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 |  Sujet: Kyutsuki Mizu Mar 29 Déc - 13:34 | |
| Nom de l'homme :
Kyutsuki Mizu (nom-prénom)
« La 9eme goûte de lune » (Japonais) >> « Meytri'ka » (Na'vi)
Mentalité :
Mizu est vraiment un drôle de petit bout de femme. Jamais elle ne se laissera faire, compte tenu de sa légendaire susceptibilité. Bien que se soit également une tête-brûlée de première n’en faisant qu’à sa tête, elle reste obéissante si on lui donne un ordre. Mais attention, si cet ordre lui semble injuste ou s’il nuit à quelque chose qui n’avait rien fait pour demander ça, elle n’hésitera pas à retourner sa chemise pour plaider en la cause qui lui tient à cœur. Mizu est comme ça, elle ne supporte pas la bêtise et l’injustice de l’homme. Bien qu’elle soit d’apparence à une femme forte, la jeune femme a quand même un côté cœur d’artichaut. Si elle rencontre un homme –ou un Na’vi- n’étant pas atteint de folie humaine, elle sera alors douce et gentille, tout en restant assez susceptible aux remarques (Surtout sur sa taille, autant en tant qu’humaine, que Na’vi). Attention hommes à ne pas trop la chauffer, vous risquerez de vous retrouver au sol (sauf si vous êtes le chef) !
Son but n’est autre que de s’allier au Na’vi et de découvrir ce monde qui la fascine tant. A vrai dire, ce lien profond qu’ils ont avec la nature l’intrigue vraiment, et depuis qu’elle est sur Pandora, elle se dit que c’est le monde dont elle a toujours rêvé, comme un rêve qui se réalise. Même dans son Avatar, Mizu reste confiante, allant de l’avant et sans se soucier trop des conséquences futures. C’est un pur sentiment de liberté, qu’elle aura du mal à quitter. Dans son esprit, depuis toujours elle voulait être Guerrière, plus qu’Achère –même si la possibilité d’en être une lui plaisait- étant très forte en Arts Martiaux, se battre au corps à corps utilisant les flux d’énergie qui l’entourent. Elle aime ça, et se battre à mains nues ne lui fera pas peur, loin de la.
Description physique :
Il n’y a pas grand-chose à dire sur Mizu, c’est une femme typiquement Japonaise. De taille petite, quasiment au mètre soixante, sa corpulence n’est pas très impressionnante non plus. Son visage est fin et plutôt aplatit, d’une pâleur impressionnante. Ses yeux sont normalement marrons, mais quasiment noir avec un petit nez et une petite bouche, quant à ses cheveux ils sont noisettes, qu'elle a teint en reflet roux. Bien que cet ensemble puisse paraître assez hostile et sombre, la jeune femme affiche toujours un air doux et radieux. Bien que l’actualité soit dans la superficialité, elle ne se prend pas la tête avec ce genre de pacotilles et reste naturelle.
Histoire :
Il a exactement 32 ans ce cela, une petite fille du nom de Mizu vit ses premiers jours débuter dans le pays du soleil levant. Sa famille était simple, son Père, sa Mère, elle et son chat, Maru. Depuis toute petite, Mizu eut de l’avance sur les autres au niveau des langues. Par ailleurs, ses parents étant assez aisés fortunément parlant, l’inscrire dans une école bilingue, apprenant le Japonais et l’Anglais. Dès ses premières rencontres avec les enfants de son âge, elle se révéla une vraie tête brûlée n’en faisant qu’à sa tête. Elle n’hésitait pas une seconde à frapper fille ou garçon si on l’énervait. Ses parents s’excusaient pour elle devant les autres parents à chaque fois, et à chaque fois elle se fichait complètement des représailles. Quand quelque chose lui semblait injuste, elle le faisait savoir. Si bien qu’elle a toujours été plus considérer comme un garçon que comme une fillette. Plus tard elle commença les arts martiaux et devint plus calme, ayant trouvé un moyen de défouler sa colère.
Et au plus elle grandissait, au plus elle voulait en apprendre. Les langues scolaires ne lui suffirent plus. C'est alors qu'elle se lança dans l'aventure et fit le plus possible les voyages scolaires. Et c’est en voyageant qu’elle apprit à connaître le réel fond de l’homme. Foncièrement égoïste, voilà comment elle voyait la société. Secrètement, elle se mit à la haïr et à se réfugier auprès des énergies spirituelles de son pays natal, qui lui apportait calme et sérénité. C’est aussi avec les arts martiaux qu’elle apprit à être plus sensible au flux qui l’entouraient. Si bien qu’elle se mit à aimer la nature et son aura plus que tout. Son refuge et son havre de paix se trouvait là. Juste à côté de chez elle il y avait justement un petit parc dans lequel elle se réfugiait souvent, comme une confidente. Mais un jour, un malotru rasa toute la petite partie de verdure pour y construire un vulgaire building servant de bureau pour une banque… Ce fut le coup qu’elle ne put encaisser. C’est à partir de là que sa haine envers l’homme et sa capacité à tout détruire commença. Étant un peu plus adulte et ouverte sur le monde, elle s’est mit à voir réellement le monde qui l’entourait. Au départ elle était centrée sur les relations humaines et sa petite vie citadine, mais très vite elle s'aperçue de la famine, des destructions terrestres ou encore de la pollution. Une chose très affligeante pour elle, qui fut très dur à encaisser.
Aujourd’hui encore même, la pilule n’est toujours pas passée. Elle devint quelqu’un d’associable et de cynique. Entrant dans une dépression sans fin. Son dernier refuge, de son petit appartement de Tokyo, fut les langues. Elle y trouvait une réelle passion à déchiffrer à l’endroit et à l’envers chaque mot, chaque phrase, afin de les comprendre. Son ambition d’avenir se porta sur cette carrière la.
Le temps passa, et vint le temps de grandir. Mizu comprit alors que cela ne servait à rien de déprimer ainsi, et que de toute manière, elle était trop lâche pour mettre fin à sa vie d’elle-même. Alors elle se contentait de vivre, avec l’espoir optimiste que certains hommes peuvent être bons. Son sourire était revenu, et elle se montrait plus aimable avec les gens. Par ailleurs, pour le métier qu’elle exerçait désormais, il valait mieux être sociable. Elle avait enfin réussit à devenir traductrice-interprète et mettait sa plus grande passion à loisir, ça la rendait heureuse et ses parents étaient fiers d’elle. En même pas 4 ans, le président Japonais lui-même remarqua ses talents et l’employa comme sa Traductrice personnelle. Plus pratique d’avoir un génie qui parle plusieurs langues, que plusieurs personnes pour chaque langue différentes. Elle s’exerça durant deux années auprès du président et fut très vite reconnu pour son talent, le seul talent qu’elle avait.
Ce fut une demi-année avant le lancement de la navette en direction de Pandora la terre nouvelle, elle était en réunion pour discuter du projet Avatar, ou plutôt pour traduire le sujet de la discussion au président, qu’elle fut convoquée par une drôle de femme se disant cheftaine du projet avec la RDA pour recruter les nouveaux membres du projet. Elle était en séjour aux États-Unis avec le président, lorsque cette drôle de femme s’adressa à elle. En une journée, Mizu fut assaillit d’informations sur Pandora, ne comprenant pas trop au début. Ne comprenant pas également le but des paroles de cette femme. Jusqu’à ce qu’elle en vienne au fait, le Dr avait reconnu ses talents d’interprète durant la réunion et sa capacité à apprendre une langue assez rapidement. Mizu était donc conviée à la deuxième lignée du projet Avatar. La deuxième navette qui arriverait plus tard que la première (aux environs de 15 ans après). Le président Japonais fut comblé que son interprète soit conviée à ce projet et il le prenait juste comme une fierté personnelle, rien d’autre. C'est d'ailleurs lui qui lui paya son Avatar, étant incapable d'elle même en assurer les frais. La jeune traductrice fut donc initiée au projet Avatar, après avoir appris l’existence de ce dernier. Voulant à tout prix quitter la planète Terre et ses hommes égoïstes, mais surtout ces viles politiciens dont elle ne voulait plus entendre aucune mascarade, elle accepta sans rechigner.
Elle apprit la langue Na’vi, par informations délivrées par les anciens rapports de Grâce, qui lui furent accessibles. Se préparant à un monde assez hostile, elle se perfectionna dans les Arts-martiaux, avec les maîtres Américains. Il lui en fallait peu pour mettre un colosse au tapis, malgré son petit corps à l’apparence faiblarde. Comme promit, elle fut maitre de la langue en l'espace de peu de temps, et ce fut son rôle d'enseigner le Na'vi à toute la nouvelle escorte qui allait sur Pandora.
Mais le président, devant normalement resté deux jours dans le pays Américains avec Mizu, la laissa sans aucune directive seule, repartant lui pour le Japon. Ne connaissant aucunement les coutumes américaines, et n'ayant même pas la monnaie dollar, Mizu se retrouva démunie et sans savoir quoi faire dans un pays inconnu alors qu'elle n'avait que 24 ans.
Cela faisait deux jours qu'elle dormait dehors, sur des bancs, et elle se sentait à quelque part heureuse d'être en été, elle restait optimiste en toute circonstance.
Ayant trouvé cinq dollar par terre, elle s'en servit pour acheter un petit truc à manger et s'installa au comptoir d'un bar pour se payer l'unique petit plaisir du séjour, un bon thé bien fort. Mais bien sûr, pour un thé si peu cher, le bar n'était pas vraiment très fréquenté et faisait plutôt office de squat. Mais bon, avait-elle le choix ? En l'occurrence, non.
Passer du milieux politique à celui de incandescence à l'état pure, changeait beaucoup notre Japonaise étant plus habituée aux respects total que de l'irrespect. Elle fut alors accosté pas plusieurs hommes en apparence bourrés dans ce bar. Elle se dit qu'elle n'avait rien à craindre, vu qu'elle n'avait aucun sous sur elle, pas le moindre yens, pas le moindre dollars ! Mais Mizu trop habituée aux mœurs japonaises était trop naïve face à ces hommes en rut. Alors que l'un d'eux l'avait attrapée par le bras pour l'emmener on-ne-sait-où, un autre homme fit son apparition dans le bar, à l'apparence dure et farouche. Et il fit fuir instantanément les gars, sous les yeux stupéfaits de Mizu. Comment était-il capable d'une telle autorité sur ces hommes ? Franck Carreti s'était-il présenté en s'asseyant à ses côtés.
S'en suivit alors d'une drôle de fusion entre cet homme, bien que beaucoup plus âgé qu'elle, et Mizu. Lui ayant compté son histoire, Franck la prit pour moitié-folle avec des êtres immense complètement bleus, une planète à des années lumières, une flore bioluminescence. Mais malgré ça, il la convia tout le même à venir cohabiter avec lui le temps qu'elle puisse commencer son projet et être hébergée. Ce fut en quelque sorte, son sauveur. Plus le temps passé, plus Mizu se sentait bien aux côtés de Franck et n'avait plus aucune envie de partir. Malheureusement, d'ici un an, le rêve prendrait fin et elle devrait aller sur Pandora pour effectuer la mission qu'on lui a attribuée.
C'est à partir de ce moment là qu'elle apprit à vivre au jour le jour, voulant profiter de chaque instant. Elle savait que Franck ne faisait pas que des choses légales, mais elle s'en fichait. Chaque fois qu'il rentrait à la maison, le ménage et le repas était fait -bien qu'elle ait du mal à s'adapter à la cuisine américaine au début- pour qu'il puisse se reposer tranquillement, et aussi en guise d'hébergement car elle n'avait aucun sous pour pouvoir payer un quelconque loyer. Il ne fallut pas beaucoup de temps avant que les deux ne deviennent un peu plus intime et éprit l'un de l'autre.
Un mois avant l'embarquement pour la planète Pandora, Mizu savait qu'il fallait qu'elle déserre les liens avec Franck mais avait vraiment du mal. La fatalité en joua autrement et décida de trancher à sa place. Quelqu'un avait balancé Franck et la police vint l'embarquer pour le commissariat chez lui. Durant tout ce temps, Mizu alla le voir régulièrement tout en s'occupant de son poste de professeur de langage Na'vi et de la maison de Franck. La sentence fut donnée et Franck devrait passer sur la chaise un jour après le départ de la navette sur Pandora. A ces mots Mizu ne savait plus que faire. Franck l'ayant accepté, elle le devait aussi. Elle prit donc sur elle et s'occupa de Franck du mieux qu'elle le pouvait jusqu'à la date péremptoire.
Le temps vint alors à embarquer. Ayant passé tout son temps à étudier la langue des Na’vi, s'occuper de la maison et aller voir Franck, elle n’avait même pas pu faire la connaissance des autres futurs-pilotes d’Avatar. Et oui, comme bien d’autres, sont avatar était en train de ‘‘naître’’, et il terminera sa croissance durant le voyage. Si elle a été choisit comme Pilote Avatar, c’est avant tout pour ses qualités d’interprète. Et 5 ans et quelques poussières passèrent en un clin d’œil, ils avaient été cryogénisés durant tout ce temps pour pouvoir atteindre Pandora. Ses sentiments n'avaient pas bougés, et la même amertume rongeait son cœur. Le réveil fut dur, et Pandora lui sembla vraiment… Époustouflante. Rien qu’en ayant étudié le peuple Na’vi, elle en était tombé amoureuse. Dès les premiers jours on leur compta les exploits de Jake Sully, qui avait réussit à être Toruk Makto !? Quel veinard ! De tout son cœur, Mizu espérait avoir de bonne entente avec les Na’vi et se disait au fond d’elle depuis cette histoire de Jake Sully, que si le temps du grand Chagrin venait à venir, elle se rangerait immédiatement du côté des Na’vi.
Mizu rendit visite à son Avatar pour voir la progression et fut réellement stupéfaite de la ressemblance… Dès qu’elle eut vu son visage, elle la nomma ‘‘Meytri’ka’’ voulant dire la même chose que son nom, mais en Na’vi. Il ne lui reste plus que quelques jours à attendre pour pouvoir enfin commencer à piloter son Avatar, et elle n’en peut déjà plus d’attendre. Mais elle a oublié une chose essentiel lors de son apprentissage... D'apprendre quelles sont les coutumes et les croyances de ce pays, tout ce qu'elle connait, c'est Eywa, et les quelques mots de la langue nécessitant des explications (Arbre sacré, Toruk Makto etc..). Mais elle ignorait totalement leur mode de vie. Voulant guérir de sa blessure et sachant qu'elle ne le reverrait plus jamais, Mizu se fit à l'idée et se plongea dans son travail à fond. Jamais elle ne parla de cette histoire à quiconque et ne parla plus de sa vie personnelle tout court.
Description physique de l'avatar :
Comme tout bon Avatar, celui de Mizu lui ressemble. Notamment au niveau des yeux qui sont légèrement bridés sur l'avatar dû à ses origines nippones. Meytri’ka possède un corps d’une petite taille pour une Na’vi, de quasiment 3 mètres. Son corps est fin et élancé serpentueusement avec une musculature athlétique. Sa peau est d’un bleuté lumineux lorsque la nuit tombe, nuancé de quelques teintes de vert et violet. Pour le moment, elle porte encore des habits humains à la taille Na’vi. Un débardeur blanc avec une veste à manche courte ainsi qu’un short de couleur sable. Mais sans aucune chausse, elle préfère se sentir libre de ses pieds. Ses cheveux d’un noir de jais sont teintés de nuances bleutés lorsque le soleil brille, décorés par trois petites perles rondes sur chaque côté. Pour la taille de la queue et de la longue tresse, elles sont de tailles moyennes. Son petit visage est fin, avec des lèvres pulpeuses et un nez débutant de façon fine, puis finissant assez large. Quant à ses yeux, ils sont larges et pétillants et d’un gris-doré profond.
Mizu a baptisé son Na'vi « Meytri'ka » qui est la traduction de son prénom a elle (possédant une signification). Lorsqu'elle est dans son Avatar, elle souhaite qu'elle soit nommée ainsi.
But :
Son but est simple, étant une âme littéraire avant tout, et ayant encore foi en une part de l'humanité, le but de Mizu est d'écrire un livre. Banal dirait-on ? Peut-être pas tant que ça. Ce n'est pas n'importe quel livre ! Mizu souhaite y relater la manière de vivre du peuple Na'vi, ainsi que de leurs coutumes et façon de penser entre eux. Mais pourquoi faire ? Elle veut sensibiliser les habitants de Gaïa à la nature Na'vi, et à ce qu'ils redécouvrent l'importance qu'à la nature à la base de toute chose.
Tribu désirée pour l'avatar :
Mizu est chez les Omaticayas depuis ses débuts en tant que pilote d'Avatar. Mais elle a pour mission d'aller à la rencontre d'une autre tribu, les chevaucheurs du Sud.
Dernière édition par Mizu Kyutsuki le Dim 28 Mar - 12:17, édité 24 fois |
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