Dalaïe He'ian (terminé!)

Invité

Nom du Na'vi : Dalaïe

Mentalité (3 lignes mini) : Dans sa tête, Dalaïe est une guerrière malgré sont petit rôle au sein de sa famille. Ayant perdue ses parents à son jeune âge, elle fut éduquer par d'autres Na'vi de la jungle pour devenir une véritable combattante jusqu'à le sentir dans ses veines et son sang. Elle savait qu'elle était née pour être guerrière et désirais le rester. Elle peut parfois avoir l'air inoffensif mais se n'est qu'une simple couverture afin de cacher sa vraie nature. Depuis toute petite, elle savait qu'elle était née pour défendre son peuple mais également pour prendre soins des siens, de la grande famille. Naturellement changeante d'humeur, elle peut devenir menaçante lorsque l'on provoque une étincelle chez elle ou encore lorsqu'on menace les siens. Vu son jeune âge, c'est une Na'vi plutôt énergique qui aime courir dans la jungle et découvrir. Étant peut-être une guerrière dans son sang, elle aime découvrir et apprendre de nouvelles choses. Elle a une curiosité fine mais pas profonde. Elle n'aime pas aller mettre son nez partout, seulement lorsque le sujet l'intéresse. Elle n'a pas peur des humains, seulement de la force de leurs armes qui tuent les siens.

La langue humaine n'a jamais été un gros point fort chez la jeune Na'vi mais en coopérant avec eux, elle a fini par apprendre à parler parfaitement leur langage. Il y a encore certains mots qu'elle ne comprend pas mais il suffit d'un geste pour tout dire et parfois même, un simple geste pour tout détruire. Dalaïe est déjà aller sur le territoire des humains sans permission de quitter l'arbre maison, mais sa curiosité l'avait emporté. Son exploration ne fut pas de longue durer mais fut satisfaisante et plaisante pour la Na'vi. Les gens qu'elle y avaient rencontré s'étaient montré indulgent, compréhensif et aimable avec cette petite créature exploratrice.

Description physique (3 lignes mini) : Comme tout les Indigène de Pandora, Dalaïe a une peau bleu océan à reflets couleur Azur parsemée de petits picots lumineux formant divers symbole lumineux (la nuit) sur son corps aux formes discrètes et bien courbées telle celles d'une femme. Ses petits points de couleur argentés au soleil parsème tout son corps en débutant au visage s'étalant sur son abdomen, son ventre passant sur ses bras allant jusqu'à ses jambes. Dalaïe a un corps long et bien élégant. Il a les apparences délicat et fragile mais a de bon muscles renforcis facilitant son agilité dans son métier de guerrière. Parlant d'agilité, Dalaïe peut se faire très discrète lorsqu'elle va en exploration du terrain dans la jungle. Son odorat très développé lui est très utile lorsqu'il s'agit de repéré les humains sur leur territoire. Parfois maladroite, Dalaïe se fait repéré par certaines créatures incluant les humains mais elle sait très bien se cacher parfois même pour sa propre sécurité. Si elle est confronté a un certain danger, dépendant de la situation) elle peut fuir comme elle peut y faire face.

Histoire (8 lignes mini) :

Une nouvelle vie

L’union de deux Omaticayas leurs donne parfois un joli cadeau de la vie. Un enfant. Un nouveau petit être vivant tout bleu aux longues oreilles, aux yeux d’une magnifique couleur or ainsi que de magnifique petites formes toutes rondes. Le nouveau né était là, dans les bras de sa mère. Les yeux clos, le petit bambin dormait paisiblement au chaud auprès de l’être qui l’avait mis au monde. Souriante, sa mère la berçait tendrement quittant pas sa progéniture de ses yeux. Son père, grand guerrier Omaticaya, était absent étant parti à la chasse afin de faire vivre sa famille tout autant que son peuple. Tuer d’innocentes créatures n’était pas le but principal de ce peuple pacifique. Au contraire, ce peuple vénérait toutes créatures de leur entourage incluant même les bêtes féroces. La mère de la petite Dalaïe ne pouvait plus beaucoup aider son peuple devant rester à son domicile dans l’arbre maison afin de prendre soins de son petit poupon. La petite bestiole remuait de temps-en-temps pour mieux étirer ses membres nouvellement développés ne quittant toujours pas les bras de maman se sentant bien et en sécurité. De petits cris par-ci par-là annonçant que son ventre grognait de faim, sa mère lui donnait le lait maternel toujours aussi apetissant aux papilles gustatives du nouveau né.

Invasion de Pandora

Les humains. Ennemis de tout Omaticayas. Des ennemis redoutables, peut-être plus que l’une des bêtes de la forêt de Pandora. La première rencontre avec une arme fut tout un choc pour ce peuple indigène. L’invasion commençait. Des créatures étranges sur deux pattes ayant certaines ressemblances avec les Omaticayas. Mais seulement, leur odeur était différente de la leur. Ils ne parlaient pas la même langue qu’eux et les objets métalliques qu’ils portaient à leurs mains étaient tout aussi étranges que leurs engins volants dans le ciel. Des choses que le peuple indigène n’avait jamais connues. Ceux-ci arrivaient parfois de la voie aérienne et d’autre par la voie terrestre entourant sans le savoir, l’arbre maison du peuple caché de Pandora. Ils arrivaient par masse sans savoir tout ce qu’ils détruisaient sur leur passage tuant même des créatures sacrées de leur civilisation. Des rugissements résonnant dans tout l’écho douloureux de la forêt parvenait jusqu’aux oreilles du peuple des Na’vi les terrifiants au plus haut point. Alarmants tout le peuple, ceux-ci se préparait à combattre et a repousser l’intrus.

Humains Vs Omaticayas

Armés jusqu’aux dents, les humains approchaient de plus en plus du territoire encore inconnu a tout autre être vivant. Pendant ce temps, les Omoticayas eux étaient déjà près à attaquer et n’attendaient que le moment propice pour sonner l’assaut. Une fois le premier arbre, à proximité de l’arbre maison, tombé, les Omoticayas n’attendirent pas de savoir ce que voulaient ces créatures marchant sur deux pattes et foncèrent directement sur eux goutant à la force de leurs bâtons magiques qui crachait du feu sur eux. Plusieurs battirent en retrait étant trop effrayer par ce spectacle tout nouveau tandis que d’autre fonçaient tête haute et tranchait les gorges de ses visiteurs inconnus. Un véritable massacre s’offrait au deux clans.

Première Guerre

La bataille était terminée. Plusieurs humains s’étaient eux aussi repliés laissant de leurs congénères décédés derrière eux pour aller installer leur base tandis que d’autres restaient étudier ce nouveau peuple. Aucun ne pouvait comprendre les autres. Étant encore sur leurs gardes, les Omoticayas ne laissaient pas les étrangers s’approcher à plus de 15 mètres d’eux. Si l’un deux franchissait la limite, les archers se faisait un immense plaisir de lui tirer une flèche empoisonnée droit dans le cœur. Les hommes avaient finalement posé leurs armes au sol en levant les bras dans les airs signe qu’il se rendait face a ce peuple très puissant. Certains des indigènes s’étaient rapprocher afin d’étudier plus en profondeur ces créatures étranges venues du ciel. Montrant qu’ils ne voulaient aucun mal à leur civilisation, les humains leur avaient donné des choses du monde humain avant de repartir dans leur base qui était en installation. Intrigués, les Omoticayas avait bien examiné les objets a drôles d’allure et finir par commencer à faire confiance a c’est être qui se nommait humains. Un mot que les Omoticayas avaient rajouté à leur vocabulaire après cette sanglante rencontre. Humains pour eux voulait dire ennemis tout en voulant signifier amis. Ils reconnaissaient les visages amicales des humains mais ne laissait pas approcher ceux qu’il n’avait pas fréquenté la première fois. Pour la jeune Dalaïe, cette guerre était le début d’une nouvelle aventure.

Nouvelle aventure

Maintenant âgée de 4 ans, la jeune Dalaïe cherchait toujours l’humain qu’elle avait affectionné. Cet homme était gentil et merveilleux. Chaque jour qu’il venait, il lui apportait toujours un truc nouveau à montrer à la petite créature bleu et curieuse qu’elle était. Elle l’aimait bien surtout lorsqu’il venait apprendre leur langage aux enfants Omoticayas. Pour les jeunes indigènes, apprendre la langue humaine était comme un nouveau jeu. Chaque jour, il y avait de nouvelles astuces à apprendre. Ce n’était pas très facile mais les jeunes y arrivaient très bien. Pour les plus jeunes, c’était une autre histoire. L’homme humain passait environ de 2 à 3 heures par jours avec eux voulant leur apprendre des choses sur les humains en échanges d’avoir des informations sur le peuple Omaticaya incluant leur langage, leurs gènes et encore bien des choses.

Confiance aveugle

La confiance des Omoticayas envers cet homme avait été aveugle. Tous les renseignements qu’il avait eus n’étaient que pour une seule chose. Voler l’identité de ce peuple. Continuant son petit jeu avec ce peuple, il avait fini par gagner assez leur confiance pour pouvoir leur demander de recueillir quelques échantillons de leurs gènes afin de les étudier. Le peuple avait accepté de donner quelques cellules de leurs gènes à ces humains puisqu’il leur avait beaucoup appris. C’était comme une sorte de récompense envers les hommes à deux pattes que les Omoticayas leur donnaient. Ils avaient également recueillies quelques échantillons de leur terre pour découvrir une importante source d’énergie sur leur territoire. Simplement, la source n’était pas encore assez développée pour l’extraire de la terre. A bord de leur base, les humains élaboraient déjà une nouvelle technologie pouvant faire évoluer les gènes Omaticaya pour en extraire un produit voulant ainsi créé comme un clone de ce peuple tout en pouvant y introduire l’esprit d’un humain à l’intérieur de l’enveloppe corporel Omaticaya. Mais cela, les indigènes pacifiques n’en savaient rien. C’était devenu un secret d’État pour les humains.

Retour à la vie

Les jours avaient passés en flèche. Les humains remballaient déjà leurs équipements mais laissait leurs bases terrestres dans divers endroits bien cachés sur Pandora avec du feuillage et des filets pour le camouflage. Ils comptaient surement revenir un jour ou l’autre. Remerciant le peuple indigène qui, pendant plusieurs mois avaient appris à parler le langage humain, ils les laissèrent partir espérant peut-être les revoir un jour.

Nouvelle génération

Comme les Omoticayas l’avaient souhaité, les humains étaient revenus après plusieurs années d’absence. Dalaïe était alors une jeune adolescente de 14 ans en âge humain. Elle suivait maintenant sa formation de guerrière. Elle n’était encore qu’une débutant mais elle savait se débrouiller à la perfection. Le retour des humains avait captivé son attention mais se rappelant des précédent évènements, même avec son affection envers l’un deux, elle restait méfiante depuis les années qui avaient passé sans eux. La vie avait reprit un cours plus normal et le peuple indigène s’était développé. Dalaïe n’était plus jeune et ses parents non plus. Elle se devait de prendre soins d’eux jusqu'à ce que le pire arrive.

Trahison

Le retour des humains fut une bonne nouvelle pour les Omoticayas qui avait attendues patiemment pour apprendre autre chose sur leur monde. Malheureusement, leur retour fut moins amical que le premier. D’autres machines métallique encore plus grosse que leurs engins volant roulaient et écrasait tout sur leur passages, Des machine avec des bouche métallique munie de dents carrée creusait leur sol sans se soucier de la vie qu’il y avait faisant mourir plusieurs de leurs arbres sacrés. Les humains n’étaient plus les bienvenus sur cette planète. Leurs armes étaient braquées sur les indigènes qui oseraient s’opposer à leur plan. Malheureusement, le père de Dalaïe s’était jeté dans la gueule du loup voulant défendre les biens de leurs terres. Il fut tué sur le coup, atteint d’une balle tiré dans l’abdomen par un des humains. L’humain qu’avait affectionné Dalaïe auparavant venait de tuer son père devant ses yeux, ce qui enragea la jeune fille qui fonça pour venir au secours de son père mais fut elle aussi atteinte d’une balle mais dans le bras. Les humains se replièrent à leurs bases une fois qu’ils eurent eu ce qu’ils voulaient. Un échantillon d’une pierre précieuse qui se trouvait sous la terre, la pierre qui donnait de l’énergie à leur continent. Les jours continuaient de passé. Dalaïe avait été soigné par sa mère mais avait juré qu’un jour elle vengerait son père. Depuis ce jour, elle redoute tout humain qu’elle rencontre, amical ou non.

Tribu désirée : Omaticayas
Classe désirée : Guerrière

Invité

Présentation enfin terminé après plusieurs heures XD

Et bien, j'avoue que c'est une jolie fiche, j'ai pas encore tout lu car je vais partir en cours mais j'ai hâte de lire la suite ^^

Invité

belle fiche mais je suis désolé de t'apprendre que les candidatures omaticayas sont actuellement fermé Crying or Very sad

, nous avons trop de membres de cette tribue par rapport aux autres :s

Sinon bienvenue à toi et peux tu en choisir une autre s'il te plait ? ( si ça t'oblige à changer ton histoire tu peux simmplement ajouter une partie ou tu quittes la tribue et tu rejoins une autre pour x raison)

Mais si je suis la seule femme du clan, se serait peut être bien d'en avoir une deuxième non?

On parlerait chiffon, tuperware et autre ^^...enfin des discutions de femme quoi "^^

Tsu'ka a écrit:: On parlerait chiffon, tuperware et autre ^^...enfin des discutions de femme quoi "^^

vous materez surtout les hommes quand on vous surveillera pas XD

Invité

XD ca c'est un détail! Very Happy

J'aimerais bien faire de la compagnie a Tsu'ka si mondoroin veut bien ^^' ( Autre détail...une femme+un clan d'homme=bagarre générale pour reproduction? o_o ) XD Au fait, une dernière petite précision pour ceux qui aurait de la difficulté à savoir comment se prononce le nom de Dalaïe ce n'est pas Dalaye mais Da-la-i
XD voila

Adrien Fox a écrit:

Tsu'ka a écrit:: On parlerait chiffon, tuperware et autre ^^...enfin des discutions de femme quoi "^^

vous materez surtout les hommes quand on vous surveillera pas XD

Regarde donc le vieux jaloux!

Si tu voulais te faire mater, fallait pas être humain Razz

Invité

XD Il veut dire qu'on matterais les hommes humains probablement si il précise qu'il ne nous surveille pas XD ...mmm..peut-être bien si il y en a un assez jeune XD mais pas moins de 14 ans XD

Invité

Tsu'ka, ya aussi neytiri
et pour ce qui est de ta potentielle acceptation chez les omaticayas voie avec Na'gi pck normalement ils sont fermés

Invité

Ehh sinon je suis aussi une fille aux dernières nouvelles xD

Invité

OK je vaus demander a Na'gi

Invité

Bienvenue quand même *\o/*

Ti'Gri a écrit:: Ehh sinon je suis aussi une fille aux dernières nouvelles xD

Je t'ai pas encore vu poster donc pour moi j'étais la seule fille...

Invité

Oui j'ai pas beaucoup posté vu que je suis là depuis pas longtemps ^^ Mais ça va venir t'inquiète, entre les heures de cours Wink

Invité

Lol qui a dit qu'il n'y avait pas de femmes chez lez humains...? C'est aussi "interessant" des deux côtés xD

Bienvenue en tous cas ^^

Ok t'es la dernière ! Test rp (à faire à la suite) : Tu es à la recherche d'un enfant que tu as vu s'éloigner et tu croise un Tanathor avec ses enfants...

Invité

mon test rp sera poster plus bas.

Invité

Bienvenue

Notre petit Na'gi n'est pas assez ferme avec les jolie Na'Vis voulant être Omaticaya mais c'est cool quand même ^^ .

Invité

XD Merci

Ben ya un manque de femme tout de même on va pas laisser ça ^^

Invité

XD Le test avance a grand pas, petit à petit XD

Invité

Test Rp

La journée s’annonçait paisible. Le soleil commençait à peine à se montrer le bout du nez. Cela faisait déjà plusieurs heures que Dalaïe était réveillée. Aux premiers rayons de soleil, elle s’étirait déjà les bras et les orteils pour bien commencer un matin. Sortant tranquillement de son hamac de feuilles, la jeune Omaticaya se dirigea d’un pas lent et silencieux vers un petit point d’eau non loin d’où elle se trouvait afin de s’y rafraichir un peu pour mieux éveiller tout ses sens. Regardant ses congénères qui dormaient à l’entour d’elle, la jeune guerrière afficha un sourire simple avant de continuer son chemin vers le petit point d’eau qui se trouvait encore à quelques minutes de marches du « nid » pour dormir d’une partie de sa famille.

Dalaïe aimait bien se lever à l’aurore pour admirer le magnifique spectacle du lever de soleil. Les couleur y étaient magiques et donnaient l’impression d’offrir un moment magique qui ne dure qu’une fraction de seconde avant de se réveiller. Le silence, les paroles de la nature, la brise légère qui caressait sa peau. La matinée était le plus beau moment de la vie. C’était ce que Dalaïe considérait. Le son de l’eau commençait à se faire entendre non loin de là. Continuant d’avancer parmi le son envoutant de la forêt, Dalaïe arriva finalement au point d’eau en s’agenouillant tout près se regardant un instant dans l’eau qui lui servait de glace. Son reflet légèrement flou par la cause des ondulations de l’eau fini par vite disparaitre lorsqu’elle plongea ses deux mains dans le petit bassin naturelle et de s’asperger le visage de la fraicheur nature de ce liquide abondant. L’eau naturelle de Pandora était l’une des meilleures ressources qu’il pouvait y avoir sur cette planète. Elle était ni trop froide ni trop chaude. Elle avait une bonne température. Une fois rafraichie, Dalaïe se releva sur ses membres inferieurs avant de jeter un œil autour d’elle. Toujours aussi calme et silencieux. Retournant sur ces pas, elle scruta les alentours voyants de temps en temps quelques créatures passées rapidement pour redisparaitre dans les épais feuillages. Ces créatures étaient fascinantes mais parfois dangereuse même si elles étaient inoffensives. Quelle vie paisible.

En revenant à l’arbre-maison, une des familles Omaticaya semblait mouvementée. Décidant d’aller voir ce qui pouvait se passer, Dalaïe s’approcha d’eux et pu constater qu’ils semblaient chercher quelque chose appeler Ney’la. Curieuse de l’étrange situation, la jeune Na’vi s’approcha lentement de la famille le observant un instant jusqu’à ce que la mère de famille la voit.

- Avez-vous vu mon fils, Ney’la ?

C’était donc ça. Elle cherchait son fils. Ney’la. D’après elle, il se serait dirigé vers la sortie de l’arbre-maison.

- Quel âge a-t-il ? Demanda Dalaïe. Cette information serait probablement importante pour déterminer la grandeur de l’enfant.

La jeune mère tourna son regard inquiet sur la jeune guerrière avant de regarder son mari qui continuait de chercher de son côté.

- Il a 8 ans…il est encore jeune…

Dalaïe acquiesça d’un signe de tête.

- Je vais vous aider à le retrouver.

La jeune mère eu une étincelle d’espoir dans son regard profond. Dalaïe lui sourit et partie chercher en direction de la sortie du village, et si elle devait aller voir à l’extérieur, elle irait. Ayant cherché dans les plus petits recoins de l’arbre-maison, Dalaïe en déduit que le petit Omaticaya n’était plus à la maison et sortie donc à l’extérieur pour aller y jeter un coup d’œil. Au premier balayage visuel, le petit n’avait pas l’air à s’amuser dans la cour extérieure de l’arbre-maison. Dalaïe devrait s’éloigner un peu plus pour aller vérifier dans les hautes herbes. Continuant de s’aventurer toujours plus loin, Dalaïe fini par entendre quelques rires au loin et alla voir de qui il s’agissait. Elle pu surprendre un petit groupe de trois enfants qui s’amusait dans un petit étang de Pandora.

- Ney’la ?

Malheureusement pour ses recherches, le petit de la famille n’y était pas. Les trois enfants cependant arrêtèrent de jouer pour regarder la jeune guerrière.

- Tu cherche quelqu’un ?

La jeune Na’vi regardât le groupe d’enfant et fit un petit signe positif de la tête pour dire qu’elle cherchait quelqu’un.

- Un jeune enfant d’environ 10 ans…

À l’aide de ses mains, la jeune Na’vi leur montra approximativement la grandeur de l’enfant. Les deux premiers haussèrent les épaules mais le troisième lui indiqua une direction.

- Il a passé par ici il n’y a pas très longtemps.

Dalaïe lui sourit et reprit son chemin dans la direction suggérée par l’enfant Omaticaya. Ses pas étaient grands et rapide ne voulant pas perdre de temps pour retrouver le bambin peu importe où il se trouvait. Avec toutes les créatures qui rodaient dans le coin, même si l’on disait qu’elles étaient inoffensives, il ne fallait pas laisser un enfant tout seul dans un tel endroit. Continuant d’avancer parmi les nombreux fourrages de la forêt de Pandora, Dalaïe fini par entendre de petits cris aigus ressemblant étrangement à ceux d’un enfant Omaticaya.

De son côté, le jeune enfant était allé cueillir une jolie fleur pour sa mère qu’il aimait tant. Étant habituer à se petit sentier de terre, le jeune Omaticaya avait réussi à retrouver son chemin vers l’arbre-maison allant vite retrouver sa mère en lui donnant la jolie fleur qu’il avait trouvé. Sa mère heureuse de le retrouver s’empressa de le prendre dans ses bras le serrant très fort contre elle lui disant de ne plus s’éloigné comme il venait de le faire. Le temps des recherches, la mère du petit Na’vi avait oublié la jeune guerrière qui était partie elle aussi à la recherche de son fils à travers la forêt.

Dalaïe continua d’avancer vers les petits cris perçant qui se faisait de plus en plus proche. Repoussant les épaisses feuilles de ses mains, la jeune guerrière se frayait un chemin afin de mieux surprendre le petit garçon qui s’était éloigné, si c’était bien lui. Dalaïe continua son chemin jusqu’à écarter la dernière feuille de sa vue mais ce qu’elle découvrit fut plus que surprenant. Il ne s’agissait pas du petit garçon mais bien de deux petits Thanators sans leur mère. Dalaïe ce demandait bien ou était celle-ci mais ne préférait ne pas y faire face risquant énormément si elle le faisait. Décidant de rebrousser chemin pour en emprunter un plus à distance des petits Palulukans, Dalaïe recula en replaçant doucement les feuilles du nid douillet des petites créatures carnivores et commença à faire demi-tour juste avant de sentir une forte et chaude respiration sur sa nuque. Se retournant très lentement, Dalaïe pu sentir un gluant et visqueux coulis de bave glisser le long de son épaule. Trouvant déjà cela dégoutant, elle se retourna et à sa plus grand malheur, maman Thanator de trouvait devant elle à la fixer comme un bon gros steak bien saignant. La bave dégoulinant de sa puissante mâchoire la répugnait mais lui faisait peur. Fixant l’énorme bête dans les yeux, Dalaïe recula de façon à faire le tour de maman palulukan sans la provoquer. Celle-ci fit de même en tournant sur elle-même de façon à rester de face avec l’appétissante Omaticaya. La jeune Na’vi commença à reculer sans faire aucun geste brusque mais lorsque que la bête avança une des ses menaçante patte vers elle en rugissant férocement, Dalaïe ne prit pas le temps de s’excuser et prit ses jambes a son coup pour fuir la gigantesque bête qui maintenant la traquait comme un gibier la dévorant du regard comme si elle n’avait pas mangé depuis plusieurs semaines. Dalaïe ne se retourna même pas une seule fois pour voir si le palulukan la suivait toujours. Le simple fait d’entendre sa respiration derrière elle lui disait, et même si la bête ne serait plus derrière elle, elle ne se serait jamais arrêter de courir pour autant. Sentant le souffle de la bête se rapprocher d’elle, elle savait qu’elle gagnait de l’avance sur la jeune Na’vi. La jeune guerrière tourna brusquement dans une autre direction manquant de peu de se faire peut-être arracher la jambe d’un simple coup de patte au griffes acérées de la bête qui elle continua de la pourchasser vers une région assez boisée du secteur. Fonçant vers les nombreux arbres, la jeune Na’vi jeta un rapide coup d’œil et pu s’apercevoir que la bête n’était plus derrière elle. Continua de foncer droit devant elle, elle fixa son regard vers le sol voyant une ombre gigantesque lui passer au dessus de la tête. La bête avait sauté par-dessus l’Omaticaya. Stoppant net, la jeune Omaticaya sorti son couteau de sa trousse pour faire face a la plus féroce des bêtes…l’une des plus féroces de Pandora. La bête grogna de plus belle avant de foncer droit sur la jeune guerrière qui lui infligea un coup de couteau au visage ne faisant qu’enrager de plus la créature. Cependant, ce petit incident volontaire pu lui permettre de gagner quelques secondes d’avance dans sa course. Courant de toutes ses forces, tant que ses jambes le lui permettaient, elle fuyait mais malheureusement pour elle, la région boisée n’avait pas d’entrée distincte et devrais donc s’en faire une improvisée. Elle arriva mais fut vite coincer entre les arbres mais cela lui donnait une certaine opportunité pour rester à l’écart de la bête même si celle-ci cassait les branches avec forces assainissant un coup de griffes au bras de la jeune fille. Ce fut la seule égratignure qu’elle eu et ne prit pas son temps pour se frayer son chemin grimpant immédiatement dans les plus hautes branches des arbres prenant les plus gros empêchant la bête d’y grimper n’étant pas assez agile pour grimper à cette hauteur. La bête continua de la suivre pendant un long moment s’asseyant à plusieurs reprises pour grimper à l’arbre n’y arrivant heureusement pas. Ne lâchant jamais sa proie, la bête du rebrousser chemin ne pouvant pas aller plus loin qu’elle ne l’était déjà et retourna auprès de ses petits.

Dalaïe stoppa sa course dans l’arbre ou elle se trouvait et expira un bon coup se sentant soulager de voir la bestiole rebrousser chemin. Son cœur battait la chamade dans sa poitrine et son souffle était court. S’adossant un peu à l’arbre le temps de reprendre un pouls régulier, Dalaïe repensa à tout ce qui venait de ce passé en peu de temps. Elle se demandait également ce qui était rendu du petit Na’vi qu’elle cherchait.

Son souffle reprit, la guerrière reprit son chemin vers l’arbre-maison espérant y trouver le petit qu’elle cherchait ne voulant pas avoir failli mourir pour rien. Son bras saignait beaucoup mais pas assez pour l’arrêter. Elle ne perdit pas de temps et reprit un pas de marche rapide vers son domicile.

En arrivant au bercail, elle pu apercevoir la jeune mère du matin avec son jeune fils dans ses bras. Dalaïe soupira intérieurement étant rassurer que ca soit elle qui ait fait face au palulukan et non le petit. Elle rentra chez elle et se soigna avant de ressortir dehors et de reprendre sa routine habituelle avant d’attendre la fin de la journée afin que demain arrive.

Validé, test passé avec succès.