Fameuse curiosité [Pv Zelios]

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La curiosité, pourquoi était-elle considérée comme un défaut? Certes, elle savait amener nombreux à leur fin si elle se trouvait trop aiguisée mais à la fois, elle a sut tout changer... Le cours des choses, bien évidement. Comment pouvait-on si vite la juger ainsi? N’était-ce pas légèrement pessimiste? Bref, un atout pour certain et un handicap pour d’autres...

Cette journée ne différait pas des autres, du moins il en paraissait autant. Il était bien rare du moins, qu’elle ne vint pas dans la jungle en quête de gibier. Naturellement, il est de routine de l’y envoyer chasser et ramener le repas du soir tout comme les autres chasseurs... Mais il semblait que cette journée allait être de repos. La cavalière avait tout de même prit l’initiative d’y venir... Certaine quête de calme? Qui sait. La lumière y perçait toujours très peu dût au nombre d’arbres, ainsi que leur épais feuillage. La chaleur n’y était donc jamais trop atroce pourrait-on dire, contrairement à chez elle là où rien n’est à couvert! Mais en revenge, là on peut y voir ces ennemis avant qu’ils ne frappent... Mais ce n’était pas une raison pour craindre la jungle. Sa végétation luxuriante était apaisante aux yeux mêmes et procurait un simple sentiment de sécurité, alors qu’à quelques pas derrière peuvent se tenir des nantangs prêt à bondir... Son danger était à la fois son charme. Ironique à dire mais vrai... Tout ceux y étant exposés apprenaient assez vite par eux-mêmes.

Non, si elle était venue s’y aventurer encore aujourd’hui était car elle ne pouvait s’en éloigner probablement... Toujours de quoi à y faire, à observer... Sur la pointe des pieds, Ospemal s’avançait en zigzaguant entre les arbres, écoutant tout bruits de ses oreilles, attentive à tout ce qu’Eywa pouvait tenter de lui dire ou de la prévenir. Ces pieds fouettèrent contre de nombreuses plantes se dressant sur son chemin, toujours aussi fraîche qu’avec la rosée du matin. Un sourire se hissa sur ces lèvres, emportée par une des plus simples joies livrées par nul autre que la nature elle-même...

"Ouch!"

Le plus petit détail lui aussi, peut empirer une journée... Ça on a tous une expérience personnelle là-dessus! Ospemal venait de se faufiler entre deux arbres, seulement son bras se heurta contre une branche assez pointue de l’un des deux. Pendant un moment elle serra les dents, jetant un œil à sa coupure. Elle hissa un léger grognement d’insatisfaction, dut à son imprudence. Elle saignait, oh joie... Et avec les infections possibles, il n’y avait pas de temps à perdre. La na’vi s’accota contre l’arbre suivant, afin de jeter un rapide œil à sa coupure. Pas très profonde, mais le sang lui coulait... Pas de bonne augure! Comme si elle allait trouver un bandage ou autre chose pouvant servir à panser sa blessure, elle jeta un rapide œil aux alentours... Rester sur place pouvait s’avérer une dangereuse faute. Ce dut à l’odorat développer des prédateurs rôdant ces lieux bien sur... Alors la guerrière hâta le pas afin de quitter les lieux... Lorsqu’un rayon de soleil vint l’aveugler un bref instant.

"Nang?" Dit-elle surprit.

Elle leva rapidement la main afin de couper la lumière et avoir une meilleure vue sur la situation. Aucun arbre la surplombant... Autour d’elle, que racines et herbes. Elle était dans un endroit éclairé... Une clairière sans doute. Encore mieux, maintenant elle était à vue de tout ce qui pouvait passer par là... Où là haut pour dire!

"Pas de chance... Arg!"

Hissant les dents une fois de plus, la na’vi tendit les oreilles. Un bruit venait d’en direction ouest... Lentement, elle tourna la tête afin de voir les fougères en mouvement... Encore moins bon au niveau de l’augure! Son cœur battant plus vite, incapable de prédire qu’est-ce qui en sortirait, elle prit fuite et retourna rapidement en direction des arbres, là où elle pourrait tout de même avoir un avantage au cas du pire scénario... Mais elle saignait encore. Maintenant dos à un arbre au bord de la clairière, elle se moula à sa forme et ralentit sa respiration, du coin de l’œil, attendant de voir que donc en sortirait...

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Comme a son habitude, Zelios c'était encore fourré dans une situation des plus délicates. Tout avait bien commencer pourtant, Zelios c'était levé au petit matin afin de partir en exploration dans la jungle. Personne n'avait remarquer son départ et ce n'était pas un mal car si quelqu'un l'avait aperçu partir sans escorte et sans arme il est clair qu'il aurait été rappeler a l'ordre et confiné dans la base de la RDA. Mais pour son plus grand plaisir cela n'avait pas eu lieu, à la place de cela il avait parcouru une bonne distance afin d'étudier les plantes et des espèces d'animaux tous plus incroyable les une que les autres. Mais cela était bien avant le drame...

Alors qu'il étudiait des oiseaux aux couleurs exotiques, Zelios tombât nez à nez avec une sorte d'énorme rhinocéros, voyant la créature s'éxité devant lui il eu la bonne idée de prendre ses jambes à son cou. Mais ce ne fut pas la meilleur idée que Zelios est eu dans sa vie, cela n'avait que aiguisé la curiosité de l'animal qui l'avait pris en chasse en le chargeant a toute allure ! Zelios courra pendant 100 mètres jusqu'à ce qu'il observe que la bête gagnait de plus en plus de terrain. La seul solution était de trouvé un abris au plus vite afin de ci cacher. Zelios tout en courant balailla d'un revers du bras une énorme feuille d'arbre qui cachait une sorte de clairière où des racines ainsi que des hautes herbes était les seuls présent aucun arbres n'étaient présent.

Alors que le sol tremblait sous les pas pesant du Titanausaure qui devenait de plus en plus bruyant en vue de ça venu, Zelios se mis a réfléchir.

* Une cachette ! Vite !!! *

La panique commençait à envahir peut à peut l'esprit de l'humain désemparé face à la situation plus critique que jamais, l'espoir commençait à disparaitre. Il allait se faire écrasé ici par cette force de la nature, dans cette jungle cruel ou l'homme n'avait pas ça place...
Il n'y avait pas à dire, cette planète Pandora n'était pas un monde féerique comme il le pensait mais plutôt une arène ou chaque journée était une épreuve de survie.

Non ! Zelios se ressaisit, il était hors de question que sa vie s'achève ici et surtout piétiné par un vulgaire Titanausaure bête comme ses pieds. A quelques cinquantaine de mètres de lui un bosquet d'arbres, c'était la seul issus qu'il pouvait trouvé afin de se cacher et peut être évité une mort atroce. Le scientifique courra aussi vite qu'il pouvait afin d'atteindre cette destination, encore quelques mètres et il réussirait. Ouf ! Sauver ! Zelios avait trouvé refuge derrière un arbre, quelques secondes s'écoula jusqu'à ce que la créature arrive enfin à la clairière et il avait l'aire fou de rage d'avoir perdu la trace de sa proie. Zelios, rassuré de voir l'animal rebrousser chemin poussa un soupir de soulagement, dos a l'arbre qu'il l'abritait il déposa sa main sur l'écorce de l'arbre chaude et molle...

Une écorce chaude et molle ?! Zelios bondit de surprise paniqué il en tomba par terre, dans le creux de l'arbre se trouvait un être à la peau bleu parcouru d'éclat blanc scintillant comme des diamants. C'était un Na'vi ou plutôt une Na'vi, sur le long de son bras coulait du sang...
La surprise était telle qu'aucun mot ne sorti de sa bouche, il se contentait de la regarder avec les yeux d'un enfant émerveiller comme s'il avait trouvé un trésor. Il commença alors a se reprendre, toujours a terre il dit d'une voix basse:

" Incroyable. Qui es tu ? comprends tu ce que je dis ? "

Voila les seuls mots que pouvait dire Zelios pour le moment, trop surpris pour en dire plus. La Na'vi était habillé très légèrement comme tout ses semblables d'ailleurs, sa coiffure était une multitude de tresses d'un brun ébène, quand a ses yeux c'était bien les plus magnifique que Zelios avait pue contempler dans sa triste existence. Il était jaune-or comme si des merveilles s'y cachait a l'intérieure mais le plus frappant était ses ongles gracieux et long affuté comme des lames de rasoirs.

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Ce qu’elle vu comme elle entendue alors eut dépassé toutes ces attentes... La tête légèrement inclinée, du coin de l’œil elle zieuta de nouveau la clairière, de là où provenait le bruit fort et sourd qu’elle venait tout juste d’entendre venir. Nombreuses feuilles des fougères et arbres se mirent à voler, emportées par le vent après le grand choc qu’elles eurent subit sous l’impact des incroyables pas du... Angtsik qui venait de se pointer le nez sous le soleil du jour. Alertée par la proximité de l’immense bête, les yeux d’Ospemal s’agrandirent par l’étonnement et elle ne tarda point à ramener sa tête dans l’ombre de l’arbre derrière lequel elle avait établie sa cachette! Par la vue rapide de l’animal et les sons émient par ce dernier, elle eut vite déduit que c’était un mâle, pas mal enragé en plus de ça!

"Une minute..." pensa-t-elle.

La na’vi songea un bref instant. Si il avait chargé, quelque chose l’avait provoqué... Il avait donc prit en chasse quelque chose! Sans compter que cette chose en question devait bien évidement avoir emprunté un chemin pas mal en sa direction... Elle retint sa respiration pour deux bonnes raisons maintenant, attendant patiemment un signe de la part de la bête... Les oreilles de la cavalière ne tardèrent point à distinguer les pas lents de l’animal, qui sans doute s’éloignait maintenant, considérant le son des troncs heurtés à son passage. Lorsqu’elle en fut assez certaine, elle s’apprêta à jeter un œil. Balançant la tête sur le côté de l’arbre comme elle eut fait plus tôt, elle...

Hissa des dents et vint presque à grogner lorsqu’elle croisa le regard en plus d’en même temps ressentir une peau moite serrer son bras à peine sous sa blessure. Enfin, assez inattendu! Là à peine à un mètre d’elle se tenait une petite silhouette si familière mais si redoutée... Nul autre que ces fameux marcheurs de rêve. Ayant bondit un pas en arrière afin de créer une distance dut à une telle surprise, Ospemal se contenta de regarder les yeux aussi surprit paraissaient-ils que les siens... Tout comme aucun mot ne sortit de la bouche de ni l’un ni l’autre. Enfin, il fut le premier à changer les choses...

" Incroyable. Qui es tu ? comprends tu ce que je dis ? "

Elle écouta attentivement ces paroles bourdonnant à ses oreilles. La na’vi cligna légèrement de l’œil, comme pour voir plus clair... Il se tenait là, sans aucun doute aussi surprit qu’elle! Mais elle hésita sur que faire par la suite... Pas de la confrérie. Pas aussi loin des plaines! Était-il donc dangereux? Encore là elle ne pouvait se permettre que d’en douter... Ospemal trouva tout de même le courage de s’approcher de lui, de tourner en rond quelques fois autour de ce dernier dans le simple but de l’étudier. La peau aussi pâle que nombreux autres qu’elle ai vue, les yeux de divers tons de bruns... Elle s’attarda alors à ces cheveux courts et foncés. Malgré le nombre de ces congénères qu’elle avait eut le chance de côtoyer... Elle ne c’était jamais encore habituée aux coupes que ces derniers arboraient. Mais qui était-elle pour juger? Après en avoir finit, elle finit par prendre une grande inspiration et de répondre à sa question.

"Je comprends... Un peu. Mais tu ne devrais pas être ici, c’est dangereux!"

Elle tendit le bras vers lui, tentant de faire comprendre le message et de le repousser sans lui toucher... S’il ne retournait pas à sa base, qui sait ce qui lui arriverait? Enfin aux dernières nouvelles les marcheurs de rêves éprouvaient quelques difficultés face aux casualités d’Eywa. Les yeux de la na’vi reflétait son sérieux, et ne quittèrent point ce dernier, insistante. Elle ne mentait pas, elle n’était pas la meilleure quand il venait à communiquer dans la langue de ces derniers!

"Ospemal, cavalière... Tu dois partir. Ce n’est pas sur pour toi!" Ajouta-t-elle.

Sa voix n’était pas brute, seulement emplit d’honnêteté. Sans doute comprendrait-il, à espérer... Ce dernier allait-il réagir proprement? Mais la curiosité de la na’vi prit tout de même le dessus une fois de plus. Elle demanda alors innocement,

"Enfin, quel est ton nom à toi?"

Elle attendit patiemment sa réponse, ou quelconque réaction en levant son bras vers sa blessure. Elle brûlait, la na’vi eut donc comme seule réaction de serrer les dents et de murmurer quelques mots de douleur. Cela finirait par infecter... Elle s’agenouilla alors au sol, comme si le marcheur de rêve n’était plus là, se tenant à l’aide de son bras blessé. Les dents se serrant d’avantage, la cavalière commença désespérément à chercher une plante de l’œil... Une assez grosse qui pourrait servir à la panser ou de tel! Elle se rappela alors de la présence de l’inconnu devant elle, sans plus tardé elle se retourna de nouveau vers lui, se demandant s’il eut réagit.

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"Je comprends... Un peu. Mais tu ne devrais pas être ici, c’est dangereux!"

La na'vi ne semblait pas aimer la compagnie de l'humain qu'elle venait de rencontrer, d'un geste du bras elle lui fit comprendre qu'il devait s'en aller. Mais Zelios était bien trop têtu pour écouté les paroles d'une étrangère. Il se releva en enlevant les poussière et feuilles mortes qui s'était posé sur sa veste en cuir, après un brin de toilette rapide il se mis face à l'autochtone et dis en réponse d'un ton un peu ironique:

" Le danger sa me connais ! D'ailleurs c'est mon deuxième nom ! "

Zelios espérait d'étendre un peut l'atmosphère en disant cela mais il n'en fut rien, le regard de l'étrangère était plus sévère que jamais et sa méfiance aiguisé. Le scientifique attendait toujours une réponse sur sa question qui était de savoir l'identité de la Na'vi.

"Ospemal, cavalière... Tu dois partir. Ce n’est pas sur pour toi!"

Ospemal... Drôle de nom, mais qui restait quand même assez joli. Désormais Zelios pouvait posé un nom sur ce visage, c'était le premier contacte qu'avait l'homme avec le peuple de Pandora. Il était donc naturel que Zelios n'allait pas suivre les conseilles de Ospemal pour discuter avec elle et peut être en apprendre plus sur elle et son peuple. C'est alors que la curiosité de la jeune femme pris le dessus, elle lui demanda comment il s'appelait et Zelios lui répondit avec un grand plaisir

" Je m'appelle Zelios, et je viens d'une autre planète qu'on appelle la Terre. Notre monde est bien différent du votre, il y a presque plus de végétation et si tu veux mon avis cela est bien triste. "

Zelios pensait qu'en parlant de lui, Ospemal aurait donc plus de facilité à se confié à lui. Mais son attention se porta ensuite au bras de la jeune Na'vi qui semblait meurtrie d'un plaie ouverte et ou le sang déferlait. Zelios toujours prévoyant avait emmené avec lui avant de partir de sa base une trousse de soin, il enleva son sac à dos, l'ouvrit et commença a farfouiller dedans. Après avoir sorti plusieurs matériels de scientifique pour étudier la faune et la flore, il sorti une petite trousse ou se trouvait a l'intérieur des bandages ainsi que du désinfectant. Il s'approcha de Ospemal avec et lui dit:

" Je vais arranger cette blessure. "

Zelios pris alors quelques bouts de cotons et les imbibât de désinfectant. Il releva la tête et dit à Ospemal

" Ca va piquer un peut, mais c'est pour ton bien. "

Il posa le coton imbiber d'alcool sur la plaît de la femme et appuya dessus, il regrettait que cette première rencontre sois aussi douloureuse mais la laisser dans cette état ne serait vraiment pas raisonnable et puis dans quelques jours quand la plaît sera refermé et quelle aura disparut elle comprendra que ce n'était que pour son bien. Il pris ensuite les bandages et enroula la blessure qui se trouvait sur son bras. Délicatement il y fit un nœud et s'éloigna d'elle.

" Voila tu vois ce n'était pas si terrible que ça "

Dit il en arborant un sourire sur son visage. Zelios trouvait pourtant que quelque chose manquait dans ses habitudes...
Effectivement son casque de musique qui était autour de son coup ne marchait plus, il avait surement du se cassé pendant sa course éffrainer contre le Titanausaure. Il se demandait bien comment Ospemal allait réagir face a cette technologie terrienne, il ouvra donc les circuits électriques du casque et bidouilla quelques instants puis au bout d'un certains temps le son revenue. De la musique alors se dégageait des petites enceinte.

[Désolé mais j'ai pas trop d'inspiration ce soir :S]

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Sa réponse ne tarda point à venir,

" Je m'appelle Zelios, et je viens d'une autre planète qu'on appelle la Terre. Notre monde est bien différent du votre, il y a presque plus de végétation et si tu veux mon avis cela est bien triste. "

Elle avait bien comprise la première partie... Mais la deuxième resta vague. Terre? Elle croyait bien déjà avoir entendue ce mot provenant d’une autre bouche de marcheur de rêve! Mais il s’appelait donc... Zelios? Elle avait de la misère à prononcer... Comme les autres noms de ceux de sa race d’ailleurs. C’est alors que la jeune na’vi sans attente, commença à frissonner et leva rapidement la main contre son bras blessé, comme par instinct. Le sang ne cessait d’en couler... Dire qu’une branche faisait plus de mal qu’une morsure de nantang. Elle ne porta pas trop attention à son interlocuteur qui semblait glisser son sac de son dos et l’ouvrir, afin d’en saisir... Des choses qui finirent par capter son attention, donc elle ignorait bien le but. Curieuse, elle s’abaissa à son niveau afin de voir de plus près, le visage se penchant presque à l’intérieur du sac en question. Zelios s’approcha alors d’elle, avec certains de ces objets donc elle ignorait tout à propos... Mais qui semblait être fait d’une sorte de tissu.

" Je vais arranger cette blessure. "

Il appliqua quelques unes de ces bandelettes étranges sur son bras, exactement où se trouvait sa blessure mais juste avant avait fait coulée une certaine substance sur ces dernières. Il releva alors la tête et s’adressa de nouveau à la na’vi,

" Ca va piquer un peut, mais c'est pour ton bien. "

Quand la bandelette fut finalement posée sur son bras, Ospemal hissa les dents et eut comme réaction de relâcher quelques grognements... Elle ne pouvait en nier la douleur mais tenta de rester calme... Ce elle ne sut dire pourquoi, après tout elle aurait bien put décamper. Le marcheur de rêve finit par enrouler sa plaie, la bandelette finit par être rougit par le sang et la cavalière quelque peu perturbée regarda ce dernier s’éloigner tranquillement, lui laissant un espace suffisant pour se relever sans le frapper accidentellement de sa queue!

" Voila tu vois ce n'était pas si terrible que ça " ajouta-t-il.

Pendant un instant ce dernier jeta un œil à un... Autre appareil, quelconque objet bizarre qui reposait autour de son coup. Intriguée d’avantage, la na’vi se pencha sur le côté afin d’observer de plus près. Sans avertissement, en survint alors d’étranges bruits. En un simple instant le dos d’Ospemal fut entièrement courbée et elle avait dédaignée une de ces lames de sa taille... Bien que l’objet ne semblait pas menaçant et était entre les mains de Zelios, il ne lui inspirait pas pour autant confiance. De la musique? Surgissant de cela? Que donc? Elle se retrouvait une fois de plus surprise par les marcheurs de rêve. Ce n’était pas pour autant qu’elle se rapprocha, elle garda ces distances et un regard suspect, les oreilles tendues.

"Ze...Zeli...Os?" bégaya-t-elle.

Décidément pas de talent pour prononcer leurs noms... Elle se reprit rapidement après avoir secouée sa tête un bref instant pour sa bêtise.

"Musique? Vous tawtutes, marcheurs de rêves faites de la musique avec... Ces machines?"

Une minute dut s’écouler avant qu’Ospemal ose se rapprocher afin de mieux entendre le son qui dégageait de l’objet, et donc de Zelios. Elle s’accroupit un bref instant, collant son oreille par pure curiosité à l’objet mais la retira aussitôt, c’était trop fort! Elle grogna un bref instant en réaction mais un sourire vint vite se redessiner sur ces lèvres...

"Incroyable..." murmura-t-elle.

Tel un enfant, elle continua de fixer Zelios et sa machine aussi émerveillée... Sans plus attendre, mine de rien elle arracha presque l’objet de son coup avant de se relever avec ce dernier en main, avant d’échapper quelques rires. Elle en était vraiment fascinée... Elle ne sut expliquer où exactement elle avait toucher l’objet pour augmenter encore le son, mais l’objet a même finit par trembler sous son emprise dut au niveau du son qu’il émettait. Prise par surprise, Ospemal l’échappa au sol et s’éloigna encore de quelques pas. Sans doute Zelios s’en occuperait-il, non? Que venait-elle de faire? Paniquée par un rien, elle commença alors à regarder les horizons... Tant de bruit provoqué... Et d’avantage de bruits venant des buissons à côté d’eux? Les oreilles de la na’vi se tendirent... La musique venait-elle d’attirer quelque chose?

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Les premières impression de Ospemal sur ce drôle d'objet qui émettait de la musique semblait l'effrayé, puis cette peur de l'inconnu évolua en une diabolique curiosité. Elle s'approcha alors de Zelios qui avait l'appareil sur son coup et le lui arracha subitement afin de l'étudier de plus près, la pauvre petite machine se fit secoué et malmené par la na'vi qui ignorait tout de la délicatesse dont on devait faire preuve avec cette appareil. Au bout d'un certain moment Ospemal appuya par erreur sur un bouton qui augmenta le volume, surpris elle le lâcha le laissant tombé à terre.

Zelios se leva alors et alla ramassé le casque, il rectifia le volume et dit:

"Voila, c'est redevenue normale. Prend le n'est pas peur."

Mais Ospemal avait complètement détourné son attention à l'avantage d'un buisson qui semblait être perturbé par quelque chose. Zelios resta sur ses gardes, qui pouvait savoir quel sorte d'animal allait en sortir et puis avec son aventure avec le Titanausaure cela n'avait fait que renforcé ses méfiances sur les créatures que abritait la planète Pendora. Au bout de quelques instants surgit un homme lourdement armé d'un fusil d'assaut suivit de ses hommes tout aussi bien armés jusqu'aux dents.

Sans dire le moindre mot les homme leva leur arme mettant en joue la pauvre na'vi qui semblait protesté par des grognements la présence de c'est homme. C'est hommes étaient des militaires de la RDA vêtu de leurs uniformes aux divers couleurs vertes.
Zelios exaspérer par la situation commença a se mettre entre les hommes et la na'vi qui devaient bien baissé leur arme au risque de blesser le scientifique. Zelios furieux pris la parole dans ce silence pesant:

" - Que faites vous ici ?! Et baisser vos armes toute suite !

C'est alors que l'homme qui semblait être le chef de la petite troupe pris la parole avec un regard emplie de haine quand celui ci regardait Ospemal et se changa en un regard foudroyant quand il le tournait vers Zelios

- Zelios Blackmind je présume, Nous avons ordre du colonel de vous ramenez tout de suite à la base ! Vous avez désobéie au protocole de sécurité en vous aventurant seul, sans arme et sans escorte dans cette jungle. Et je vois que nous arrivons au bon moment, une minute de plus et cette saleté d'autochtone vous aurez mis en charpie et nous aurions retrouvé votre corps mutilé ici ! Laissez nous abattre cette vermine, hors de notre chemin !

Le lieutenant poussa d'un revers du bras Zelios, il mis en joue Ospemal. Le soldat avait l'air sérieux, son regard remplie de haine, il posa son doigts sur la détente près a faire feu. Mais cela était sans compté sur Zelios qui étant présent jamais ne laisserait jamais faire ceci. Dans un réflexe il saisi le canon de l'arme et le pointa vers le sol, surpris par l'intervention de celui ci le lieutenant appuya sur la détente et le coup parti en direction du sol. Mais ce coup de feu n'avait pas pour autant fait aucun mal, le départ de la balle avait rendu le canon brulant qui immola la main du scientifique. Toute la paume de sa main était brulé coloré d'un rouge écarlate, le jeune homme laissa poussé un gémissement de douleur. Il plaqua sa main contre son torse soutenue de l'autre main, la rage se lisait alors sur le visage de Zelios.

- Bande de saloprie, ce que vous essayé de faire est un crime de guerre je vous signale. C'est à cause de gens comme vous que des guerres éclates, si je n'avait pas intervenue cette belle paix qu'il y a entre nous et les na'vis aurait été compromis !

- Bien, maintenant que vous vous êtes mutilé on va pouvoir peut-être enfin faire notre job !!! Les gars ont jouent ! FE...

Alors que le leiutenant n'avait pas fini sa phrase le poing de Zelios alla se figé dans la figure du militaire qui tomba au sol ! Tout les homme surpris par la tournure que prenaient les choses baissa à nouveau leurs armes meurtrière.
Le lieutenant se releva plus fou de rage que jamais, il rendit alors le coup que venait lui porté Zelios. Mais vue la carrure de l'homme assez impressionnante, ce coup coucha sans plus tardé le scientifique. Les pensées de Zelios était perturbé par le coup qu'il venait de recevoir, le lieutenant ramassa son arme au sol et mis en joue non la na'vi mais Zelios qui gisait au sol incapable de se défendre dans l'immédiat.

- Vous n'auriez pas du faire cela... Vous les scientifiques du projet avatar j'ai jamais pue vous supportez avec vos grands aires d'idéaliste qui rêve d'un monde utopique. Je pense qu'un scientifique de moins sur cette planète ne ferait pas de mal..."

Après avoir dit c'est quelques phrases effrayantes le lieutenant posa son doigts sur la détente a nouveau près a enlevé la vie à Zelios toujours dans le brouillard...

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"Voila, c'est redevenue normale. Prend le n'est pas peur."

Malgré les paroles de Zelios, elle garda son attention rivée sur les buissons... Les bruits s’approchaient d’avantage. Cela ne tarda point qu’une poignée de marcheurs de rêves surgirent des broussailles, avec leur soi disante machines en main. D’ailleurs ceux-ci ne tardèrent point à les river sur nulle autre qu’elle-même... Décidément les choses changeaient rapidement de tournant en une journée. Prise de surprise, les yeux d’Ospemal s’agrandirent et elle en profita de l’occasion pour se mettre en position défensive et relâcher quelques grognements tout en reculant de quelques pas... Le nombre n’était pas son avantage, son cœur commença donc à battre de plus en plus rapidement. Elle hissa un autre grognement remarquant qu’un des étrangers se détacha du groupe afin de s’approcher de Zelios.

" Que faites vous ici ?! Et baisser vos armes toute suite ! " répliqua ce dernier.

La na’vi garda l’œil sur sa nouvelle rencontre, qui malgré qu’elle n’était pas experte en sa langue... Sut bien lire la rage qui en ressortait. Ce qui ne fit qu’instinctivement lui faire faire de même. Mais que s’apprêtait-il à faire? Se retrouvant trop surprise et effrayée, la cavalière prit du recul. Elle laissa les deux hommes converser, les deux émettant autant de haine l’un que l’autre, mit à part le fait qu’elle eut bien de la misère à comprendre le congénère de Zelios qui ne s’attardait pas sur ces mots...

"... Laissez nous abattre cette vermine, hors de notre chemin !" finit-il.

Trop de mots qu’elle ne comprenait pas, mais juste le ton de l’homme ne la rassurait en aucun cas. De plus le revers de la situation non plus... Car au même instant Zelios intervenu et la dégagea de la ligne de tir de l’homme en pointant son viseur au sol, et puis alors se fit entendre un coup de feu. Ospemal fit un saut, ne lâchant pas un instant des yeux les deux hommes... Venait-il de descendre Zelios? Si facilement? Elle ne comprenait toujours pas le concept de ces marcheurs de rêves... De se battre entre frères comme cela? Ne faisaient-ils donc pas preuve de compréhension les uns envers les autres? Trop de pensées filèrent dans sa tête pendant ce bref et fatal instant. Mais elle fut rassurée de voir quelques secondes après, Zelios toujours sur ces pieds, mais échappa un certain gémissement de douleur qui ne put empêcher la na’vi de s’inquiéter. Sans doute l’instinct, elle refit quelques pas vers l’avant mais s’arrêta net... Que pensait-elle? Qu’elle pourrait se jeter à lui et l’aider tandis qu’elle était seule contre tout ce groupe armé?

" Bande de saloprie, ce que vous essayé de faire est un crime de guerre je vous signale. C'est à cause de gens comme vous que des guerres éclates, si je n'avait pas intervenue cette belle paix qu'il y a entre nous et les na'vis aurait été compromis !"

" Bien, maintenant que vous vous êtes mutilé on va pouvoir peut-être enfin faire notre job !!! Les gars ont jouent ! FE... "

Tout se déroula dans un bref instant. Le poing de Zelios vola en direction de celui du marcheur de rêve qui reçu le coup. Ospemal retint son souffle un moment... Une telle ambiance déclenchait en elle une certaine soif de survie, dirait-on? Comme si elle devrait entrer en jeu bientôt. Mais ce dernier ne rata pas de répliquer et envoya sa connaissance au sol. Ospemal hissa un léger grognement de désarroi.

" Vous n'auriez pas du faire cela... Vous les scientifiques du projet avatar j'ai jamais pue vous supportez avec vos grands aires d'idéaliste qui rêve d'un monde utopique. Je pense qu'un scientifique de moins sur cette planète ne ferait pas de mal... "

Mais ce qui fit réagir la na’vi fut le simple fait qu’il eut dirigé son arme vers très exactement la tête de Zelios. Bizarre à élaborer mais... On pourrait résumer la suite des évènements par un simple instinct? Protéger celui qui semble ne pas nous vouloir de mal? Car honnêtement l’homme l’avait bien guérit de sa blessure, ou enfin essayé. En plus de ça il semblait avoir tenté de communiquer avec ces semblables qui avaient levés l’arme vers elle... Mais revenir à cette pensée lui rappelait qu’ils étaient beaucoup. Elle, était seule. Se sentant légèrement concernée, se fut d’un simple coup de tête et sans doute d’une bêtise qu’elle eut réagit comme suivant... Elle se précipita sur le marcheur de rêve. Oui, celui armé qui menaçait maintenant Zelios, précisément. D’un seul coup de paume de sa main l’homme fut repoussé directement sur ces camarades, les disturbant donc pendant un mince instant qu’elle ne devait pas prendre pour acquis.

"Zelios, vite!"

L’homme semblait... Embrouillé et toujours sous effet de choc. Un soupire échappa des lèvres de la na’vi, qui s’empressa de jeter un œil en direction des autres marcheurs de rêves. Enragé, l’homme venait de reprendre son équilibre. Ospemal lâcha un léger cri de surprise et n’avait plus autre ressort que de saisir Zelios par... La première chose qu’elle eut sous la main, autrement dit ces vêtements. Sans trop d’effort, n’empêche la lourdeur certaine qu’avait sa race, elle empoigna fermement le morceau de tissu dans lequel il reposait et l’éleva le mieux possible du sol. Par la rapidité de sa réaction sans doute allait-il manger quelques plantes dans le visage en chemin... Elle entendit des cris derrière eux, des haussements de tons, ainsi que quelques coups de feu... Mais elle concentra toute sa force et son attention afin de soulever à la fois Zelios et d’accourir dans les bois, entre les arbres afin de plus facilement semer les ennemis sur le terrain et d’éviter leurs répliques. Les bruits disparaissent à coup sur après avoir courut pendant une bonne minute, l’humain pendant au bout de ces bras, mais avec le peu de souffle qui lui restait, Ospemal devait prendre un instant de repos. Au prochain arbre qu’elle croisa, elle s’arrêta brusquement et fila à son endos et s’écroula à genoux sur le sol. L’air emplissait ces poumons, lentement à chacune de ces profondes respirations. Elle avait déposée Zelios sur le sol à ces côtés, pas certaine encore s’il était revenu à lui... Avec de la presse, elle se retourna en sa direction et de haut, plongea son regard vers son visage, avant de doucement le taper au niveau du visage afin de l’éveiller à ses sens s’il ne l’était pas totalement déjà... Et s’il n’avait pas mangé trop de plantes en cours de route! Non certaine de sa force ni de la capacité d’encaisser des marcheurs de rêves, elle s’arrêta net à la suite afin d’interpeller,

"Tu m’entends? Zelios?"

Sa main se glissa le long de son visage avant de rencontrer une fois de plus l’air, une fois retirée. La na’vi hissa quelques murmures d’inquiétude... Il avait tenté de la protéger là bas!

"Pourquoi... Avoir fait une telle chose? Je ne suis pas des tiens! Grogna-t-elle à haute voix."

Simple précaution, elle se releva et fit quelques pas d’où ils étaient venus, retirant une de ces lames de sa taille au cas d’une surprise assez apparente... Avaient-ils été suivis? Non certaine, elle regarda du moins toujours par-dessus son épaule afin d’avoir en vue ce drôle de marcheur de rêve qui c’était mit dans un beau pétrin semblait-il.

Invité

Zelios pris peut à peut ses esprits, l'endroit où il se trouvait était complètement différent de l'autre. Les arbres était bien plus imposant que les autres et de multiples fleurs parsemaient le sol. Mais Zelios n'avait pas pour autant oublier les soldats qui lui causait tant de problèmes, l'homme se redressa. Assis par terre il jeta son regard tout autour de lui, aucun ennemi au environ, seul Ospemal se tenait a ses côtés lui jetant un regard sévère.

"Pourquoi... Avoir fait une telle chose? Je ne suis pas des tiens! Grogna-t-elle à haute voix."

Pourquoi avait-il fait ça ? Zelios n'en savait trop rien, peut être tout simplement que l'idée que sa nouvelle connaissance allait être abattu devant ses yeux ne lui était pas envisageable. Malgré le peu de temps qu'ils avaient passer ensemble Zelios c'était attacher à sa compagnie, les na'vis étaient pour lui de meilleur compagnie que c'est humain avec leur rêve d'enrichissement et de semer la mort sur leur passage.

" Tu aurais préféré que je te laisse a ton triste sort avec c'est homme qui allait te tué si je n'avais pas réagi ? Et puis la question se pose à toi aussi, je ne suis pas des tiens... Cela ne ta pas empêcher pour autant de me sauvé la vie."

C'est alors que le souvenir des soldats de la RDA revient semer le trouble dans l'esprit de Zelios. Il avait volontairement opposé de la résistance à c'est soldats, il était sure qu'ils allaient maintenant faire un rapport sur sa conduite et le mettre au arrêt. Ensuite une cour martiale allait le juger et l'exécuter pour trahison ou au mieux l'enfermer jusqu'à la fin de ses jours. Mais cela n'était pas envisageable pour le scientifique, il devait trouvé un moyen de faire taire c'est homme et cela par tout les moyens possible...
Alors que l'esprit de Zelios se remplissait d'idée noir il en avait complétement oublier la présence de la jeune na'vi qui était à ses côté. Elle l'avait sauvé malgré le danger qui fessait face. Des remerciements s'imposaient:

"Merci... Sans toi je serai mort a cette heure ci."

Le jeune homme se releva alors difficilement, un mal de crane fessait son apparition et c'était surement à cause du choque reçu ainsi que les branches qu'il c'était pris en cour de route dans la tête d'ailleurs quelques feuilles était rester dans ses cheveux. Le cour trajet avait été rude semblait il alors qu'il était inconscient sur le dos de Ospemal.

Cette journée était donc un calvaire qui s'aggravait d'heure en heure, après avoir été poursuivi par un Titanausaure qui avait manquer de le tué c'était au tour d'un troupe de soldat qui voulaient eux aussi le tué. Mais bon rien n'est tout noir dans la vie, Zelios avait rencontré Ospemal mais peut être que l'heure des adieux avait sonné. Les soldats avaient surement du reprendre les recherches plus déterminer que jamais à les abattre tout les deux et puis Zelios devait en finir avec c'est soldat afin de sauvé ça peau.

" Je dois partir maintenant, avec c'est soldats qui nous piste cela ne serait pas résonable de rester ici. Tu dois rentré cher toi avec les tiens comme tu le dis et moi en faire autant."

Zelios mentait il n'allait pas rentré à la base avant un bon bout de temps, il devait avant régler ce problème avec les soldats. Sa sera lui ou eux mais pas les deux. Zelios baissa la tête avec une mine sévère et à la fois triste en vue des évènements qu'il allait devoir accomplir malgré qu'il n'approuve pas.

Il saisi son casque de musique et le tendit à Ospemal:

" Voila un petit souvenir de notre rencontre, prend le. Cela me ferait plaisir que tu le garde et puis si un de c'est jour on se revoit tu pourra me le rendre."

Et pourtant cette nouvelle rencontre était bien incertaine en vue des événements...

Invité

Une fois qu’elle fut rassurée de n’avoir rien en vu, elle ramena son regard et fit quelques pas en direction de nul autre que Zelios. Sa réponse fut très claire,

" Tu aurais préféré que je te laisse a ton triste sort avec c'est homme qui allait te tué si je n'avais pas réagi ? Et puis la question se pose à toi aussi, je ne suis pas des tiens... Cela ne ta pas empêcher pour autant de me sauvé la vie."

Comme tout na’vi lorsque ramené à ses sens par les paroles d’autrui, elle dévia sa tête sur le côté comme si c’était pour dissimuler son léger grognement de défaite, mais aussi de submissivité. Enfin, il n’avait point tort. Il l’avait sauvé, et elle aussi en avait fait de même. Il la remercia ensuite à son grand étonnement, d’une voix si honnête qu’il en était rare. Mais elle trouvait ce remerciement bien inutile... Car son acte avait été tout à fait naturel. Ce dernier finit par se relever, car il était toujours écrasé sur le sol après une telle fuite et... Les coups de branches qu’il ait dut endurer. Du moins il restait des feuilles dans sa chevelure mais elle ne le fit point remarquer. Il venait même de l’inviter à rentrer chez elle, déduisant que lui aussi devait en faire autant. Il n’avait point tort, après ceci chacun d’entre eux faisait mieux d’aller reprendre leur énergie et ce en lieu sur. Mais contre toute attente, Zelios saisit sa machine qui l’avait tant surprise plutôt et la tendit en sa direction. La na’vi resta plantée là, les yeux grands ouverts hésitant à quelle réaction s’avérerait la plus propice.

" Voila un petit souvenir de notre rencontre, prend le. Cela me ferait plaisir que tu le garde et puis si un de c'est jour on se revoit tu pourra me le rendre."

Ce fut avec grande hésitation qu’elle finit par saisir l’objet, ne lâchant pas des yeux le marcheur de rêve devant elle. L’honnêteté qu’il dégageait n’avait pas d’égal... Mais il était vrai qu’elle devrait bien rentrer. Alors elle abaissa le bras, l’objet en main et fit volte face en direction opposée, prête à prendre marche, mais ce pas avant d’avoir répondu à sa question de plus tôt.

"Je t’ai sauvée car cela semblait être la chose à faire et... Eywa ne veut aucune mort inutile."

Elle lui passa un dernier sourire avant d’enfiler bizarrement cette machine autour de son coup tel que lui-même faisait. Elle en rigola presque tellement elle trouva cela bizarre mais c’était bien un cadeau. Mais ce fut simple courtoisie qu’elle rendit l’appareil. Elle lança à Zelios de sa distance l’un de ces bracelets fait de plumes et de divers matériaux trouvés dans les plaines tel ces pierres, ne prenant pas trop le temps de voir s’il l’avait attrapé, qu’elle s’enfonça à nouveau dans la forêt.

Oui peut-être un jour leurs chemins se recroiseraient...

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