Rencontre en haute montagne (Ean’muä et kik'toha)

Il faisait beau, le soleil était au rendez-vouz ce jour là. Kik'toha, comme à son habitude, faisait sa promenade habituelle, pour être en forme et voir du pays. Pour éviter la monotomie du lieu, il essayait a chaque fois de visiter un endroit différent. Là, il avait gravit le pied d'une des montagnes, d'on il avait malheureusement oublier le nom mais peu importe, la beauté du lieu n'avait d'égale à ses yeux que l'immensité du monde. Les arbres bordant le pied de la montagne où il se trouvait avait laissé place à des pentes et des falaises de roche qui, à certains endroits, étaient frillables et de se fait dangereux au plus haut point.
Après avoir escaladé une petite pente, kik'toha s'instala sur un ponton de roche culminant le paysage et solidement accroché au flanc de la montagne. En regardant devant lui, il se rendit compte de la richesse qu'offrait ce panorama. Lorsqu'il penchait son regard vers le Sud, il pouvait voir aisémant la Mer et la plage. Un peu plus dans les terres, il distinguait clairement les habitation du clan. A l'opposé dominait la forêt et a l'horizon, les plaines désinait une bande verte.
Alors qu'il humait l'air, kik'toha remarqua une jolie "fleur"au parfim envoutant. Il se pencha pour la sentir sans l'arracher bien sur. En se relevant, il remarqua une silouhaite, en au pied de la montagne. Un silouhaite qui lui était familière.

Lorsqu'elle arriva à sa hauteur, kik'toha se rendit compte bien assez tôt que c'était Ean’muä, une na'vi qu'il connaissait depuis très longtemps, enfin depuis tous petit. Ils en avaient passé du temps ensembles, à escalader les arbres le plus vite possible et d'autres jeux annodins qui faisaient passer le temps. Malheureusement, ces derniers temps, ils s'étaient beaucoup perdus de vue, grandissant de leur côté. La dernière fois qu'il se souvient l'avoir vue, cela faisait déjà plusieurs mois alors que, ironie du sort, ils sont tous les deux du même clan et de plus archer! A l'époque, ils étaient tellement fusionelles, toujours tous les deux à faire les 400 coups.


Mais kik'toha la reconnu tous de suite. Son visage n'avait pas changé, elle était toujours aussi élégante et belle. Lorsqu'elle s'arreta devant lui, elle posa son arc et son carquois a ses pieds. C'est à ce moment là qu'il se rendit compte qu'il les avait oublié. Mais bref, il se concventra sur Ean’muä. Elle était devenue encore plus belle avec l'âge et sa grace toute féline lui allait à merveille pour son si jolie corps. Comme d'habitude elle coiffait ses cheveux de la même manière se qui lui allait très bien, enfin c'est ce qu'il pensait.



-Comme je suis content de te revoir! Cela faisait une éternité, dit-il en tapotant le sol pour lui faire signe de sasoir à côté de lui.

Un vent frait nous fouetait le visage. Elle s'assit à coté de lui et après quelques minutes depuis qu'elle s'était assise, Ean’muä se releva, prit son arc et ses flêches et se mit à dévaler la pente de la montagne. Au début, il crut qu'il avait faiun geste déplacé, qu'elle aurait mal prit mais il comprit vite qu'elle ne faisait que ranimer la flamme des souvenirs et de la jeunesse. Il se leva d'un bond et s'élança à sa poursuite, le sourire au lêvre, ne la perdant pas de vue.

Kik'toha était vif et rapide...mais d'esprit. Il n'était pas très rapide et endurant. Il commença a perdre son souffle mais, trop exité et euphorique, il se laissa tenter par livresse de jeu. Cependant, il faisait attention à la moidre parcelle de terre qu'il traverssait, analysant les détailles du relief, les buissons etc... Il serait bête trouvait-il de se tordre une geville ou autre pouir des idiosie d'un âge dépassé bien que cette analyse lui servait pour chaque escapades, chasses ou promenades.

*Quel âge ais-je?*, se demanda t-il en ricanant.

Puis, alors que son amie s'arreta sur un monticule de roche dominant un lac, il voulu ralentir son allure et s'arreter à côté d'elle mais la pente et la vitesse de sa course le fit perdre l'équilibre et il culbuta Ean’muä avant de tomber tous les deux dans l'eau cristaline et appasante du lac garnis de plante aquatique bioluminésante et de petits poissons. Lorsqu'il remonta à la surface, kik'toha repris son souffle et chercha la na'vi du regard mais elle ne semblait pas être remontée à la surface. Il s'inquieta tous de suite pour son amie.

"Ean’muä!!! Répond moi!!!"cria t-il alors que ses mots résonait entre le flanc de la montage et la forêt devant.

Alors que kik'toha cherchait d'un regard plus quinquiet son amie, une chose s'agrippa fermemant à ses jambes et le traina vers le fond. Il n'eu que le temps de prendre une médiocre respiration que son corp se trouvait déjà au fond du lac. Il comprit que c'était encore un jeu de Ean’muä lorsqu'il la vit remonter a toute vitesse et me laiiser couler comme une pierre.

Kik'toha n'était pas un as de la natation bien qu'à l'époque, il était une véritable fusée. Mais avec le temps, les gens changes et personnes n'échappent à la règle. Mais l'air lui manqua cruellement et il remonta à la surface le plus vite que ses jambes pouvaient le propulser. Lorsqu'il se retrouva la tête à l'air libre, il inspira si fort que même Ean’muä s'arrèta de rire.

Il était à la fois si heureux de partager des moment de complicité comme celui-là mais il avait eu si peur de se noyer!! Enfin le bonheure de se jeu annodin prit le dessus et il se mit à envoyer des giclées d'eau avec ses mains sur Ean’muä tout en se raprocchant de la rive. Il jouait comme un enfant et rien au monde n'aurait put le soustraire à sa ni au rire enchanteure de Ean’muä.

Les deux na'vi sortirent de l'eau trempés jusqu'aux os et frigorifiés par le vent venant de la montagne en amont qui leurs fouettaient la peau. Kik'toha s'allongea sur le sol sableux et argileux, doux sur la peau, à côté d'un rochet qui lui assurait une fiere rempart contre le vent sans lui faire d'ombre car il trouvait sa dommage de gacher de tel rayons bienfesant de cette astre lumineux.

Ainsi, il se mit en direction du Soleil pour se laisser secher tout en observant Ean’muä éssorant ses magnifiques cheveux couleur de la nuit. Les goutellettes ruiselents de son corps désinaient toute ses courbes gracieuses pour s'écraser sur le sol. Se décalant un peu plus contre le rocher, il appela Ean’muä qui étandait son carquois et son arc contre un arbre. Elle au moin ne l'avait pas oublié!!! Mais ils avaient plus l'impression de la gener qu'autre chose.


"Allez viens!!!! "lui dit-il en lui montrant la place à côté de lui.
Puis il ferma les yeux, se rememorant son amie avec quelques années de moins, même si les quelques années quelle avait prit comme lui n'avait fait que de l'embellir de jours en jours, la rendre plus mature et en espérant quelle vienne s'allonger avec de lui, au calme, juste au bord d'un lac dans un cadre magestieux.

Kik'toha savait grace à ses sens que Ean’muä était à côtè de lui, surement à le regarder bien qu'il n'en avait pas la certitude étant donné que ses paupières étaient fermé. Tous doucement il fit glisser sa main vers celle de la na'vi, et lorsqu'il allait la prendre dans la sienne, une idée encore segronue lui vint à l'esprit.

Il monta avec une grande discrétion sa main vers son ventre et se mit à la chatouiller. Puis d'un geste vif et sillencieux, il l'a remit à sa place. Ean’muä se redressa brusquement, cherchant la cause de la drole de sensation précedament resentit. Ne pouvant se retenir, kik'toha éclata de rire devant Ean’muä qui avait l'air d'avoir vite comprit que c'était lui qui l'avait importuné de la sorte, toujours en jouant comme des enfants. Il ouvrit les yeux, regardant Ean’muä droit dans les siens, échangeant un sourire narquois et il reprit ses chatouilles cette fois sans les cachées à ses yeux, dans le cou, sur le ventre et sous les bras en riant mutuellement comme des momes de 4 ans.

Et quand se n'était pas lui qui la chatouillait, c'était elle qui en reméttait une couche. Il était si heureux. il se demanda une seconde si ceux qui venait du ciel pouvait resentir un tel bonneur. Enfin 1 seconde entre la haine qu'il éprouvait pour eux. Se moment de complicité était si fort que pour rien au monde, il n'aurait voulu que cela se termine.

Après des roulades qui leur parraissaient interminables les deux na'vis se retrouvèrent dans un buisson accompagnés de lucioles multicolore. Malgré son agilité et sa vivactée, Kik'toha se retrouva immobilisé par la poigne ferme et masculine de son amie Ean’muä. Elle lui grimpa sur le corp et l'immobilisa des épaules. Il ne chercha guère plus longtemps à se débatre tant la tenacité de celle-ci était forte ainsi que sa détermination qu'il pouvait lire aisaimant dans ses yeux, tel un brasier innexctinctible.


Ok j'abandonne!!! dit t-il en séssant tous moyen de s'extirper de sous son corps.


Ils étaient tous les deux exténués. Ean’muä avait l'air de reprendre son souffle qu'elle semblait bien avoir perdue puis, délicatement, elle relacha son emprise sur les épaules de kik'toha et plongea ses yeux dans les siens. Au fond de lui naissait une comme une flamme, qui empoigna son coeur. Les jeux et les chatouilles précédents avaient totalement disparus de son esprit qui était maintenant rivé sur l'être qui se trouvait sur son corps.

Essayait-elle de lire dans ses pensées ou lui dire quelque chose avec son regard, comme si la parole n'était qu'un luxe pour la communication des êtres en leurs intérieurs? Lui essaiyait de déchiffrer les pensées de Ean’muä, sans y parvenir. il la connaissait depuis toujours et si mal à la fois. ils étaient si différents et fusionnelles à la fois. Il aurait tant préféré qu'ils ne se perdent pas de vue aussi bêtement, que ceux qui viennent du ciel restent dans leur monde propre et qu'il ne cause pas autant de dégats dans sa vie et n'emprisonne son coeur dans la solitude, la rencoeur et la haine envers eux. Mais à peine il eu le temps de penser à cela qu'une autre idée lui vint en tête, cette fois pas enfantine ni puérille. Il ne voulait plus qu'une chose au monde, la prendre dans ses bras et l'embrasser.

Ean’muä était mal à l'aise, kik'toha le vit bien. D'ailleur même un aveugle l'aurait vue. Elle lacha totalement son emprise sur ses épaulles et se leva, en détournant la tête. Kik'toha se releva et alla chercher l'arc et le carquois de Ean’muä.

"Attend!!" lui dit-il en s'approchant de la na'vi. Peut être changerait-elle d'avis, peut être cesserait-elle de vouloir partir. Kik'toha savait très bien que c'était lui et uniquement luiqui était la cause de son malêtre intérieure. Mais, comment pouvait lutter contre ses sentiments?

D'ailleurs ces sentiments, une chose bien abjaicte. C'était la première fois qu'il resentait cette attirence envers une personne. Mais Kik'toha savait que le courant devait marcher dans les deux sens, que là même si ils n'étaient que deux, il y avait la tribue, les proches et que se lourd fardeau soit t'il pour celui qui le trouve telle qu'un fardeau pèse plus encore que les maux du coeur.

Kik'toha s'approcha de Ean’muä, et posa sa main sur son épaulle. Peut être n'aurait-il du ne pas faire ce geste, peut importait. Il lui donna l'arc et son carquois remplis de flêches sans dire un mot, surement que les mots était inapropriés à la situation. Dans un dernier élan, il déccrocha son pendentif et, alors qu'il voulait l'accrocher au coup de la na'vi, il le laissa glisser dans le carquois de la na'vi qui était tellement mal à l'aise qu'il sembla a kik'toha que Ean’muä n'avait remarqué se présent.

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Je voulu aller chercher mon arme mais cette idée due apparaître dans mon esprit quelques secondes trop tard. Kik’toha était là, juste à quelques mètres devant moi, je ne savais plus trop où j’en étais et je me demandai comment il avait fait pour aller si vite. Jusqu’à lors j’étais restée immobile pour des raisons qui m’échappaient. En vérité je crois que je l’avais écouté, ce « attends », qui bien qu’il eut l’apparence d’un ordre était tout ce qu’il y avait de plus pieux. Oui, une prière, j’en aurais sûrement besoin ce soir même. A ces mots il s’approcha davantage, et posa la main sur mon épaule tout en me tendant mes affaires.
Tout en feignant de ne pas être touchée par ce geste, je mettais l’arc et le carquois en bandoulière et regardai Kik’toha dans les yeux. J’aurais aimé qu’il comprenne ce que je ressentais à cet instant présent, cependant je n’étais même pas certaine de les comprendre moi-même. Je posai ma main sur la sienne qui était sur mon épaule, baissai les yeux et tournai les talons dans une direction encore aléatoire et que j’aurais tout le temps de choisir une fois loin d’ici. Je devais réfléchir mais mon cœur m’en empêchait, je voulais plus de temps :

- « Je suis désolée… »

Afin de partir je fis glisser la main de Kik’toha le long de mon épaule tout en l’accompagnant de la mienne. Je sentis au moment de mon départ un léger accroc, je n’y prêtai alors aucune attention car je cru que c’était mon ami qui essayait de m’empêcher de partir. Pourquoi fallait-il que les choses les plus simples deviennent les plus compliquées… Oui j’étais désolée de le laisser ainsi, désolée de ne pas pouvoir mettre des mots sur ce qui me chamboulait tant. Désolée de beaucoup de choses en réalité.
Je m’éloignais alors avec la ferme intention de rentrer chez moi, n’en parler à personne et taire cette histoire. A partir de maintenant j’allais tenter d’éviter Kik’toha, pour son bien, pour mon bien. J’avais envie de rester, j’avais envie… Mais parfois l’on ne fait pas tout ce que l’on veut. Je me sentais investie d’une mission tacite, une mission qui m’était alors encore inconnue bien que j’en sentis la présence tout au fond de mon être. Tout cela ne devait pas se savoir, ce sentiment interdit pour un ami ne devait jamais voir le jour de demain. Je devais m’éloigner de lui afin qu’il disparaisse de ma tête et de mon cœur pour y revenir dans un étant de sainteté irréprochable. Avant de disparaître dans la nature, j’essuyais une larme dans le coin de mon œil, ne savant pas combien de temps ce petit manège durerait.

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Dernier post pour moi, merci Kik'toha, on s'en refera un à l'avenir =)

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kik'toha resta seul, sur le bord du lac, le regard dirigé vers la direction où la na'vi était partie, avec ses doutes et ses questionss sans réponse. Elle ne s'était même pas retourné, pasmême un geste. Pourquoi l'avait-il repoussé? Pourquoi nigner les sentiments de son coeur et le repousser de tel sorte? Kik'toha resta un long moment, a méditer sur ces questions.

Le coeur lourd de chagrins, il s'assit sur le rocher qui les avaient tant permis de se proteger du vent, où il s'étaient rapprochés davantage pour au final se quitter. Il essuya la larme sur sa joue même sii elle en annonçait d'autre. Les chose ne se passait pas du tous comme il le penssait ou comme il l'avait prévue. Mais aurait-il put prévoir cela? La vie n'avait pas fait de cadeau à Kik'toha et il n'en attendait pas plus mais pourquoi, alors qu'il était à deux doights du bonheur, la vie en à décidé autrement. il repensa à ses derniers mots" je suis désolé". Mais de quoi être désolé, En fin de compte, se n'était pas de sa faute mais de la sienne. Peut-être n'aurait pas t-il du être aussi insistant. Kik'toha, l'espace d'un instant, se demanda si ceux qui venait du ciel avaient aussi se genre de problème avec leur "ame soeur".

Maintenant, il était seul, face à lui même et il n'épèrait pas avoir la visite de Ean’muä mettrait des distances entre eux. La seul amie digne de confiance et de coeur lui tournait le dos et il se retrouva seul, avec sa solitude que personne au monde ne put imaginer.




HJDR:Avec plaisir pour un future Rp, les tiens sont très agreables a lire. Dernier post aussi.