Wan'ek, fidèle na'vi

Rapport du docteur Geryn à propos du na'vi Wan'ek.

Description physique :

Wan’ek est un na’vi de taille normal, avec une peau bleu azuré, propre à son peuple. D’une grande prestance, Wan’ek apparaît comme un intellectuel et un noble auprès de son peuple, car sa démarche fier et gracile envoûte irrémédiablement son entourage. Sa corpulence, sa musculature en font un des meilleurs guerriers de la tribu, et les cicatrices sur son corps sont les témoignages des guerres et des combats dont le na’vi fut vainqueurs. D’une beauté incroyable, son regard ténébreux en ferait chavirer plus d’une, mais l’on peut tout aussi bien lire dans ce regard ce brin de génie qui suscite à la fois admiration et peur, admiration pour cette intelligence incroyable dont il est pourvu, et peur pour la manière dont il pourrait l’utiliser.

Ayant laissé sa barbe, pour en faire une sorte de bouc, il apparaît comme un na’vi hors du commun, c’est un moyen de s’affirmer comme quelqu’un de différent, afin d’imposer ses visions des choses, son idéologie sur le reste du monde. Sa voix grave et chancelant semble mélodieuse, mais attention, ce n’est qu’un outil dont il use afin d’envoûter par ses propos philosophiques tout ceux qui auraient une discussion avec lui.

Tous vous le diront, Wan’ek est un na’vi très charismatique, les humains eux-mêmes l’affirment, car cette aura protectrice qu’il dégage attire irrémédiablement le reste de la troupe. Lors des chasses, c’est donc naturellement que Wan’ek se retrouve en premier plan, il possède une influence considérable sur les na’vi, et sa parole est rarement remise en question. Avec cette prestance de dieu de guerre, le na’vi se veut rassurant, dégageant une force de caractère et un héroïsme semblant infaillible.

D’ailleurs, lors des chasses, ou lors de guerres, Wan’ek commande naturellement les na’vis. Par son intelligence, il est l’un des rares na’vis à connaître toutes les facettes et à savoir user de la stratégie, mais de plus, sa façon de combattre, cette manière qu’il a de tuer tout ses ennemis redonnent courage à ses hommes. Dansant gracieusement sur le champ de bataille, assenant des coups vifs, précis et mortels, ses adversaires craignent cet être. Glissant sur les corps de ses futures victimes avec une agilité et une force admirable, il semble alors indomptable…

"C'était monstrueux, cette manière qu'il avait de se déplacer au sein même de mon unité de marines. Il semblait imprenable, si rapide, il semblait léviter sur le sol, et cette danse dont nous étions le smalheureux spectateurs faisait couler le sang à flot. C'est un être froid, trop vicieux et dangereux que je ne voudrais revoir pour rien au monde !"

Mémoires du sergent O'caren.

Histoire :

Wan’ek est né dans les plaines de Goliath, au nord de la résidence des omaticayas. Né d’un père guerrier et d’une mère apothicaire, au sein d’une tribu mineure de chevaucheurs d’Ikran, le jeune na’vi ne manqua de rien. Cette tribu, les maticolos, étaient surtout connu pour leur grand savoir et leur connaissance sur toutes les facettes du monde.

Initié aux arts maticolos, on enseigna à Wan’ek l’art de la parole, puis l’art de combattre. Car dans cette tribu, le combat n’était pas seulement destinés à la chasse ni à la défense de la tribu, non, chez les maticolos, combattre était un art, et ce sont des siècles de connaissances qu’assimila le jeune Wan’ek, apprenant à se servir de tout ses membres afin d’être apte de faire des enchaînements que peu de na’vi arriveraient à faire.

Cette tribu, qui vivait isolé du reste du monde, était pourtant doté d’un potentiel intellectuel et guerrier hors du commun. Sous-représenté dans les conseils des tribus, ils n’en restaient pas moins d’une grande influence pour leur savoir, mais toujours ils refusèrent d’enseigner leur savoir au reste des na’vi.

Apprenant pendant des années à se servir de tout les types d’armes, apprenant à parler aux êtres vivants, à la nature, tout comme à user de la parole afin de raisonner avec sagesse, Wan’ek devint un membre exemplaire des maticolos. Quand des compétitions étaient organisées entres les différentes tribus, les maticolos se retrouvaient fréquemment dans le peloton de tête, et Wan’ek parvint même à gagner l’une d’entre elles. Puis, par la suite, Wan’ek devint un des chefs de la tribu, et fut représentant de celle-ci lors des grands conseils na’vi. D’ailleurs, c’est là que nombre de na’vi virent le potentiel oratoire de ce jeune na’vi, qui impressionnait par sa rhétorique et son savoir.

Quand les humains débarquèrent sur Pandora, alors que nombres de tribus se méfiaient de cette race, les maticolos, quant à eux, furent plus curieux qu’autre chose. Très ouvert d’esprit, ils échangèrent alors leur savoir contre le savoir des hommes. Les humains avaient accepté de céder une partie de leur savoir en échange d’informations de la part des maticolos, mais ils ignoraient que les na’vi de cette tribu, avides de savoirs, comprirent à manipuler la technologie humaine, mais pas à la créer. Les maticolos comprenaient la mécanique, le fonctionnement de la technologie humaine. Lors de rencontre diplomatique, les maticolos servaient très souvent d’interprètes, car tous avaient appris à parler l’humain ».Les autres tribus voyaient cet échange entre les maticolos et les humains d’un mauvais œil, et les maticolos furent mis à l’écart plus que jamais.

Mais Wan’ek et le reste de sa tribu, ayant un savoir immense, arrivant à penser comme les humains, furent les premiers à comprendre les dessins du peuple du ciel. Les maticolos avaient compris que les humains attaqueraient les omaticayas si ceux-ci ne se déplaçaient pas. La tribu envoya des émissaires pour prévenir les omaticayas, mais ceux-ci étaient trop rattachés à leur arbre maison ? Les maticolos savaient ce que représentaient cet arbre, et se décidèrent alors à agir…

Ne fonctionnant pas comme les autres na’vis, qui se préparaient déjà à la guerre avec pour seules armes des bouts de bois et d’os, les maticolos utilisèrent la technologie humaine pour la retourner contre eux. Cela marcha bien au début, mais les humains jugèrent les maticolos trop dangereux, car ils en savaient trop, et risquaient de donner de puissants moyens de défense aux reste des na’vis. Les humains attaquèrent alors les plaines de Goliath, la bataille fut inégale, car les maticolos étaient moins nombreux, et ne purent demander de l’aide aux autres tribus, mais leur intelligence leur avait permis d’utiliser des armes humaines pour porter un coup dur aux hommes. Ils avaient d’ailleurs fait exploser les réacteurs d’un des dragons des humains, mais cela ne suffit pas, et la tribu fut quasiment exterminée, ne laissant que quatre survivants.

A l’annonce du désastre, les autres tribus acceptèrent de prendre un survivants chacune. Wan’ek, profondément bouleversé par la perte des siens, rejoignit alors les cavaliers des plaines, et ce fut la première fois où un maticolos révéla son savoir. Cette richesse d’esprit impressionna les na’vi, et tous comprirent que les quelques maticolos qui avaient survécu étaient un atout majeur pour leur savoir.

Wan’ek accompagne sa nouvelle tribu pour la bataille finale, où son intelligence et sa force l’avait d’ors et déjà hissé dans la hiérarchie. Lors de la bataille la plus sanglante que connurent les na’vi, les maticolos se révélèrent être de véritables bêtes enragés, avide de vengeance, jamais les na’vi n’avaient vu un de leur frère se battre avec autant de hargne. Wan’ek terrifiait les humains par sa danse macabre, jamais les na’vis n’avaient vu quelqu’un se battre avec autant de grâce et de rage à la fois, ils comprirent alors mieux les compétences des maticolos. Wab’ek savait jouer des explosifs pour porter de mauvais coups aux humains.

Après la sanglante victoire na’vi, Wan’ek fut décoré, et monta en grade. L’ex-maticolos enseigna son art à ceux qui le voulaient, offrit ses connaissances afin de faire évoluer les na’vi, et chercha pendant 5 ans à reproduire la technologie humaine. On le voyait come un érudit, un savant, un scientifique na’vi. Wan’ek, s’entrainait sans cesse à la recherche de nouvelles techniques, mais il essayait aussi de créer de nouveau médicaments, de nouvelles armes.
Vint alors la venue de nouveaux humains. Ceux-ci tentèrent de reprendre contact avec les na’vis, Et Wan’ek servi d’intermédiaire plusieurs fois. Les humaisn commencèrent alors à croire que Wan’ek était dans leur camp, mais en réalité, Wab’ek sait désormais raisonner comme un humain, et tel un cheval de Troie, il se fait passer pour amical, alors que sa rancœur et son besoin de vengeance était déjà à leur paroxisme…

Tribu désirée : Cavaliers des plaines

Classe désirée : Guerrier

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