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| Sujet: A peine arrivé, déjà repartit ! [Solo] Dim 12 Sep - 14:15 | |
| Je suis arrivé il y a des quelques heures. J'avais déjà fait connaissance avec pas mal de gens, et mes projets étaient simple : leur dire au revoir en beauté. J'avais pour objectif de retrouver mon père : Calvin Broadus. En général, il envoyait souvent des messages à ma mère, et elle m'avait signalé quelques minutes plus tôt que mon père ne lui avait plus donné de nouvelles depuis plusieurs mois, et ça ne lui ressemblait pas. Une odeur étrange emplit mon nez, une odeur de mauvaise nouvelle, quelque chose n'allait pas. Je me dirigeais vers l'armurerie et prit la première arme venant : un 9mm, un petit calibre tirant assez rapidement, à condition de savoir utiliser son index. Je sortis ainsi et revenais à ma chambre, prenant mon sac préalablement préparé pour quitter la base dans les délais les plus brefs. Je sortis ainsi de l'enceinte de la base et enfilais mon masque avant de quitter le SAS. Me voilà enfin dehors, là où les véhicules défilaient, où les troupes défilaient et surtout, où la porte de la base se trouvait. J'allais pouvoir quitter ces lieux maudits, et ainsi j'allais pouvoir partir à la recherche de Calvin. Je me dirigeais vers la sortie, et demandais l'ouverture de la porte. L'homme ne semblait pas d'accord.
- C'était pas une requête, compris ? Maintenant tu ouvres cette porte, ou je presse la détente !
Je pointais mon arme sur le front de l'homme, et il ouvrit sans réfléchir. Un petit sourire apparut sur mes lèvres, et je ne pus m'empêcher de le remercier en l'assommant avec la crosse de mon arme. Plus vite j'aurais quitté la base, et plus vite j'aurais la possibilité de rejoindre le village na'vi le plus proche : l'Arbre Maison, le village des Omaticaya. Je ne sais pas parler le na'vi, mais il parait que certains na'vi savent parler en américain, alors je n'aurais aucune difficulté à m'adresser à eux. Je m'empressais de sortir en empruntant la porte venant de s'ouvrir, et elle se referma automatiquement derrière moi (mesure de sécurité). J'étais maintenant livré à moi même, il était même possible que je ne survive pas longtemps mais qu'importe, j'allais bientôt retrouver mon cher père ! En route !
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