Retrouvailles [Olanir]

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Yume devait partir en mission avec sa petite troupe de chevaucheurs du sud en début d’après midi lorsque l’étoile jaune se faisait la plus chaude. Elle avait donc fini le repas en compagnie de ses camarades et se rendait près de son hamac pour prendre les affaires qui lui fallait avant de partir à la chasse. Elle salua sa grande sœur et ses trois autres frères puis se dirigea vers la cour principale du village où on l’attendait patiemment. En effet, les cinq na’vi devaient faire des rondes autour du village car tout le monde disait que des étrangers venaient par ici. Yume qui était désormais prise pour une adulte aux yeux des autres avait accepté de faire cette mission pour que Kayvaan et le reste de la troupe soit fière d’elle. Elle embrassa sa sœur de sang avant de s’en aller rapidement vers la lisière. Lorsqu’elle disparut dans les bois avec les autres bleus, elle se rendit compte qu’elle était la seule femelle. C’est vrai que les mâles étaient en plus grande quantité que les femelles sur Pandora, en tout cas dans leur famille à eux c'était clair et net. Ils commencèrent à se promener autour du village, entendant de tant à autre des bruits de pas, glissements ou des sifflements. A chaque fois, Yume prenait l’habitude de prendre son couteau dans les mains pour être prête à attaquer s’il le fallait… Les heures défilèrent peu rapidement, et aucune trace des étrangers. La femelle se demanda si cela n’était encore que des rumeurs fausses…. Elle poussa un profond soupir de frustration quand l’un des Na’vi vint la voir et lui dit dans la langue des humanoïdes.

Nous avons entendu du bruit par là, viens !

Aussitôt dit, aussitôt fait, Yume qui avait le cœur qui battait la chamade, vint avec le mâle en direction de la source du bruit d'un pas lent. Si c'était ce qu'ils recherchaient, elle devait faire très attention de ne pas attaquer sans défense derrière. Seulement, avec blasement, la jeune femelle aperçut quelques secondes après qu’il s’agissait d’une des bestioles qui vivaient sur leurs terres. Ces mâles… Ils s’étaient tout simplement moqués d’elle pour qu’elle est peur…

Vous allez voir !

Dit-elle dans le langage toujours Na’vi. Elle se mit à courir pour les rattraper ; elle réussit à sauter sur un et à lui feuler férocement dessus. Le mâle, les oreilles en arrière fut un instant craintif. Yume, satisfaite se mit en chasse pour avoir les autres mais des bruits imposants se firent entendre. Elle se baissa, sentant l’inconnu arriver vers elle. Les sourcils et prête à bondir, elle entendit le bruit de sabot dans sa direction… Derrière les buissons, elle aperçut une bande de jeunes mâles Na’vi, avec leurs montures qui riaient bruyamment. Il s’agissait de Cavaliers des plaines... Méfiante, Yume resta à sa place et sentit dans son dos les autres de son peuple venir à ses côtés, la soutenir. La jeune Na'vi avait déjà rencontré l'une des personnes de ce peuple qui se faisait rare par ici; mais depuis, elle ne l'avait pas revu. Cette pensée lui traversa l'esprit, pendant qu'un des étrangers descendit de son palu pour venir dans sa direction...

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Olanir s'était préparé au voyage d'enquête sur les traces inconnus qui étaient apparu non loin du village des Cavaliers des plaines. Cela inquiétait la plus part des sages qui ne connaissaient pas ces traces nombreuses et de petites taille. Olanir s'était porté volontaire pour faire l'expédition accompagné de trois autres Cavaliers. Ce matin Olanir avait déjà son paquetage de prêt et son Pa'li terminait de paître dans une petite clairiere. Olanir vint se faire rejoindre par les trois autres, fin prêt eux aussi pour la quête. Olanir ne les connaissait pas un seul d'entre eux, alors qu'eux discutaient avec entrain, semblant se connaitre depuis plusieurs années.

- Je vous vois mes frères ! Je suis Olanir.

Olanir les laissa se présenter. Le premier du nom de Tar'quin était un patibulaire de muscle, aussi gros que le Pa'li d'Olanir, qui avait du mal à imaginer qu'il puisse tenir sur l'équidé. Olanir vit alors la monture derriere lui, qui etait aussi imposant, mais plus haut. Olanir ne pouvait qu'imaginer un pur carnage dans les rangs humains avec cette masse de muscles en puissance, poussé au galop. Le second, de la même stature qu'Olanir se nomait Kal'ing, et etait un des meilleurs guerriers du clan, arme callé dans son dos. Là encore, c'etait un redoutable guerrier, Olanir ne pouvait que se sentir en bonne compagnie, experte avec ces deux cavaliers. En revenche pour le troisieme Na'vi, du nom de Paluor qui était d'une taille assez petite pour un Na'vi, par compraraison, il etait presque aussi petit qu'un humain. Olanir se demanda quel était son don pour partir dans une mission aussi importante, d'autant plus que c'était un archer, et que les bons archers ne manquaient pas au clan.

La troupe se mit en marche, tous sur leur monture, sauf Paluor qui était à terre et suivait des traces qui etaient invisibles aux yeux des autres. Olanir comprit que son talent n'etait pas tant celui d'un archer d'élite, mais un pisteur hors pair. Olanir et sa compagnie voyagerent ainsi au ralenti guidé par le pisteur, durant trois heures, toujours montant de plus en plus dans les hauteurs d'une montagne. Ils étaient encore sur le versant boisé de la montagne, quand le pisteur s'arreta net, oreilles pointées vers l'avant, ne respirant plus. Olanir stopa son Pa'li et tandis aussi ses oreilles à l'ouïe fine. Olanir ne percut rien, mais au bout de quelques secondes d'attention, un long feulement se fit entendre. Olanir percut ce cri, venant d'un Na'vi en situation de combat ou du moins d'intimidation.

Olanir lanca sa monture au triple galop en direction du feulement. Il déboucha alors sur une sorte de clairiere, où il vit une Na'vi femelle, assise sur un autre de son espece qui était couché. Olanir devina que ces deux tourteuraux devaient chahuter amoureusement, mais Olanir fut pris d'une grande peine quand il devina les courbes de Yume, la chevaucheuse qu'il avait rencontré près des cascades. Olanir resta interdit devant cette scene qui fit naître une rage silencieuse, sentant son coeur meurtrit par cette vision d'amour entre les deux supposés amants.

- Yume...

Olanir ne pû rien dire d'autres, n'osant la bousculer par des questions qui n'avaient pas lieux d'être puisque apres tout, il n'y avait rien entre eux deux, enfin... Olanir ne savait pas ce qu'elle pensait de lui, et lui ne savait pas si celle-ci s'etait déjà éprie par ce chevaucheur qui se relevait sur ses gardes. Olanir fut rejoint tres rapidement par ses compères, ne remarquant que son malaise n'avait durée que quelques centiemes de secondes. Les trois autres cavaliers rierent avec force en m'ayant vu foncer de la sorte vers l'inconnu, en imaginant un danger pour tomber en fin de compte sur un couple de chevaucheur.

Mais ceux-ci mirent fin à leurs esclaffes, voyant en même temps qu'Olanir, que le couple n'etait pas seul. Des Na'vi du clan des chevaucheurs du Sud surgirent de tous côtés. Olanir respira de nouveau plus calmement. Jamais cette Na'vi n'aurait pû s'amourracher de la sorte sous les yeux de quelques autres Na'vi.

- Je vous salue mes frères parcoureurs du ciel, je suis Olanir des Cavaliers des plaines, et avec mes compagnons suivons les traces inquiétantes qui sont arrivées à l'aurée de notre clan. Auriez-vous assisté à une quelconque manifestation particuliere ? Une créature étrange parcourrant vos terres ?

Olanir venait de remarquer qu'il avit pris une voix grave et forte, tout en bombant le torse fierement. Olanir se radoucit en remarquant qu'il avait aussi prit la parole des siens, mais ceux-ci ne s'en offusquerent aucunement, plutot même fier de leur voir attribué un meneur naturel et fort.

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Yume s’arrêta nette lorsqu’elle entendit des bruits de sabot dans sa direction. Le mâle qu’elle avait attaqué tout à l’heure vint à ses côtés ainsi que le reste de la troupe.
La jeune na’vi regarda le « troupeau » de cavaliers des plaines arriver vers eux d’une façon gracieuse. L’un des mâles se rapprocha, dévoilant un visage, un visage que Yume connaissait déjà. Elle ne mit pas longtemps à le reconnaître, surtout que l’individu se présenta devant tout le monde. La na’vi se retourna, murmurant aux siens qu’elle le connaissait et qu’il ne leur ferait pas de mal. Chacun se décontracta, ayant certainement eu peur qu’ils venaient pour la guerre. Car même si Pandora était en paix entre les clans, ils arrivaient qu’il y ait des tensions que les peuples entre eux ne sont même pas au courant… C’est cela le problème lorsqu’on est représenté par un chef qui n’est jamais là. En l’occurrence, celui des chevaucheurs du sud était désormais Kayvaan la grande sœur de Yume. Heureusement pour elle, elle avait toujours été habitué à la voir partir faire ses aventures seule de son côté. Revenons au sujet. Yume s’avança d’un pas sur, lançant un regard à Olanir qui représentait lui aussi son petit groupe de na’vi. Ce dernier lui expliqua la raison de sa venue, ces temps-ci une créature se faisait connaître pour laisser des traces inquiétantes près de leur village.

- Je vous vois peuple des plaines. Je suis Yume, nous sommes également en mission pour retrouver cette créature qui a dévasté certains de nous poulailler. Par ses traces, elle semble d’une grande taille et terrifiante. Nous sommes donc nous aussi à sa recherche.

Dit-elle à l’insu des plusieurs mâles qui étaient présents. Elle se recula, revenant près des siens d’un pas serein. Elle n’était pas inquiète de les avoir rencontré, déjà parce qu’ils n’avaient rien fait de mal, et puis elle connaissait déjà Olanir. Il s’agissait d’un vaillant humanoïde prêt à se sacrifier pour son peuple. Ils s’étaient rencontrés il y a plusieurs temps de cela, et le mâle avait souhaité la revoir. Et bien, c’était le cas. La jeune femelle lui fit un petit sourire, lui prouvant qu’elle se souvenait bien d’elle. Elle se retourna un instant, discutant avec ses frères pour voir ce qu’ils comptaient faire vu qu’ils avaient rencontré des cavaliers. Au bout de quelques instants, la na’vi se retourna pour à nouveau faire face.

- Etant donné que nous cherchons la même chose, je pense favorable de s’allier pour trouver la bête et la rendre à Eywa.

Reprit-elle en regardant sérieusement Olanir. Elle attendait à présent une réponse de sa part, de la part des cavaliers. C’était bien la première fois qu’elle voyait autant de personnes différentes de son clan. En tout cas, s’allier était beaucoup intéressant que de faire les choses individuellement. Et puis, plus vite ils la trouvaient, plus ils rentreraient chez eux sans être bredouilles. Après une réponse du jeune, tous commencèrent à reprendre le trajet, Yume se rapprocha de Olanir qui était encore sur son pa’lu. Elle profita d’ailleurs d’être près de la bête pour lui donner une caresse. Le sourire aux lèvres, elle leva les yeux vers le mâle.

- Cela fait longtemps que nous nous sommes rencontrés. Que deviens-tu mâle ?

Lui demanda-t-elle d’un ton curieux.

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- Je vous vois peuple des plaines. Je suis Yume, nous sommes également en mission pour retrouver cette créature qui a dévasté certains de nous poulailler. Par ses traces, elle semble d’une grande taille et terrifiante. Nous sommes donc nous aussi à sa recherche.

Olanir écouta parler la Na'vi qui repréntait son groupe. La femelle, bien que de petite taille, en imposait de par son charisme et sa beauté. Olanir ne put que sourrire en appréciant le miel de son timbre de voix couler avec délicatesse dans ses tympans, qui en redemanderent. Olanir reprit ses esprits, et se reporta sur les informations qu'apportait le peuple du Sud. Apparement, les traces semblaient d'une taille bien différente que celle qu'Olanir eu pû entrevoir durant le trajet tracé par le pisteur. Olanir se douta qu'il s'agissait soit de deux groupes de créatures inconnus, ou alors, une créature montait l'autre.

Olanir reperdit le file de ses pensées à la croisé du regard enjoleur de la femelle. Olanir ne pouvait que se remémorer leur recontre sous les rayons de l'astre de chaleur, et se baignant dans l'eau tempéré et limpide. Olanir s'en alla rêver en songeant comment se rapprocher de celle-ci, si la Na'vi représentait son clan, il ne pouvait lui faire de proposition de s'éloigner du groupe à l'insu de leurs oreilles fines, sans compromettre le calme entre leurs clans, un conflit pouvait démarer de rien.

Les deux groupes des clans différents se joignerent dans le même but, découvrir l'origine de ces empruntes. Olanir laissa passer son pisteur, qui guidait les Na'vi du Sud, escorté par les cavaliers en queu de caravane. Yume se situait juste au niveau de la jambe d'Olanir. Celui-ci sentait à travers sa connxeion à son Pa'li les caresses timides mais voluptueuses de la femelle, certainement inconcient du contact qu'elle faisait ressentir au cavalier en caressant la monture.

- Cela fait longtemps que nous nous sommes rencontrés. Que deviens-tu mâle ?

Mâle ? Bon d'accord, Olanir n'etait pas une femelle, mais de là à le nommer de la sorte, tel un simple outil de reproduction, Olanir l'aurait mal pris, si ce n'etait pas la charmante Yume qui le lui avait dit. Olanir esquisa un sourrire gêné. Comment lui avouer que sa séparation et son éloignement, lui fendait le coeur, et que ses rêves n'etaient qu'essentiellement tournés vers cette créature au regard perçant ?

- Eh bien, je fais passer le temps comme je peux, bien que depuis notre derniere rencontre tout me parait fade... Je suis heureux de te revoir, même si j'aurais préféré un autre contexte.

Olanir sentait Yume battre au flanc de l'equidius qui tapait du sabot en marchant suivant les guides. Le cavalier-archer se rappelait qu'il avait raccompagné Yume sur son Pa'li, et que celle-ci avait apprécié. Olanir risqua un regard derriere lui pour voir les deux colosses qui lui sourriaient avec force. Olanir fit fi de cette vision, les deux goguenards de derriere ne diront rien quant à son agissement, on dirait même qu'ils n'attendaient qu'une chose de sa part.

Olanir vit enfin une occasion en or se présentait à lui. Le pisteur annoncait avoir trouvé deux chemins qui se séparaient dans deux directions différentes. Une qui était faible, et une autre plus importante comme si c'etait un passage plutot fréquenté. Le pisteur attendait ses ordres.

- Je vais partir en éclaireur sur le chemin le plus visible, voir où il mène, je saurais vous retrouver ! Vous, continuez dans cette direction, au cas où ce chemin mène à la créature !

Olanir laissa passer le pisteur qui s'engageait sur les fragiles traces, suivi des deux cavaliers. Olanir se tourna vers Yume qui se retourna, en même temps que son escorte qui se demandait pourquoi le chef du groupe des cavaliers partait seul.

- Yume, tu veux m'accompagner ? Tu as des yeux plus percant, et une ouie plus fine, tu sentiras certainement les présences de créatures plus facilement que moi qui resterait concentré sur notre avancée !

En dissant ceci, Olanir tendit la main vers la Na'vi, un sourrire aux lèvres, les yeux pétillants d'envie de la sentire dans son dos, aussi proche que possible. Olanir resta la main tendu atendant la décision de celle-ci.

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Lorsque les deux clans s’allièrent ensemble, ils prirent la marche suivant les traces énormes qu’il y avait au sol. Yume profita de cette occasion pour venir près d’Olanir, afin de lui parler tout en caressant sa monture. Lors de leur première rencontre, le mâle lui avait permis de monter dessus et la jeune na’vi avait profité du bien fait du galop… Elle se rappelait de ce moment comme si c’était hier, et pourtant cela s’était passé il y a un bon bout de temps quand même. Olanir était le premier na’vi étranger qu’elle avait vu… Et finalement, elle était heureuse d’être tombée sur quelqu’un comme lui. Il était ouvert, gentil, il avait permis à la jeune femelle d’avoir des bons aprioris sur les cavaliers des plaines. Tout en caressant le flanc de l’animal, elle posa une question assez banale au Na’vi. Pendant qu’il répondit, elle l’observait attentivement, buvant chacune de ses paroles. D’ailleurs, à un moment celles-ci troubla la femelle. Le « depuis notre rencontre, tout me paraît fade », que signifiait cette révélation ? Pendant un instant, elle le fixa comme ça à se demander ce qu’il entendait par là. C’était bien la première fois qu’on lui disait ça. Malgré cette sensation qu’elle sentait envahir son corps, elle appréciait le fait de lui avoir manqué. Mais, il avait raison, se revoir dans ces conditions là ce n’était tout de même pas génial…

- Je suis aussi heureuse de te revoir.

Dit-elle doucement pendant qu’elle regardait droit devant elle… Ils continuèrent à marcher en silence lorsqu’ils arrivèrent face à un spectacle intéressant. Le chemin de traces se divisait à présent en deux sentiers… Yume resta le regard impassible lorsqu’elle entendit la voix d’Olanir. Il s’adressait aux trois individus de son clan, leur ordonnant de suivre les traces les moins visibles voir s’ils trouvaient quelque chose. Quant à lui-même, il souhaitait suivre les traces les plus importantes et les plus fraiches. Yume resta silencieuse pendant que les cavaliers s’en allaient à la potentielle découverte de la créature qui donnait des angoisses aux na’vi. Olanir s’adressa alors à la femelle, lui demandant si elle souhaitait l’accompagner dans ses recherches. Elle le regarda pendant quelques secondes lui qui avait les yeux si pétillants et lui tendait la main. Elle la prit juste après et monta agilement dans son dos. Elle se retourna cependant vers les siens, s’adressant à eux. Pourquoi donnait-elle les ordres ? Elle était la soeur de Kayvaan, et puis il s'agissait de la plus ancienne des 4 chevaucheurs présents, ils devaient la respecter même si c'était une femelle.

- Je souhaite que vous restiez dans ce carrefour. Nous ne tarderons pas à revenir, et les Na’vi d’Olanir non plus. Si nous ne sommes pas revenus lorsque l’étoile jaune commence à s’éteindre, alors venez à notre recherche.

- Mais Yume, nous n’allons pas te laisser toute seule… Dit le Na’vi qu’elle avait voulu effrayé tout à l’heure.

- Je ne suis pas seule, et Olanir est un ami. Ne t'inquiètes pas A'ka. A tout à l’heure.

Reprit Yume d’une voix impassible. Elle se retourna, posant ses mains de chaque côté du buste d’Olanir, lui faisant comprendre qu’ils pouvaient y aller. Juste après, ils se mirent en route, suivant les traces tranquillement.

- As-tu une idée de la créature qui a pu faire ça ?

Chuchota-Yume dans l’oreille du mâle. C’était la première qu’elle était aussi proche de quelqu’un –même si le contexte n’avait rien d’un rendez-vous galant. Il faut avouer que cela pouvait troubler…

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Olanir sentit son coeur bondir avec force dans sa poitrine au contact de la main de Yume dans la sienne, et aussi quand celle-ci accepta son invitation à parcourrir le curieux sentiers. Olanir avait peur que le vacarme que faisait son palpitant ne se fasse entendre des autres, mais apperements, personnes ne percut le tintinmare. La jeune Na'vi donna ses instructions à son groupe qui devrait rester plantait comme des arbres au milieu du chemin, ce qu'ils ne semblerent pas apprécier, mais ne contre-dire aucunement cet ordre.

Olanir sentit les douces mains sur sa taille, Olanir comprit aussi bien le message que s'ils avaient entamés une conversation télépathique. Olanir donna l'ordre à son Pa'li d'avancer, ce qu'il fit, dans un nuage de poussiere, poussé par les 6 pattes de l'animal.

Olanir était maintenant seul avec celle qu'il voyait en rêve depuis leur rencontre à la cascade. Olanir savait désormais, que celle-ci appréciait sa présence, mais le regard d'A'Ka à son encontre le fit comprendre, que Yume était désirable pour beaucoup d'entre eux. Olanir suivit les traces enfoncés dans le sol, laissant paraitre un chemin dans les brousailles. Olanir continua sur le chemin, appréciant ce moment de volupté, les cheveux au vent, dans un galop de son Pa'li, et sa désirée dans le dos, qui semblait aussi prendre du plaisir.

- As-tu une idée de la créature qui a pu faire ça ?

- Non, je ne sais pas Yume... Je suis un Cavalier qui parcours pas mal de chemin, mais jamais je n'ai pu vir ces traces. Aucune créature ne peut laisser des empruntes aussi importantes et sans griffes pur autant. Ce doit être une créature inhabituelle des parages.

Olanir, de par sa vie de chasseur dans les plaines, etait habitué à reconnaitre les empruntes des animaux, mais celles-ci avait quelque chose de dérangeant. La forme ne comprenait aucune protubérence de peau, ni même une présence d'ongles ou de griffres. De même, l'odeur qui s'en dégageait etait froide et agressive, Olanir n'avait rien sentit de tels.
Il avait aussi détécté des empruntes similaires, mais beaucoup plus petites, et à l'odeur acre et desagréable, lui laissant une impression revenant de ses souvenirs. Il avait certainement déjà croisé l'odeur de la petite créature, mais rien ne lui revenait à l'esprit.

- Si jamais nous tombons face à la créature, et qu'un danger se face sentir, je voudrai que tu parte avec Hufwe, mon Pa'li, pour aller prévenir les aures, je ne m'en remettrai pas si tu etais blessé, durant une fuite ou un piege !

Olnir ralentit l'allure, souhaitant passer le plus de temps possible au contacte de sa peau douce à l'odeur enivrante de parfum de fleurs sauvages et délicates à la fois. Le cavalier sentait l'emprise de la femelle sur sa taille, sentant son souffle dans sa nuque, rien n'etait plus difficile pour lui, que de resister à sa passion, mais le respect de la femelle qu'il aimait le refreiner. Il devait d'abord faire part de ses émotons, voir si celle-ci les partageaient, c'etait la moindre des choses, et ensuite il lui faudrait rencontrer son père pour demanderl'autorisation de partager la vie de sa fille.

- Au fait, je ne sais que très peu de choses de toi ! Ca te dérange de m'en dire un peu plus ? Je suis curieux de nature, et en plus, comme tu m'occupes souvent l'esprit, il me faut te connaitre un peu mieux !

Olanir attendit la réponse de sa compagne de route. Le Pa'li, trottait maintenant, comprennant les envies du cavalier, lui aussi souhaitait en connitre plus sur lafemelle que son maitre désirait.

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Yume était derrière Olanir, et restait accrochée à lui pour éviter de tomber. La brise qui filait dans ses cheveux lui faisait un bien fou car il faisait assez lourd aujourd’hui.
Elle ne s’en plaignait pas, le temps était radieux ces temps-ci et tout le monde montrait le bout de son nez du coup. Elle profita donc des bienfaits des galopades du Pa’li à Olanir et lorsqu’il diminua sa vitesse, elle prit la parole. Elle lui demanda sérieusement s’il avait une idée concernant la bestiole qui faisait tous ces ravages dans la forêt de Pandora. Après un petit moment, Olanir lui répondit qu’il ne savait pas car il n’avait jamais vu des traces comme celles-ci, surtout qu’aucune griffe était voyante dans les empruntes… Conclusion, tout ça était très bizarre et ça inquiétait la femelle.

- Il faut vite la retrouver avant qu’elle ne s’attaque aux villages.

Dit-elle d’une voix pensive au jeune mâle devant elle. C’était ça sa peur, qu’on attaque le village des chevaucheurs du sud qui n’était pas si loin que ça en faite. Yume venait même à se demander s’il n’y avait pas plusieurs créatures qui produisaient ces traces là… Pendant quelques minutes, ils avancèrent en silence, certainement très songeurs tous les deux.
Puis, par la suite, le mâle lui donna presque un ordre concernant la créature. Il voulait qu’elle rejoigne les autres Na’vi qui attendaient au carrefour s’ils tombaient face à la créature. La femelle sentit son cœur se ressérer à ce moment là, jamais elle ne le laisserait seule face à un truc gigantesque ! Hors de question !!!! Il ne voulait pas qu’elle soit blessée et elle elle ne voulait pas le voir disparaître comme son père… Elle ne répondit rien, ne voulant pas commencer un débat avec des avis contraires… Ensuite, l’allure du pa’li diminuait petit à petit. Elle jeta un regard au dessus de l’épaule d’Olanir pour voir, et comprit que c’était lui-même qui avait demandé ça. Certainement qu’il voulait un peu parler avant de sérieusement se mettre à la trace de la créature invisible. La na’vi avait eu raison puisque juste après sa réflexion Olanir prit la parole et lui demanda qu’elle lui parle un peu plus d’elle. Elle réfléchit alors, essayant de trouver des choses intéressantes à dire.

- C’est vrai qu’on ne se connait pas beaucoup finalement… Je devais rentrer tôt la dernière fois que nous nous sommes rencontrés.

Lui avoua-t-elle. Elle marqua un temps de pause, puis reprit.

- Je viens donc du clan des chevaucheurs, je possède une famille assez grande comme une sœur et trois frères. L’aînée est récemment devenue le chef de notre clan, ce qui fait la fierté de ma famille bien sûr. A part ça, je n’ai qu’une seule hâte c’est pouvoir me battre avec mon arc et monter à dos de Pa’li ou d’Ikran. On m’a dit que ça ne tarderait pas car je prends de l’âge mais je trouve cela encore long…

…

- Oui, je suis assez impatiente.
Dit-elle avec un petit sourire aux lèvres. Ils continuèrent à avancer doucement, passant par des coins particulièrement verts mais toujours aussi beaux et délicats à voir.

- Et toi, parles moi un peu de toi ?

Il fallait bien qu’elle apprenne à le connaître aussi car finalement, elle ne le connaissait que par ses premières impressions bonnes. Ils suivaient toujours leurs traces tranquillement mais cela n’allait pas continuer. En effet, juste après avoir retourné la question à Olanir, son pa’li se mit à hennir comme si quelque chose bougeait derrière les buissons visibles plus loin. Yume involontairement se rapprocha du dos d’Olanir bien qu’elle passait sa tête par-dessus l’épaule pour voir ce qu’il se passait. Une des mains qui tenait la taille du mâle vint se poser sur la ceinture de la femelle, là où se trouvait son couteau qu’elle gardait toujours là.

- Il doit y avoir quelque chose là-bas.

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- C’est vrai qu’on ne se connait pas beaucoup finalement… Je devais rentrer tôt la dernière fois que nous nous sommes rencontrés. lui avoua-t-elle.

Pendant qu'elle marquait un temps de pause, Olanir ne pû refouler ses souvenirs de cette merveilleuse journée, quifut trop courte à son gout. Il se remémorra, ce départ précipité, mais sa volonté de rester avec la femelle l'avait pousser à la raccompagner. Sur le chemin du retour, Olanir était prit d'une telle gaieté, qu'il s'etait fait frapper par une branche alors que son Pa'li galopait dans les brousailles. Biensur, le soir où il fut dans son hamac, ses pensées vinrent le tourmenter ne faisant que l'inquieter du sort de cette femelle. Olanir revait d'elle, ce qui etait une chose plaisante, sauf quand ceux-ci terminerent en cauchemare, où il l'a voyait se faire capturer par des humains, le laissant seul devant les bucher des cabanes en huttes de son enfance.

Le cavalier ressortit de sa reveri quand Yume reprit son discours, ses paroles tels la chanson du vent quand il galopait les plaines, et la fagrance qui llui envoutait l'esprit.

- Je viens donc du clan des chevaucheurs, je possède une famille assez grande comme une sœur et trois frères. L’aînée est récemment devenue le chef de notre clan, ce qui fait la fierté de ma famille bien sûr. A part ça, je n’ai qu’une seule hâte c’est pouvoir me battre avec mon arc et monter à dos de Pa’li ou d’Ikran. On m’a dit que ça ne tarderait pas car je prends de l’âge mais je trouve cela encore long…

- Mais tu as encore toute ta jeunesse, tu souhaite si vite te battre ?

- Oui, je suis assez impatiente.

Olanir passa un couvert de feuillage pour découvrir un paysage aux milles verdures. L'astre solaire brillait fort, mais pas au point d'aveugler les deux voyageurs. Lesplantes aux multiples palettes de couleur se jalousaient en beauté, n'étant qu'existante par la volonté d'Eywa, et pour le regard des passants.

- Et toi, parles moi un peu de toi ?

- Eh bien, comme tu le sais je suis un Cavalier. J'ai rejoint le clan des Cavaliers des Plaines, il n'y a que quelques mois, avant j'habitai avec ma famille en bordure de riviere. Un coin magnifique et calme, mais trop découvert en cas de menaces... Puis je suis venue dans le clan, et je suis entré dans l'armée de Beyda'Amo, mon chef. J'attend être promu prochainement, il me trouve talentueux je crois. Je pense que dans ...

Un lourd silence pesa. Hufwe hennit avec force en même temps qu'Olanir percut les odeurs acres en provenance d'une clairiere legerrement plus loin. Les créatures commencaient à révéler leurs identités. Un panache de fumée noire serpentait dans les airs pour se dissiper peu à peu. Personne ne pouvait détecter pareil indice avec toute la végétation qui couvrait les visions des Na'vis. Olanir sentit Yume dans son dos se raidir, prête à sauter des la menace en vue. Olanir savait que cette gueriere ne choisirait pas la fuite, il l'avait juste espéré.

- Il doit y avoir quelque chose là-bas.

Olanir suivit la direction que lui indiquait Yume. Olanir fut soudain frappé par un souvenir. Cette odeur, c'etait celle des humains. Les empruntes n'etaient autres que les humains dans leurs habits à mauvaise odeur qui les produissaient. Mais comment faisaient-ils pour faire d'aussi grandes empruntes ?

Olanir avanca tous à dos de Pa'li, le plus près possible de l'orée de la clairiere. Il mit pied à terre, imité par Yume qui avait décidé de ne pas le laisser seul. Olanir ne pû qu'apprécier le courrage de la guerriere, bien qu'il l'aurait préféré à l'abris de tut danger. Olanir laissa Hufwe à côté d'un arbre, et les deux Na'vis avancerent dans les fougeres, pour s'approcher au mieux, de ce qui ressemblait à un village entourré d'un mur de fil à pointe, avec des structures sans mur et en hauteur servant certainement à guetter les parages. D'autres huttes de grandes tailles étaient au centre du mur de barbelée. C'est à ce momentqu'Olanir apercu un homme enfermé dans une prison d'acier qui se déplacait. C'etait ces boites de métal qui avait laissé des empruntes un peu partout. Olanir vit aussi des symboles similaires à plusieurs endroits. Une marque qui faisait "RDA". Olanir ne savait pas ce que c'etait, et il preferait plutot se concentrer sur les effectifs. Yume elle aussi espionnait les envahisseurs venus du ciel.

- Veux-tu prévenir les tiens ? Ou souhaite tu mieux te renseigner ?

Invité

Yume fit une brève description d’elle. De suite, Olanir lui avoua qu’elle avait tout son temps pour ça, il semblait même surpris qu’elle veuille se battre… Celle-ci n’avait d’ailleurs pas caché son enthousiasme… Mais comment dire, c’était inexplicable. Yume était une jeune femelle qui aimait l’aventure, et ne pas faire grand-chose de ses journées la blaisaient totalement. Du coup, le combat, faire des missions étaient les seules issues. Bien sûr, elle ne souhaitait en aucun cas que son clan soit en guerre avec je ne sais qui. Par la suite, Yume demanda au tour d’Olanir de se présenter. Elle l’écouta attentivement… Il lui expliquait qu’il avait vécu dans un lieu tranquille mais trop à découvert. Du coup, il s’était rallié à la cause des cavaliers des plaines. Beyda’Amo ? Il s’agissait du chef de ce clan, elle ne le connaissait pas bien sûr et se demandait même à quoi il ressemblait. S’il s’agissait d’un na’vi assez âgé ou alors s’il avait le même âge que le mâle à qui elle parlait… Alors qu’il parlait de sa prochaine promotion, il s’arrêta. En effet, un bruit venait de se faire entendre ; un bruit étrange, qui pour les hommes serait métallique. Yume automatiquement regarda droit devant elle, tenant fermement dans sa main l’arme qu’elle ne lâchait pas.
Yume savait très bien qu’Olanir voulait qu’elle fasse demi-tour ; car un bruit comme ça signifiait danger… Mais la femelle ne pouvait pas laisser son compagnon tout seul, surtout qu’elle avait vraiment envie de voir ce qui se passait derrière ces buissons. Et puis, imaginez qu’il s’agisse d’une bête inconnaissable et effroyable, Olanir n’aurait aucune chance en solitaire… Deux minutes après, ce dernier s’adressa à son interlocutrice, lui laissant le choix entre faire volte face et prévenir les autres, ou alors enquêter tous les deux… Curieuse, Yume avait déjà la réponse sur la langue.

- Je souhaite qu’on aille voir ce qui se passe. Si c’est trop dangereux, on ira retrouver les autres.

Dit-elle par-dessus l’épaule de l’individu. Par la suite, Olanir arrêta son pa’li, descendant juste après. La femelle fit de même, retombant sur le sol délicatement. Olanir laissa Hufwe à côté d’un arbre, pendant que les deux Na’vi s’avançaient vers les fougères. Allant doucement, ils s’approchaient petit à petit vers un endroit qui surpris Yume. Elle n’avait jamais vu un spectacle comme ça. Il y avait des espèces de huttes dans une matière inconnue, elles étaient grandes et tout autour on apercevait un des fils gris qui avaient l’air tranchants. Yume inquiète regarda Olanir, qui fixait quelque chose. Elle le suivit du regard, voyant alors un homme dans une boite grise. Il se déplaçait d’ailleurs à l’aide de cette machine qui faisait un bruit énorme à présent. Dessus, on distinguait des symboles indéchiffrables… Alors comme ça, la bête que craignait chaque peuple na’vi était une création des envahisseurs venus du ciel ? La femelle pensa immédiatement à l’humain qu’elle avait rencontré il y a plusieurs temps. Elle avait été sur ses gardes durant leur échange, mais il n’avait pas eu l’air aussi méchant que tous ces autres inconnus…

- Essayons de voir ce qu’ils font.

Reprit-elle doucement vers Olanir. Elle voulait voir ce qu’il faisait avec l’espèce de machin en acier. L’homme dedans avançant vers la forêt et commençait à détruire la végétation qui était autour. Montrant les dents, et fronçant les sourcils, Yume comprit que cette boite était un danger pour Pandora et qu’il fallait s’en débarrasser.

- Il faut détruire ce monstre avant qu'il s'attaque aux villages !

Dit-elle vivement à l’adresse du mâle. Elle ne savait pas comment il prendrait sa réponse : s’il la prendrait pour une gamine capricieuse ou pas. Mais, ils ne faillaient pas qu’ils perdent de temps… Il fallait détruire ce truc maintenant, tout de suite. Yume attendait désormais l’avis du jeune à ses côtés.

Invité

- Je souhaite qu’on aille voir ce qui se passe. Si c’est trop dangereux, on ira retrouver les autres.

Olanir acquiesa la femelle, bien qu'au fond de lui, il avat espéré qu'elle s'en aille prévenir les renforts, mais son tempéremment de guerriere semblait trop attirant pour ne pas observer les menaces qu'un jours les leurs devraient affronter. Olanir laissa son compagnon à six pattes plus loi, rampant dans les broussailles pour s'approcher au plus pres des humains, et des prisons ambulantes. Olanir sedemandait, à quoi servait que les humains, enferment les leurs dans des priso,s si celles-ci pouvaient se déplacer et sortir du camp sans surveillance. Les deux Na'vis s'approcherent du camp aux huttes de pierres lisses, sans pour autant afficher leurs présences.

- Essayons de voir ce qu’ils font.

Olanir vit la femelle lui passer devant tel un félin guettant sa proie. Olanir trouvait déjà que la distance de sécurité entre les deux Na'vis et les machines humains etait déjà franchit, et que se rapprocher etait un risque encore plus grand, ce qui ne fit pas peur pour autant pour Yume, sautant agillement de buissons de fougeres e bosquets de feuillus. Olanir la suivit. Désormais, ils n'etaient qu'à une foulée de jambes du fillet qui brilles avec ses pointes qui devaient arracher des lambeaux de peau si on passait dedans.

Plus loin, l'homme dans la machine sortait du camp et s'éloignait des structures de pierres lisses, pour se ferrer un chemin dans la forêt. Olanir et Yume le suivirent, et s'en approcherent rapidement avec discrétion, pour mieux repérer ses points faibles. Olanir vit la machine avancer. Elle etait imposante et lourde, le corps-à-corps serait un desastre, même si plusieurs Na'vi s'élancaient contre lui, le battre serait difficile. Olanir l'observa bouger. L'homme dedans regardait autant devant lui que sur les côtés, mais bouger sa tete dans le dos, ne lui semblait pas facil. Premier point faible. Olanir remarqua ensuite que les articulations des machines laissaient apparaitre dans certains mouvements des sortes de veines, comme dans le bras d'Olanir. Si Olanir arriver à couper un de ces vaisseaux, peut etre que la machine aura tellement mal, qu'elle s'enfuira, et que l'homme qui devait la controler, ne pourrait plus la dresser. Olanir imaginait alors que l'homme dans la machine, devait agir de la même maniere, qu'un Na'vi débutant tentant de chevaucher un Pa'li sauvage. Second point faible. Enfin, la machine ne protégeait pas l'humain entierement. Le haut du corps etait apparent, Olanir pouvait imaginer, qu'il serait facil d'envoyer en pleine tête une fleche. Troisieme et dernier point faible.

Olanir allait donner ses remarques à Yume quand il la vit se faire violence, montrant dents et crachant sa haine. Olanir se tourna pour voir la machine et son cavalier, abbatre un arbre t ecrasser toute forme de vie, sous les sabots lourds et grisde la machine.

- Il faut détruire ce monstre avant qu'il s'attaque aux villages !

- Ok, je m'en occupe !

Olanir sortit son arc, et pris une fleche. Il ne prit pas une de ses fleches implosives, ce serait du gachi de faire exploser une fleche, alors qu'en tirer une simplement dans la tête de l'homme servirant à rendre la machine sa liberté. Olanir banda son arc et tira sur la tête de l'homme. CLING ...La fleche avait rebondit avant même qu'elle ne touche l'homme. C'est là qu'Olanir vit que la tête de l'humain etait protégé par une sorte de bouclier transparent qui protégeait l'homme, tout en lui permettant de voir. D'ailleurs, celui-ci fit pivoter sa machine vers Olanir, encore surpit de voir ue l'homme n'etait pas atteignable. Se tournant vers Yume, Olanir fit signe qu'ils devaient fuir !

- Apparemment, l'homme qui monte la machine est protégé par quelque chose !!! J'ai remarqué qu'il ne puvait pas voir dans son dos, aussi facilement, on devrait l'attaquer sans qu'il nous voit ! Et dans ses coudes, j'ai vu ses veines ! Si on lui tranche, il se vidra peut-etre de son sang !

Olanir courrut et se cacha derriere un arbre. L'hommes les poursuivait encore. Le cavalier ne voulant pas mettre en dangr sa monture, ne voulait pas attirer la menace sur lui, il lui fallait un plan pour savoir comment neutraliser l'humain. Yume à côté de lui semblait etre aussi plongée dans ses pensées stratégiques. Olanir se tourna vers elle pour écouter son plan, si elle en avait un... Même en danger, Olanir ne pouvait pas se détourner de la beauté du rgard de la femelle. Sentant la mort arrivée à grands pas, Olanir n'avait qu'une envie, embrasser celle qu'il aimait. Il commenca son geste en s'approchant d'elle, mais celle-ci lui exposa son plan, sans se rendre compte du geste du mâle qu'il jugea apres coups, de stupide et irrespectueux.

- On fait comme tu dis !

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