Un jour tranquille ? ( pv Tsu'ne )

-Approche, je ne suis pas comme les autres. Je n'ai rien contre les Na'vi.

Tsu'ne était épaté, il se demandait ce qu'il disait mais il comprenait un peu et le trouvait un peu bizarre pour un humain, il n'avait pas de masque comme les autres.

Qu'es ce qu'il dit là ?
Tsu'ne s'approcha de lui et dit:

Kaltxì, je suis Tsu'ne et vous? Pourquoi vous ne porter pas de masque comme les autres humains?

L'humain s'approcha de Tsu'ne lentement en lui tendant la main et Tsu'ne fit la même chose, Tsu'ne avait peur qu'il le tue.
L'humain n'avait pas l'air méchant pour Tsu'ne, mais il était quand même sur ses gardes.
L'humain s'approcha et lui dit

-Moi c'est Okami

Spoiler:

Je me levais comme à mon habitude, quelques minutes avant que le soleil ne se
lève. Encore à moitié endormie, je n'ouvris pas tout de suite mon hamac et laissai
mes pensées dériver à la surface de ma conscience... Ignorant que la lumière qui
illuminait la nuit était bien suffisante à mes yeux encore ensommeillés, un indiscret
rayon de soleil se glissa entre les fibres du lit et vint frapper mon œil droit qui,
sous l'impact, se referma.

Je respirais profondément l'odeur de pluie qui montait de l'humus à dix mètres en
dessous de moi, goûtant à la fraicheur de cette journée qui s'annonçait radieuse.
J'allais d’abord trainer dans la forêt, manger quelques fruits, puis je partirais avec
la patrouille de chasse afin de ramener de la viande et lorsque le soleil aura
parcourut les trois-quarts de sa course, j'apprendrais à mon petit frère à tirer à
l'arc, puisqu'il me l'avait demandé et redemandé, hier.

Doucement, j'ouvris la membrane fibreuse de mon hamac qui s'illumina brièvement
et d'un bond que d'autres auraient cru irréalisable sans élan je me perchai sur la
branche d'en face, souriant à ma mère qui elle aussi venait de se lever et me
faisait signe. M'approchant, je lui dit bonjours et entretins quelques banalités avec
elle avant de bondir à quelques branches de là pour réveiller mon petit frère en lui
faisant des chatouilles.

Après que mon petit frère ai fait semblant de s'offusquer, qu'il m’ait lancé un bout
de bois à la figure et que la scène se soit terminé en un grand éclat de rire, je
m'éloignai un peu et m'étirai comme un félin, puis je descendis prestement le long
d'une liane, me balançant un instant avant d’atterrir souplement sur la grosse
branche d'en dessous.

Le village était réveillé et déjà fourmillait d'activité. Je n'eus pourtant pas de mal à
sortir de l'éffervence et à m'éloigner pour visiter les endroits où, je le savais,
poussaient les meilleurs fruits dont je me remplirais bien le creux que j'ai dans le
ventre. Filant à travers les arbres comme un rêve, rapide, fluide, insaisissable, je
sautais sur le tronc d'un arbre mort, escaladais un talus avant de me couler sous
un buisson et d'entendre le doux bruit de la cascade que j'allais devoir traversé
avant de...

Je me figeai. Derrière le glougloutement de la cascade, un autre bruit m'étais
parvenu. Celui d'un briseur d'harmonie, quelqu'un qui n'avait jamais fait corps avec
la forêt, quelqu'un qui n'avait jamais volé avec un oiseau, sentis le courant d'une
vrai rivière sur sa peau, quelqu'un qui, j'en étais persuadée, était aussi
responsable de la disparition d'Ilmis que les autres membres de sa maudite
espèce... je crachais par terre, comment osait-il profaner nos terres, comment
osait-il...

Je tressaillis au moment où je compris que nous n'étions plus sur les terres de mon
clan. Quel que soit mon dégoût pour celui qui était devant cette cascade, je ne
pouvais pas le tuer sans que cela soit considéré comme une déclaration de guerre
contre les Omaticayas, et je n'étais pas assez folle pour risquer de commencer
une guerre ouverte avec des na'vis alors que l'ennemi était là, sur le sol d'Eywa et
qu'il nous narguait en abattant nos arbres, en tuant nos frères, en...

Je me ressaisis (tentai de me ressaisir) le briseur d'harmonie parlait... tous seul ?
Non avec quelqu'un... qui ? Qu'en aurais-je su ? En tous les cas c'était un
Omaticaya, et je m'approchais pour mieux entendre et mieux voir...

Là, devant la cascade et le lac, un humain et un Omaticaya étaient l'un en face
de l'autre. Le briseur d'harmonie, bras écartés, ne représentais pas de danger
immédiat mais si le guerrier tardait trop l'homme pouvait à tous moment le... Il ne
tira ni ne bougea brutalement comme en ont l'habitude les humains, et,
doucement, tendis la main vers le na'vi qui, lui semblait avoir... peur de l'autre.

-Approche, je ne suis pas comme les autres. Je n'ai rien contre les Na'vi.

Je ne compris évidement rien à ce qu'il disait mais son ton était étonnamment
dépourvut de mécahanceté, même si je refusai de m'attarder sur ce détail.
L'Omaticaya s'approcha encore un peu de lui et dit:

Kaltxì, je suis Tsu'ne et vous? Pourquoi vous ne porter pas de masque comme les
autres humains?

-Moi c'est Okami

Je me mordis la lèvre : j'avais du mal à me retenir de ne pas attaquer le briseur
d'harmonie (tien ? pourquoi ne portait-il pas de masque ?) et de sauver
l'Omaticaya même si il ne m'en aurait sûrement pas remercié en retour.

J'imaginais de là le guerrier me reprocher d'avoir blessé son « copain » et me faire
la morale... oui j'imaginais très bien la scène, moi un sourire aux lèvres en
regardant le corps inanimé de « la pauvre victime innocente » et lui me
sermonnant sans parvenir à cacher son inquiétude pour l'humain... écœurant.

Oui ç'aurait été sûrement très drôle, mais trop peu glorieux à mon goût, et c'est
avec un sourire outrancier que je franchis la barrière végétale qui me dissimulait
aux regards.

-Salut.

C'était l'un des seuls mots d'humain que j'avais appris, avant... avant que le drame
ne me fasse maudire tous les humains et tout ce qui se rapproche d'eux, à jamais.

HJ : [hou la, excusez-moi c'est un gros pavé, j'avais peut être un peu trop
d'inspiration ^^ (vous sentez pas obligés d'en écrire un aussi long ^^')]

Tsu'ne etait là avec l'humain Okami qui étaient entrain de se saluer.

Tsu'ne s'avança prudemment se demandant ce que l'humain allait faire... Quand tout à coup Tsu'ne entendit un bruit dérrière lui, il s'approcha avec garde. Puis un Na'vi apparait devant lui, Tsu'ne sursauta.
C'était une Na'vi se nommant Tsyal ftu Utral qui venait du clan des Tipani. Tsu'ne salua la nouvelle Na'vi.


Kaltxì, Tsyal je suis Tsu'ne. (language Na'vi)

L'humain s'était retourné pour voir ce qu'il se passait, il s'avança et tendit sa main à Tsyal pour lui dire bonjour.

D'une démarche souple et assurée, j'avançai vers le na'vi autant pour narguer le briseur d’harmonie que pour m'approprier le terrain. Stratégiquement je pouvais le supprimer dès que l'omaticaya aurait le dos tourné et sans que cela soit considéré comme une déclaration de guerre. Mais alors pourquoi ...?

-Kaltxì, Tsyal je suis Tsu'ne. (language Na'vi)

-Kaltxi, Tsu'ne, que fais-tu avec cet homme ? (language Na'vi) éloigne-toi avant qu'il ne te tue ou qu'il prévienne les siens !

J'avais craché les derniers mots en un langage humain que j'ignorais détenir en accompagnant d'un geste méprisant envers l'humain lorsque... le briseur d'harmonie s'avança et me tendit sa main pour... me dire bonjour.

J'aurais bien craché sur son invitation, coupé la main qu'il me tendait, mordu, blessé, tuer même ! Mais... quelque chose était étrange chez cet humain. Quelque chose qui me fit hésiter. Quelques secondes.

*oh et puis après tout...* songeai-je en faisant un pas en avant.

Non mais j'étais malade ? J'avais fumé ou quoi ? Dire bonjours à un humain, lui serrer la main, c'était échoeurant, vraiment ignoble, je ne pouvais pas lui serrer la main, pas m'approche, pas...

Un autre pas en avant, j'avance ma main vers celle de l'humain...

Tsu'ne salua sa soeur et elle fit pareil, l'humain qui était à quelques pas de nous tendis sa main à Tsyal pour le saluer.
Tsyal répliqua :
-Kaltxi, Tsu'ne, que fais-tu avec cet homme ? (language Na'vi) éloigne-toi avant qu'il ne te tue ou qu'il prévienne les siens !

Tsu'ne lui dit :
Ne t'inquiètes pas il n'a pas l'air comme les autres, mais sois quand même sur tes gardes on ne sais jamais ce qu'il pourrais arriver. (language Na'vi)

Tsyal tendit sa main et, quand, Okami s'apprète à lui serré la main, et Tsyal recula.

Tsu'ne lui dit:
Pourquoi fait tu cela, il ne te feras rien, regarde le bien il ne porte pas de masque comme les autres, lui il ne nous fais rien. Les autres humains nous auraient tout de suite pris en chasse ou même nous tuer.

-Ne t'inquiètes pas il n'a pas l'air comme les autres, mais sois quand même sur tes gardes on ne sais jamais ce qu'il pourrais arriver, me dit-il en langage Na'vi.

Dédaigneuse, je ne lâchai pas l'humain des yeux, serrant mon couteau à m'en faire blanchir les phalanges.
Finalement je croisai les bras sur ma poitrine, refusant tous contacts avec le briseur d'harmonie.

Tsu'ne lança :
-Pourquoi fait tu cela, il ne te feras rien, regarde le bien il ne porte pas de masque comme les autres, lui il ne nous fais rien. Les autres humains nous auraient tout de suite pris en chasse ou même nous tuer.

Il posa une main apaisante sur mon bras, que je dégageai brutalement.

-Pfff ! Crachai-je dédaigneusement (en langage humain cette fois), ils ne nous auraient pas tués, ç'aurait été l'inverse ! Je ne suis pas une frêle créature qui attend en tremblant que des humains la protège ou la tue, tiens-le-toi pour dit !

Je le regardai durement, fis tournoyer mon couteau en corne dans ma paume avant de l'apostropher : Cette fois, écarte toi !

Et je dirigeais mon regards et ma lame vers la cible de mon courroux.
J'hésitai entre lui enfoncer la lame dans le cœur ou faire durer l'exécution, mais mes yeux dorés, haineux, impitoyables, ne laissaient pas place au doute : je voulais le tuer.

Cette fois écarte toi ,me dit elle furieuse.

Elle fit tournoyer son couteau dans la paume de sa main, Tsu'ne pensait qu'elle voulait tué, l'humain qui ne nous avait rien demander.
Et Tsu'ne lui dit:
Non, je ne m'ecarterais pas, tu ne le tueras pas, je te l'oblige, tu ne le tueras pas.

Il fixa Tsyal et lui dit:

Ces humains ont tués des membres de notre peuple, oui on va se venger, mais cet humain là, non, je ne veux pas qu'on le tue. Il a quelque chose d'autre par rapport aux autres humains, peut etre que Eywa la choisi pour qu'il soit comme nous.
Donc s'il te plait ne le tue pas. Si tu le tue les autres humains vont voir quil ne revient pas dans son campement et ils vont vouloir le rechercher. Si ils ne le retrouve pas, ces humains vont nous suspecter. La guerre sera à nouveau déclencher .
Mais nous ne voulons pas de cela, donc tu sais ce qu'il te reste à faire.

Spoiler:

Suite à mes paroles, j'avançai d'un pas, un seul. Il ne bougea pas. Je levai mon poignard, il ne bougea pas non plus. Pas plus qu'il ne bougea lorsque mon regard haineux croisa le sien, tout à fait amène.

-Non, je ne m’écarterais pas, tu ne le tueras pas, je te l'oblige, tu ne le tueras pas.

Il me fixa durement et je me demandai si c'était le même na'vi qui venait de me parler, tant il était différent d'une seconde plus tôt. J'eus un sourire dur. Il m'obligeait ? Il n'étais pas mon supérieur et je n'étais pas Omaticaya, alors il ne pouvais pas me donner d'ordres.

-Ces humains ont tués des membres de notre peuple, continua-t-il avant que j'ai pu répondre. Oui on va se venger, mais cet humain là, non, je ne veux pas qu'on le tue. Il a quelque chose d'autre par rapport aux autres humains, peut etre que Eywa la choisi pour qu'il soit comme nous.
Donc s'il te plait ne le tue pas. Si tu le tue les autres humains vont voir quil ne revient pas dans son campement et ils vont vouloir le rechercher. Si ils ne le retrouve pas, ces humains vont nous suspecter. La guerre sera à nouveau déclencher .
Mais nous ne voulons pas de cela, donc tu sais ce qu'il te reste à faire.

Un rire saturé de ressentiment passa la barrière de mes lèvres. Mon regard changea. De dur, il devint cruel. Je reportai mon attention sur l'humain :
-Est-ce vrai, briseur d'harmonie ? Vrai que tu n'as jamais tué un na'vi ? Que tu n'as jamais fais de mal à une créature d'Eïwa sans raison ? Que tu n'a pas envoyé les machines creuser le sol sacré ? Que tu n'as pas besoin de masque parce que ton cœur est pur ? Que mon compagnon...

Ma voix se brisa. Mon futur compagnon avait été capturé et torturé à mort par la RDA. Je savais ce qu'ils lui avaient fait, je savais qu'il n'était plus en vie mais tant que les humains ne me l'auraient pas rendu, je refusais de prendre un nouveau fiancé. Et ils n'avaient jamais voulu nous rendre le corps.
L'espace d'un instant, ce fut une jeune femme brisée qui se tint devant le duo, mais je me repris et l'image s'effaça, avant que je reprenne la parole d'un ton plus amène :
-Sache que je n'ai jamais aimé les humains et que je les haïraient jusqu’à ma mort. Cependant Tsu'ne a raison : tu n'es pas comme ceux qui ont tant tué, je dois l'avouer, alors je te demmande d'accepter mes excuses.

-Sache que je n'ai jamais aimé les humains et que je les haïraient jusqu’à ma mort. Cependant Tsu'ne a raison : tu n'es pas comme ceux qui ont tant tué, je dois l'avouer, alors je te demmande d'accepter mes excuses.

Tsu'ne lui fit un signe de la tête et lui dit:

Moi aussi je haïrais les humains jusqu'à ma mort, mais certains humains sont plus sympathique que d'autre. Il faut l avouer que Okami, cet humain
a envie de partager quelque chose avec nous, celà se voit dans ses yeux.
OUI TSYAL J'ACCEPTE TES EXCUSES.

L humain nous regardais tendant la main à Tsyal et Tsu'ne lui dit de lui serrer la main.

HRP// Terminons ce rp //HRP

"Moi aussi je haïrais les humains jusqu'à ma mort, mais certains humains sont plus sympathique que d'autre. Il faut l avouer que Okami, cet humain a envie de partager quelque chose avec nous, celà se voit dans ses yeux." me dit Tsu'ne.

"OUI TSYAL J'ACCEPTE TES EXCUSES." (me dit... ?)

Je hochai la tête vers à Tsu'ne et serrai la main ouverte que me tendait l'humain sans masque, ressentant tout de même une certaine gêne à serrer une main ennemie.


HRP << oui, ça deviens nimporte quoi x) par contre j'ai pas compris qui parlait quand... 'fin bref >>

Rp terminer