compris qu'il en avait assez de recevoir de tels blâmes. Etait-ce là l'attitude vindicative de ceux qui se nommaient Marines ? Pourquoi aurait-il été autant blessé par mes attaques, s'il avait été ce dont je l'accusais d'être ?

Je portais mes doigts à mes lèvres, pour m'empêcher inconsciemment de prononcer un mot de plus. Je me trouvais dans une inconfortable interrogation, qui en réalité me taraudait depuis quelques instants déjà. J'y faisais seulement face...
L'injustice profonde qui nous frappait tous deux me révolta. Soit j'étais encore victime du pardon spontané des Na'vi, soit lui-même était la cible d'une rancoeur qui visait en réalité ceux qu'il dénonçait de son propre chef, après leur avoir appartenu. Dans les deux cas, nous parlions là de réelle souffrance et de cruelles blessures.

Je posais une main légère sur son épaule. Tout mon corps s'inclina sinueusement comme je me tendais vers lui. Ma bouche s'approcha très près de son oreille, sans qu'il ne bouge cependant. Le silence perdura encore quelques secondes.

- J'ai de la haine pour toi.

Mes propres mots me revinrent en mémoire. "J'aurais pu avoir pitié de vous... Mais votre violence, votre humanité, sont autant de méfaits qui ne peuvent être oubliés."

- J'ai beaucoup de haine.

"Allez au diable avec vos manigances... "

- Mais...

Ma voix se brisa, aussi nettement qu'il était possible. Mon front vint se coller à son épaule, et je fermais les yeux, pour tenter vainement d'en capturer les pleurs rares mais sincères.

- J'ai aussi de la pitié...

Invité

" Je ne suis pas de ceux qui condamnent tout un système en n'en examinant volontairement qu'une partie. Mais je n'ai jamais voulu jeter un oeil aux humains, et pourtant, ils sont venus à moi. Et tout ce que j'ai pu en voir m'a horrifié. Tu te défends d'avoir des intentions mauvaises, mais personne ne peut savoir ce qui se trame dans l'esprit d'un être tel que toi. "

C'étais les mots de trop , je ne pus retendre d'autres larmes , pourquoi ? Pourquoi esse que l'ont me compare encore a mon ancienne race ?! J'ai fait mes preuves ! J'en n'ai assez de touts sa ! Je sais que je suis née sur terre que je suis née humain , mais comme le dit les Na'vi il y a deux naissance , ma deuxième naissance c'est fait le jour ou je suis arriver sur Pandora , le jour ou j'ai us mon enfant , ou j'ai rencontrer Tsu'ka ou j'ai communiquer avec Eywa ! Tellement de choses ! J'avais tuer des humains pour protéger toutes la tribus j'ai perdu un œil pour les Na'vi ! J'ai perdu des amis ! Je serrais les poing pour contenir ma rage et ma colère .

" J'ai de la haine pour toi. J'ai beaucoup de haine. Mais... J'ai aussi de la pitié... "

Elle posait sa tête sur mon épaule , je la regardait et me retirais .

" La haine mène a des choses horrible , je le sais , je connais l'histoire de mon peuples ... se n'est pas le sentiments a avoir envers d'autres personnes , sa ne mène qu'as la destruction et a la mort , dans le passée des humains avait aussi de la haine envers d'autre peuples , et a cette époque une grande partie de la population humaine a étais éradiquer ... enfin ... "

je me tournais vers elle , dans mes yeux rouges ont pouvait voir de la sincérité .

" Écoute , les Na'vis disent que l'ont a deux naissance , ma première naissance a étais une erreur , quand je suis née sur terre entourer d'humains , depuis que je suis jeune il m'ont fait souffrir , j'ai grandis dans un camp ! Ont étais surnommer les " Indésirable " , ils ont tuer mes parents devant mes yeux , mon frère est mort par leur fautes ! Et ma deuxième naissance a étais le fait que je sois arriver ici , sur pandora , que j'ai découvert un monde ... que l'ont ne peux pas imaginer , d'une telle beautés d'une telle intelligence ! Je fait tout pour que les humains ne détruise pas cette endroit ! J'ai perdu un œil pour sa ! J'ai perdu des amis pour sa , que se soit Humains ou Na'vis ! J'ai prit touts les risques pour que la paix arrive ! . "

Je reprit.

" Je comprend que tu est de la haine envers moi , les humains ne font que le mal , mais ne me compare pas a eux , un humains n'aurait jamais sacrifier autant de chose pour un autre peuples , un humains est égoïste , alors que moi non ... "

Invité

Jack observait, il observait la discussion entre une Na'vis et ce qui semblerais être un Avatar, le premier Avatar que Jack rencontrer sur cette planète et pas n'importe lequel, il s'agissait de Evan Sorrow alias "Quel'Danos" chez les Omaticayas, une personne qui avait agis comme Jake Suly et avait préféré trahir sa Race pour protéger ces indigènes qui semblait le haïr par rapport à ce qu'il est. Jack rester là, écoutant la discussion entre les deux "créatures", il était a la fois intriguer et colérique a la conclusion du genre humain, une race né pour détruire tout ce qui l'entour... Certes, l'Homme possède d'un fort instinct de conquête et de pouvoir qui le pousse à en avoir toujours plus, ce qui peut parfois l'amener à sa destruction, la preuve il y a 20 ans, lors de la grande bataille pour tenter de détruire "l'arbre des Âmes" où devait vivre "Eywa".

Bien tout ceci était que mensonge, toute créature a toujours voulut croire en un entité supérieur qui les protèges contre les malheurs, c'était le cas de "Dieu" dans de nombreuse religion, et c'était l'une des raisons pour lequel Jack haïssait les Na'vis, la seconde étant le fait de tant aimer la Nature de cette planète, à chérir des monstres voulant le plus souvent les tuer pour ensuite les bouffer. Jack eu alors une idée, une idée qui pouvait être très utile pour lui et les Fanatiques, est arracha tout les insignes et autre objet décoratif qui pouvait faire référence au "Fanatique" et enlevas ses plaques d'identité pour les remplacer par celle de son ancien compagnon d'arme, mort sur Terre.

Jack prit alors l'identité de "Dimitri Petrenko", membre de la confrérie depuis moins d'une semaine, Jack se leva et soupira en espérant que son plan fonctionne à merveille, puis il rangea son fusil et sortit des buissons pour faire face au deux Na'vis.

Invité

A vrai dire, je ne pouvais pas réfuter les propos de mon interlocuteur sans camper sur mes positions. J'étais tiraillée, écartelée, car d'une certaine manière je ne pouvais me résoudre à abandonner ma méfiance aussi facilement, mais toute mon âme se refusait également à condamner un être qui aurait pu être innocent. "Qui l'était", me corrigeais-je avec tristesse.

Je sursautais soudain lorsqu'une silhouette sortit des buissons, avant de comprendre qu'il s'agissait d'un humain. Je me figeais, tétanisée et assaillie par une foule d'éléments contradictoires. Immédiatement, je compris que l'intrus n'avait pas d'intentions belliqueuses. Par ailleurs, il aurait fallut être fou pour surgir au milieu d'une telle conversation, s'il n'avait pas été de notre bord - cela, je le déduisis trop rapidement pour qu'il n'y ait pas derrière ce raisonnement une inconsciente tentative de me rassurer.

Pourtant, instinctivement, je ne pu m'empêcher de m'en méfier, et ce malgré toute la logique que je m'imposais silencieusement. Peut-être parce que je trouvais là une cible facile sur laquelle reporter la haine du marcheur de rêve que je savais injustifiée, sans l'admettre totalement. Je pris le parti de reculer, laissant tacitement entendre que je ne voulais pas faire le premier pas dans cette nouvelle rencontre. A vrai dire, j'étais beaucoup trop ébranlée dans mes certitudes, dérangée dans mes convictions, que j'avais peur que de nouvelles paroles ne viennent achever d'en piétiner les milliers d'éclats tranchants. A un tel point que le moindre mot de ma part m'aurait semblé déplacé, imprudent.

Je fis lentement le tour de l'humain, dans la pénombre lunaire qui me dérangeait forcément moins que lui. Je notais la présence d'une arme qu'il avait mise en bandoulière, avant de remarquer de petites plaques scintillantes. Si je me souvenais bien, elles explicitaient l'identité de l'individu qui les portait.

Je levais un regard interrogateur vers le marcheur de rêve. C'était à lui de jouer, et s'il voulait tant prouver qu'il était digne de confiance, il avait là une occasion.
Bien que je ne sache pas encore comment...

Invité

La na'vie me regardait sans dire un seul mots , peut êtres avait telle compris , peut êtres que non , mais je sortais de mes pensée quand un humains sortis des buisson ! Que fait t'il ici ? Ils nous espionne ?! Je lui lançait a regard noir , je vit la Na'vie se reculer et faire le tour de l'humain , je l'observais et a voir son visage , c'étais a moi de lui montrer que se que je viens de dire est vrais , donc elle n'avait pas compris , mais se n'est pas le plus important. J'avançais vers l'humain , en sortant mes lame et me mit devant lui en le regardai de haut.

" Tu nous espionner ?! "

Je tournais autour de lui en l'observant.

" Je dois avouer que tu es assez discret je ne t'avais pas sentis , mais malheureusement ... "

Puits je vit le nom sur la plaque de l'humain , c'étais un homme de la confrérie , dommage pour lui mais je savais qu'il étais mort , il essayer de nous piéger !

" Dommage pour ton plan , tu crois qu'avec cette plaque tu va pouvoir me duper ?! Je sais que cette homme étais de la confrérie mais il est mort , a moins que tu sois un mort vivant , j'en doute ... "

Je montrai les crocs et le prit par la gorge et le soulevais.

" Misérable , que va tu faire maintenant ? ! "

Invité

Jack paniqua un peu quand l'Avatar le prit par la gorge, bizarement, il sourit intérieusement, à chaque fois que Jack rencontrer une des choses extraordinaire sur cette planète ces mêmes choses extraordinaire voulaient maintenant le tuer, quelque chose de ouf. Mais il essayea de trouver une solution sans en venir au arme à feu, Jack resta donc sur la defense et aller prétexter qu'il s'agissait d'une erreur monumentale.

- Enfin. Ecouter moi, je suis arrivais ici y'a a peine trois jours, le Samson que j'ai prit pour vous rejoindre c'est fait abattre par un Ikran qui c'est jeté sur le rotor bâbord. Sa vas faire trois heures que je marche dans cette Jungle à l'aveugle, je vous en prit, vous vous mépronez !

Jack savais très bien que tout cela ne servirais à rien, mais c'était la seul chose à faire pour éviter dans arriver au main...

[Dsl, pas vraiment d'inspi ni de temps]

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