Initiation entre chaman [ Zirina et Anderson ]

Invité

Une nouvelle journée commençait pour le clan de la flûte bleue, le soleil se levait lentement et l'imposante ombre du Kelutral s'étendait dans la forêt. Un vent doux et sec soufflait sur la région, de tout part on pouvait entendre le cri des divers créatures de Pandora.

Le clan Omaticayas s'activait peu à peu, les chasseurs s'engouffraient dans la jungle pour ramener du gibier, les cueilleurs marchaient sereinement vers les plaines et clairières pour trouver des fruits. Les enfants couraient et jouaient au pied de l'énorme arbre, sous la surveillance de plusieurs Na'vis qui tissaient.

Zirina avançait tranquillement parmi tout ce bon monde, elle se dirigea sans hâte vers la rivière qui coulait paisiblement non loin d'ici. Lorsqu'elle y arriva, elle s'agenouilla devant le cours d'eau et se rafraichit le visage pour se réveiller, se mettre en forme pour la journée. Elle retira le bandage, qu'elle portait toujours à l'épaule à la suite de sa blessure, pour voir comment progresser la cicatrisation.
Elle fut surprise de voir que la plaie s'était déjà refermée, le baume appliqué par Tsu'ka était d'une merveille d'efficacité. Il faudra qu'elle aille lui demander si elle connait d'autre astuce aussi extraordinaire. Elle retira donc définitivement le bandage et nettoya avec de l'eau clair et pur l'endroit où se trouvait auparavant une vilaine blessure. Quelle plaisir de pouvoir à nouveau rebouger son épaule en toute liberté, sans sentir une terrible douleur à travers celle-ci.

Aujourd'hui, elle devait initier à ses coutumes, un marcheur de rêve du nom de Mokri. Même malgré les réticence de sa meilleur amie et de son partenaire, Mo'at avait tachait Zirina de le préparer à leur coutumes. Zirina avait lu la sincérité dans le regard de Mokri, elle espérait seulement ne pas s'être trompé à son sujet. Elle lui avait justement donné rendez-vous près de la rivière pour commencer. Ils en avaient discuté tout deux hier avant de rejoindre leur hamac.

Il se réveillé, la nuit n'avait pas était bien, longe... les calmants, n'avait pas vraiment aidé à se reposé. Mais, il avait réussit à dormir quelque heures, 5 heures ? Peut-être au mieux. Il se leva, et décida qu'une douche le réveillera. Une fois sec, il ouvrir son, PDA, et jeta tout les messages, inutile de sa boîte, il garda que deux rapport, et une lettre des nouvelles consigne du directeur. Il avala un verre de lait, manga, un morceau de bœuf séché. Il ne fit pas attention d'où il pouvais bien, venir, et qui l'avait mit dans le frigo...

Puis il se jeta dans son incanteur, après avoir avaler quatre comprimés...

CONNEXION AVATAR

Il ouvrit les yeux, la douleur disparu, enfin, elle était là, mais il ne la sentait pas vraiment, il l'oubliait. Il regarda son hamac, y sortit avec précaution. Il regarda, comment descendre de son arbre avant de bouge, et soupira, en constatant la hauteur qui devait descendre...

Une fois en bas, il chercha des yeux, la rivière, où Zirina lui avait donné rendez-vous. Il se glissant entre les Na'vi, laissant sa queue suivre son mouvement, en l'aidant à ne pas bousculé quelqu'un. Il arriva devant le Kelutral, et chercha la rivière qui doit coulé non loin de là. Il fit par la trouver, grâce au bruit de l'eau, que par le paysage. Il vit que Zirina l'attendait déjà, il as du mettre un certain temps pour venir ici. Il la salua, suivant le geste à la parole :

"Oei nagati kameie ma Zirina."

Il observa l'endroit, et remarqua qu'elle avait toujours son boomerang et son PDA. Il sourit, il semblait toujours en parfait état. Il ne fait ou dit rien, pour les récupérait, il attendit la suite des événements, que va telle décidé de faire.

Invité

Zirina était accroupie au bord de la rivière, attendant son élève. Des bruits de pas lui firent dresser une oreille, elle se retourna et constata que Mokri venait d'arriver, il la salua:

_Oei nagati kameie ma Zirina.

Elle se leva et s'approcha de lui en lui disant:

_Oei nagati kameie ma Mokri. Bien dormis ?

Elle s'empara du PDA et du boomerang, qu'elle avait garde attaché à son pagne. Elle tendit le tout à Mokri en lui disant:

_ Tiens je te rend tes affaires. Ton arme en bois tu pourras la garder, mais la petite boite grise risque d'être endommagée si elle est fragile. Tu devrais la laisser à l'arbre maison, si tu le souhaites la prochaine fois. Aujourd'hui, avec ce qu'on va faire, tu ne risque pas de la casser.

Une fois lui avoir remit les deux objets, elle l'invita à la suivre. Ils traversèrent tout deux la rivière au niveau d'un gué et s'engouffrèrent dans la forêt.

Après environ dix minutes au pas de course, ils arrivèrent dans une petite clairière. Celle-ci comportait quelques arbres qui s'élevaient parmi des herbes d'un bon mètre de haut. Il y avait de l'autre côté, près de la lisière de la jungle, un groupe de Yerik qui broutaient paisiblement.

Zirina avait deux arcs simple autour de la taille, elle en enleva un et le tendit à Mokri, elle annonça le but de l'entrainement:

_ Voilà, j'ai remarqué que tu parlais très bien le Na'vi, inutile donc que je t'enseigne notre langue. J'avais prévu, pour aujourd'hui, de faire du combat au corps à corps et tu tir à l'arc. Je pense que pour la maitrise des armes de mêlé, il est un peu tôt, à moins que tu te sentes prêt.

Elle s'avança avec lui et s'arrêta à environ vingts mètres d'un arbre, elle poursuivit:

_On va de toute manière commencer par le tir, je vais faire une démonstration regarde et analyse.

Le tir à l'arc n'était pas le point fort de Zirina, mais elle se débrouillée quand même bien. Elle prit son arc, arma une flèche, écarta bien ses jambes pour avoir un appui stable. Elle brandit son arc en gardant le buste bien droit, elle visait avec son œil droit, l'autre étant masqué par ses cheveux. La flèche s'envola donc et se planta avec force dans le tronc de l'arbre. Elle s'éloigna de son poste de tir et dit à Mokri:

_ A toi maintenant. Soit bien stable et surtout ne retiens pas ta respiration, c'est une erreur à ne pas faire.

L'arc à la main, elle observa Mokri se préparer pour sa première séance. Si il venait tout juste de découvrir ce nouveau corps, il fallait mieux ne pas en demander trop au début.

_Oei nagati kameie ma Mokri. Bien dormis ?

Anderson sourit à Zirina, il allait lui répondre qu’il n’avait pas trop mal dormit. Mais elle lui tendit son PDA et son cher boomerang. Elle lui donna un conseil, elle lui suggéra de laissait en sécurité son PDA, « la petite boite grise ». Mais elle accepta qu’il garde son arme en bois. Il en fut contant, il plaça son PDA dans son étui et son boomerang qui plaça à sur la ceinture de son pagne. Il lui répondit rapidement en Na'vi :

["J'ai réussi à dormir ce qui faut..."]

Puis Zirina, lui fit signe en Na’vi de la suivre. Il vit rapidement, qu’ils vont traverser à gué la rivière. Il apprécia le contacte de l’eau tiède s’écoulant sur ses jambes. Depuis quand il n’avait plus travers une rivière comme cela. Il jeta un rapide coup d’œil sur les rives et sur la surface de l’eau, la crainte d’un crocodile, lui revient. Mais il se rappela qu’il était sur Pandora, et qu’il était aussi grand, que les grands mâles des rivières d’Australie. Anderson sortit de l’eau rassuré, il conclue rapidement que sur cette planète, il garda ce réflexe qui pourrait lui sauvé la vie. Il fit par suivre Zirina dans la forêt.

Quand il fit qu’elle se mit à courir, il grogna, et sa jambe. Mais, il n’était pas dans son vieux corps humain. Il soupira et suivit comme il put la jeune Na’vi. Il s’arrêta de courir au bout d’une quinzaine de minutes. Il avait entraîné un peu ce corps, mais ce n’avait fait que de lui éviter plusieurs crampes. Il n’était pas encore au même niveau physique que les Na’vi. Il jeta un coup d’œil où Zirina les avaient emmenée. Une clairière, avec des hautes herbes. Il semblait qu’un groupe d’herbivore, il était assez long et ne put les reconnaître avec certitude, des hexapedes…

Puis Zirina enleva deux arcs qu’elle portait jusque là à la taille. Elle lui tendit l’un d’entre eux. Puis l’éclaira quand à la marche à suivre quand à la raison de ces arcs. Il l’écouta :

_ Voilà, j'ai remarqué que tu parlais très bien le Na'vi, inutile donc que je t'enseigne notre langue. J'avais prévu, pour aujourd'hui, de faire du combat au corps à corps et du tir à l'arc. Je pense que pour la maîtrise des armes de mêlé, il est un peu tôt, à moins que tu te sentes prêt.

Il sourit devant le comprimant. Il parlait très bien, le Na’vi, c’était un peu grâce au Dr Augustine qui lui avait apprit. L’avantage d’être un cadre de la RDA, et de s’intéresser au programme « Avatars » avant cette deuxième colonisation. Quand elle lui annonça le corps, à corps, il prit un peu peur, ce n’était plus de son âge, mais bon, cet Avatar doit bien s’y entraîner. Elle parla de tire à l’arc, ça c’était plus dans ces cordes, il sait déjà très bien, visée, et le boomerang c’est plus compliqué que l’arc, à cause de sa trajectoire courbe. Il devra juste faire attention à désapprendre tous les automatismes liés à cette trajectoire spéciale. Elle se dirigea vers un arbre, se passa à vingt mètre de celui-ci, il se mit non loin d’elle. Puis elle lui annonça qu’elle lui fait une démonstration avant, et qu’il doit tirer les infirmations pour manier l’arc. Cette traduction était un peu vague, mais il comprit ce qu’il devait faire. Il nota sa position. Il sourit en la voyant visé avec un œil, l’autre étant recouvert par ses cheveux. Quand elle tira, il suivit la flèche qui se planta dans le tronc de l’arbre. Il tapa son torse avec son poing, une manière chez son clan de félicité l’habilité de quelqu’un. C’était surtout les jeunes qui l’utilisé. Il ne savait comment un Na’vi interprétera ce geste…

Il ne se posa pas la question, car Zirina l’invita à tirer à son tour, en lui donnant un conseil sur sa respiration. Il acquiesça. Puis arma, son arc d’une flèche, il imita la position de Zirima, mais l’adapta finalement à celle qu’il utilisé pour lancer son boomerang. Il tendit la corde, regarda l’arbre, il n’était pas vraiment motivé pour tirer sur l’écorce du végétale, surtout qu’il n’y avait pas de cible. Il jeta un coup d’œil au vent, assez faible. Il allait tirer sans grande motivation, quand il vit un gros fruit, à la coque dure dans le feuillage de l’arbre. Il sourire aux performances de ce nouveau corps. Il visa la tige du fruit, et se décalant très légèrement pour tenir compte du petit vent, tira. La flèche fit une trajectoire droite, avec un léger tangage avec le vent. Et elle coupa la tige de justesse, et retomba au sol, quelques secondes après le fruit. Il dit simplement en Na’vi :

[« Voilà, notre petit-déjeuner, si c’est un fruit mangeable (Utu’Tsun yom, ma) Zirina.»]

Il partit chercher le fruit et le tendit à Zirina avec sa flèche.

Invité

Mokri se mit en place et visa longuement l'arbre proche. Zirina ne comprenait pas ce qu'il faisait, il visait beaucoup trop haut pour atteindre l'écorce. Lorsque la flèche s'envola et sectionna la tige d'un fruit dissimulée par les feuillages. Mokri alla chercher le fruit et sa flèche et l'apporta en souriant:

_Voilà, notre petit-déjeuner, si c’est un fruit mangeable (Utu’Tsun yom, ma) Zirina

Zirina lui sourit, un peu surprise d'un côté, il tirait très bien à l'arc. Sans doute il avait déjà manié une arme semblable sur sa planète. Elle s'empara du fruit et lui dt toujours avec le sourire:

_ Merci, ce fruit est comestible. On va pouvoir faire une pause pour déjeuner.

Il est vrai que ce matin, elle n'avait pas eu le temps de manger pour cette journée qui allait être assez sportive. Elle s'assit dans l'herbe fraiche et invita Mokri à faire de même. Elle prit une des dagues qu'elle portait dans le dos et s'en servit pour retirer la coque du fruit. L'intérieur de celle-ci contenait une sorte de chair mauve. Elle en découpa un morceau et le tendit à Mokri, puis elle en prit un autre et se mit à le manger. La chair était juteuse, remplit d'une eau sucrée très fraiche, elle dit alors:

_ C'est un des mes fruit préférés.

Après s'être reposé et bien retapé, elle se releva et invita Mokri à la suivre:

_ Bon le combat au corps à corps, c'est encore un peu tôt, on va plutôt faire du pistage.

Elle se mit à courir à travers les hautes herbes créant ainsi un sillage sur son passage. Elle avait une dague à la main, un prédateur pouvait très bien être là en embuscade. Ils s'approchèrent tout deux d'un point d'eau, il y avait de nombreuses traces dans la boue. Elle s'accroupit et annonça ce qui allait se passer ensuite:

_Très bien, tu sais déjà tiré à l'arc, parler notre langue. Alors je voulais savoir si tu savais suivre une piste? Si tu ne le sais pas, ce n'est pas grave, je te montrerait.

Mokri répondit au sourire de Zirina, par un sourire. Quand elle lui annonça que le fruit était mangeable, il sourit de plus belle. Il la regarda s’assoir, il l’imita quand elle lui indiqua de faire de même. Il la regarda ouvrir le fruit avec une dague en silex. Elle lui tendit un morceau de chaire mauve. Il le prit est la regarda manger avant d’avaler le sien. La chaire du fruit était juteuse, sucrée, légère, et très rafraîchissante. Il prit un autre morceau. Il fut agréablement surprit quand elle lui dit que c’était son fruit préféré. Il fini sa part, et se leva. Zirina lui annonça la suite du programme. Elle lui propose de pister un animale. Il est intriguée, sait pratiqué la traque, n’est pas le plus doué de son clan long de là. Mais sur Pandora, il ne connaît pas les traces que laissent les différents membres de la faune local.

Zirina s'élance la dague la première dans les hautes herbes. Anderson la suit, et garde son arcs à la main, une flèche dans l'autre. Il jeta de furtif coup d'œil autour de lui. Les hauts herbes pouvaient cacher des prédateurs d'une taille non négligeable. Il se calmant quand ils arrivèrent tout les deux à un point d'eau. Il remarqua beaucoup de piste d'animaux, qui devait venir là pour boire. Elle s'accroupir, et lui dit :

_Très bien, tu sais déjà tiré à l'arc, parler notre langue. Alors je voulais savoir si tu savais suivre une piste? Si tu ne le sais pas, ce n'est pas grave, je te montrerais.

Il accroupie lui aussi, et chercha une piste dans la multitude de traces qui se recouvré ici. Il remarqua des traces d'un petit animal, ils étaient récente. Il les suivent en marchant rapidement, il s'arrêta quelque fois pour être sur de suivre la même piste. Il revient deux fois en arrière, car des enrochements avait coupé la piste et il n'était plus sûr de la forme des traces, ne connaissant pas l'espèce qui l'avait faite. Il fessait aussi attention à ne pas tomber sur un prédateur cacher dans les fourrées. Il s'arrêta à une rivière, et soupira, et se tourna vers Zirima et lui dit :

"Voilà, on continu, ça risque de durait longtemps, car l'animal à due franchir la rivière. Et il doit déjà être loin."

Anderson n'avait pas vu, la petit harde d'Equidius brouté non loin de la rivière, et qu'ils laissaient la même trace de sabot que la piste que Mokri'utral'taw avait suivit depuis le point d'eau prés de la clairière.

Invité

Après avoir dit à Mokri ceux qu'il devait faire, celui-ci se donna pour but de traquer un animal qui laissait de petite trace de pas. Zirina reconnut les traces comme celle faite par les Pa'lis, mais elle ne le dit pas à Mokri. Il devait être parfaitement autonome. A deux reprises, ils eurent à faire marche arrière pour vérifier les traces. Ce n'était pas si grave, pensait Zirina, il ne connaissait pas les différents type de traces qu'il pouvait trouver et encore moins les associer à un animal.

Après une dizaine de minutes de traques, Mokri perdit la piste dans le lit d'une rivière. Il fit face à Zirina et lui dit l'air déçu:

_Voilà, on continu, ça risque de durait longtemps, car l'animal à due franchir la rivière. Et il doit déjà être loin.

Zirina lui sourit, il n'avait pas remarqué le troupeau de Pa'li qui broutaient paisiblement de l'autre côté de la rivière:

_ Tu t'en es très bien sorti, l'animal que tu pistait est juste là, de l'autre côté de la rivière. Je t'apprendrais à connaitre les traces que font chaque créatures. Pour l'heure on va rentré, mais il faut d'abord ramené de la nourriture, suit moi.

Zirina avait repéré un regroupement de Yerik en aval de la rivière. Elle longea le court d'eau en faisant bien attention à avoir le vent de face. Elle se faufila parmi les hautes herbes et s'empara de son arc pour armer une flèche.
Elle repéra un Yerik qui s'était inconsciemment éloigné du troupeau. Elle brandit son arc, visa longuement, puis la flèche s'envola et alla frapper l'animal en plein cœur qui s'effondra sans un bruit. Le reste du troupeau s'enfuit paniqué.
Zirina se rendit rapidement au chevet de l'animal et récita bien fort la prière pour que Mokri l'entende, une fois terminé elle lui dit:

_Tu connais peut être déjà nos coutumes, mais je te l'annonce quand même. Lorsqu'on tue une créature de notre mère, on doit faire une prière pour le repos de son âme dans Eywa. Bon maintenant je vais te montrer comment extraire la chair, on doit se dépêcher, l'odeur du sang va attirer les prédateurs.

Elle prit une des ses dagues et se mit à découper soigneusement la chair du Yerik. Elle déposa les pavés de viande dans une large feuille que Mokri refermé ensuite. En dix minutes, elle avait retiré un bonne partie de ce qu'elle pouvait. Il lui était encore possible de faire mieux, mais elle sentait que des prédateurs approchaient. Il fallait mieux qu'il est déjà une proie, au lieu que Zirina et Mokri n'en deviennent.

Il rentrèrent alors au Kelutral, le voyage de retour s'était fait sans encombre. Mokri déposa la viande près d'un foyer pour que les femmes la cuisine. La journée était déjà terminé, Zirina ne l'avait même pas vu passé.

Anderson regarda Zirina, il semblait qu'il avait négligé qu'elle que chose qui faisait sourire Zirina. Elle l'informa rapidement de ce qu'il avait oublier :

_ Tu t'en es très bien sorti, l'animal que tu pistait est juste là, de l'autre côté de la rivière. Je t'apprendrais à connaitre les traces que font chaque créatures. Pour l'heure on va rentré, mais il faut d'abord ramené de la nourriture, suit moi.

Anderson nota l'information, il jeta un coup d'yeux aux Pa'li et aux traces sur le sol. Il suivit Zirina qui semblait partir chassé. Puis il la laissa avancée vers sa proie. Il semblait qu'elle avait un Yerik, comme cible. Il la regarda visé sa proie avec son arc. Cette attaque fit furie le troupeau de ses animaux très peureux. Il s'approcha de Zirina, pour savoir s'il pouvait l'aidé. Il regarda Zirina récité une prière en Na'vi, il comprit le contexte et les intentions, lui-même fit une petite prière pour l'esprit de l'animal. Puis il écouta Zirina :

_Tu connais peut être déjà nos coutumes, mais je te l'annonce quand même. Lorsqu'on tue une créature de notre mère, on doit faire une prière pour le repos de son âme dans Eywa. Bon maintenant, je vais te montrer comment extraire la chair, on doit se dépêcher, l'odeur du sang va attirer les prédateurs.

Il acquiesça, d'un mouvement bref de la tête, en Na'vi. Puis il aida Zirima à recueillir la chaire du Yerik, en rangeant les morceaux que Zirima lui donné dans des feuilles. Ils eurent finit en quelques minutes, il restait de la chaire sur la proie mais Zirima semblait préfète laisser la proie aux charognards, que de la défendre ça proie.

Il rentrèrent alors au Kelutral, le voyage de retour s'était fait sans encombre. Mokri déposa la viande près d'un foyer pour que les femmes la cuisine. Il semblait que son jeune corps d'Avatar était bien épuisé par cette journée. Anderson se tourna vers Zirina et lui souhaita une bonne nuit, lui partit dans son hamac, et ne trouvant pas encore l'envie de se déconnecté de son Avatar, lut les quelques dossiers qu'il avait choisit sur son PDA.

Fin de la Première initiation J+2

Invité

Une nouvelle journée consacré à la formation de Mokri. Aujourd'hui, Zirina avait prévu un peu de course dans les branches et lui enseigner les divers marques laissées par les animaux de Pandora. Le temps de cette journée n'était pas terrible, le ciel était couvert d'épais nuage gris. Il y avait eu une belle averse pendant la nuit, et quelques gouttes tombaient encore du ciel à ce moment. Ceci allait rendre les branches humides et donc glissante. Elle espérait que Mokri ne ferait pas de chute, ça peut-être fatal si on ne sais pas bien se rattraper. Elle resterait proche de lui, au cas où elle devrait le retenir pour éviter une chute.

Avant toute chose, Zirina devait se réveiller, la soirée d'hier avait été éprouvante avec cette fête en son honneur pour être devenue Tsah'ik et en l'honneur de Tsu'ka, sa meilleur amie, devenue Olo'eyktan. Bref, elle avait abandonné sa large et encombrante tenue de Tsah'ik pour sa tenue habituelle. Ça risquait de poser problème de courir avec une telle tenue. Elle se dirigea vers un arbre qui avait des feuilles en forme de coupe, elle appuya légèrement sur le bord de la feuille pour boire l'eau pure contenu dans celle-ci. Lorsqu'elle eu assez bu, elle reversa le reste sur sa figure pour se rafraichir et faire disparaitre la mine fatigué qu'elle fessait.

Comme pour la dernière fois, elle attendait Mokri. Elle lui avait donné rendez-vous à la lisière de la forêt, pour une journée riche en apprentissage. Elle avait déjà prévu tout un parcours pour faire ce qu'elle souhaitait. Une course d'environ vingt minutes dans les branches, pour ensuite arrivé dans la plaine qu'ils avaient déjà visité. Le fait qu'il y eu une averse allait lui rendre service. Ainsi la terre était bien meuble pour que les empruntes des animaux soit nette.

Anderson Sawyer s’extirpa difficilement de son lit. Il grogna quand il leva avec ses bras sa jambe invalide. Il tendit un bras vers sa boite de calmant, réfléchit et n’y prit qu’un cachet. Il grogna encore plus, en se leva, s’aidant de sa canne. Il boita difficilement vers la petite cantine du labo avancée. Il ouvrir le frigo et prit la brique de lait s’y trouvant. Il versa le tout dans un grand verre, et le bue d’un trait. Il regarda la table se trouvant dans la pièce exigüe, des fruits de Pandora s’y trouvaient un peu par magie. Il sourit, repensant à une parole de Bob, Il avait promit de trouver de quoi se nourrie sur cette planète, autre que les boites de conserves de la RDA. Anderson prit un des fruits, Et il fini par oublier sa douleur, tellement le goût lui rappela sa vie dans son Avatar. Il sentit même l’impression de dormir dans le hamac où il avait laissé son Avatar.
Il passa devant un miroir dans sa salle d’eau, et y regarda son visage, sa barbe n’était pas encore trop longue. Il décida de reportait sa coupe, mais choisit de se rafraichir avec de l’eau froide. Il se déshabilla et se jeta sous la douche, puis y ressortit quelques secondes plus tard. Il s’habilla avec les mêmes vêtements. Et boita lentement vers son incantateur. Il fit un signe à Tom qui rentrée lui aussi dans son incantateur. Il s’allongea dedans, dans un mouvement qui commencée à être une habitude. Puis referma le tout, il avait préprogrammée la machine, il ferma les yeux…

CONNEXION AVATAR
J+5

Il leva son corps du hamac, la fête avait laissé des traces sur son Avatar. Il se dirigea vers un arbre à eau, Paywll. Il fit pencher une feuille et y but longuement l’eau. Un Na’vi le regarda, assez troublé par le fait qu’un marcheur de rêve, à faire comme eux aussi rapidement. Il lui sourit et le saluât rapidement. L’autre lui répondit rapidement, puis lui aussi se servie à l’arbre à eau. Il semblait voire Zirina pas loin de là. Il prit un fruit non loin de là, qui était a porté de main, et s’en servit pour son petit déjeuné. Puis enfin il se dirigea vers les lieux de rendez-vous avec Zirina.
En marchant vers la forêt, il remarqua que le sol était humide, il avait plu cette nuit ? Anderson vit Zirina non loin de la forêt. Il se plaça devant elle, et vit qu’elle ne portait pas sa tenue de Tsahik, surement qu’ils allaient réaliser des exercices physiques où la tenue de Tsahik serait gênante. Il la salua, peut—être avec un soupçon de respect supplémentaire. Il dit en Na’vi :

« Oei nagati kameie ma tsahik Zirina. »

Il ne savait pas comment l’appeler et avait décidé de faire un mixte. Il avait aussi pensé qu’elle ne serait pas là, mais aurait envoyé un Na’vi le formé. Il était contant qu’elle était venue malgré tout, pour une raison qu’il ignorait, encore. Il se douté que c’était un peu de l’arrogance, il était chaman, et pensé que c’était normal que c’est une Tsahik le formé. Il compatit cette pensée, pas très sage, mais savait qu’il avait autre chose. Il avait prit l’arc que Zirina lui avait donnée, les quelques flèches qu’il avait encore, et son boomerang. Il portait toujours son amulette autour du cou, mais avait délaissé, plusieurs colliers, qui considéraient comme une tenue un peu trop riche. Il avait décidé qu’il ne porterait tout ces bijoux, et autres ornements chamaniques, pour les fêtes.

Invité

Zirina vit Mokri s'approcher de lui, il la salua avec respect:

_Oei nagati kameie ma tsahik Zirina.

Elle était un peu gêné par tant de respect envers elle, mais il fallait qu'elle s'y fasse en tant que Tsah'ik. Elle lui répondit:

_Oei nagati kameie ma Mokri. Mais s'il te plait, appelle moi juste Zirina quand on est ensemble pour la formation. Les anciens m'avaient demandé de passer ton initiation à quelqu'un d'autre, mais j'ai refusé. Je suis honoré d'être devenue Tsah'ik, mais je préfère encore pouvoir me dépenser physiquement. Je me vois mal passer la journée à l'Arbre maison.

Elle se mit à rigoler, il est vrai qu'elle n'aimait pas trop l'idée de rester "inactive", elle avait besoin de bouger. C'est pour cela qu'elle avait refusé de passer le flambeau, mais il y avait également une autre raison, qu'elle ne comprenait pas, qui vint s'ajouter à la première. Enfin bref, elle annonça à Mokri le programme de la journée:

_ Bon, on va faire un peu de course dans les branches, on en fait vingts minutes. On fait une pause entre temps si tu le souhaite. Ah, les branches sont mouillées à cause de la pluie soir prudent. Ensuite, on ira voir les différentes traces laissées par les animaux. J'oubliais bravo pour le chant hier soir, j'étais impressionnée.

Elle lui tendit un sourire et se mit à escalader un arbre pour y rejoindre les hautes branches. Elle y allait doucement, pour bien montrer à Mokri, les prises qu'elle utilisait. Une fois arrivé en haut, elle se mit à courir avec agilité sur les larges branches couverts de verdure. Elle ne courait pas trop vite pour le moment pour laisser le temps à Mokri de s'habituer à la course sur les branches, de prendre de bon appuis et de savoir se servir de sa queue pour s'équilibrer.

Anderson était contant d’être à nouveau dans son Avatar. Faut dire aussi que lui dormait bien, et qu’il avait fait la fête toute la nuit, hier. Zirina était gêné qu’il l’appel Tsahik. Et voilà, il y a respect des traditions et leur stricte application. Zirina d’ailleurs était plus pour une certaine souplesse quand il était ensemble. Mokri le comprit c’était pour qu’ils se fassent confiance, mutuellement. Il apprécié cela, mais éprouvé encore de la réticence, il n’avait pas souvent l’habitude de cela. Mais c’était essentiel pour son apprentissage et l’évolution de son Avatar. Quand elle l’informa qu’elle avait conservé son apprentissage, contre l’avis des Anciens, pour pouvoir se défoulé physiquement, il ne put s’empêché de sourire. Enfin, il imaginé que les anciens n’avait pas fait trop de difficulté au vu, de la soirée passé. Il ne put juste s’empêchait de répondre après qu’elle est laissée cours à son hilarité :

« Srane, ma mawm tsahik, oei ngengati sayaw pxel ’awpot nuyew»
[« Oui, Noble Tsahik, je vous appellerais comme vous le voulez.»]

Il fit un sourire taquin, en s’inclinant jusqu’à embrassé le sol devant Zirina. Dire qu’il semblait copier son frère là, pauvre Tom. S’il savait… Puis il se concentra comme Zirina d’ailleurs. Elle lui annonça le programme. La vie d’un nouveau Avatar, c’est pire qu’un club de gym, ou alors un club de gym pour bébé. Et tu es le bébé. Cours dans les branchages, par temps humide, attention sa glisse. Et voilà, j’ai chanté, j’ai du me tromper avec le chant de la pluie quelque part… Bon, je prendrais sûrement la pause, enfin on fera ce qu’on peut. Puis enfin, un cours sur le pistage, je sais déjà ce que laisse comme trace les Pa’li, c’est déjà un bon début. Le compliment, il vient qu’à la fin… Il dit juste :

[«Merci, ça m’a ravivé la mémoire. On ne le chante plus assez sur Terre, et on n’est plus beaucoup à s’en souvenir.»]

Anderson mit en marche Mokri’Utral’Taw. Il suivit avec précaution Zirina, pendant l’escalade, il s’érafla les mains, qui n’avaient pas encore beaucoup de corne et de cales. Mais il grimpa rapidement grâce à Zirina qui lui montré les prises qu’elle utilisait. C’était pratique, ne connaissant pas assez sa force et son poids, il risqué de choisir des prises trop fragile, ne pouvant supportait son poids. Il était un peu essoufflé une fois qu’ils étaient arrivés en haut, Zirina était repartit de plus belle courant sur les branches, changeant avec agilités d’appuis et sautant de l’un à l’autre avec aisance. Elle prenait son temps pour le laissait suivre sans trop de problème. Il soupira, et s’élança après elle, il s’arrêta plusieurs fois, un peu craintif. Il faillit chuter quelques fois, mais son instinct de chaman avait rapidement prit le contrôle de son équilibre avec sa queue.

Il suivait comme il pouvait Zirina, et ce disait qu’une bonne course comme ça de vingt minute en augmentant tout les jours, pendant un mois, et il serait aussi bon qu’un Na’vi qui s’était entraîné comme ça pendant son enfance. Et pour lui ça avait un arrière goût de son enfance dans le Bush.

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Zirina courait par petite foulée, elle jonglait habillement avec ses appuis. Choses qu'elle avait eu du mal durant son enfance à cause de sa queue anormalement grande qui l'équilibrait trop. Elle garda une distance minimum avec Mokri, prête à la rattraper si celui-ci venait à chuter. Au fil de leur entrainement, une pluie fine s'intensifia, les branches allait être de plus en plus glissante. Zirina pensa que le moment était venue d'arrêter cet exercice, si le vent venait à se lever, ça deviendrait vraiment dangereux. Elle prit donc une direction particulière pour pouvoir rejoindre le sol. Zirina arriva alors à la fin d'un branche, celle-ci s'arrêtait nette. La Na'vie se retourna vers son élève, ses cheveux étaient tout mouillés, et des filets d'eau de pluie lui coulaient sur le visage. Elle annonça à son élève, en dégageant son front:

_ On va s'arrêter là pour la course, la pluie, mêlée au vent, pourrait rendre cet exercice fort dangereux. On va rejoindre le sol d'une façon assez spécial. On va s'aider de ces plantes.

Zirina pointa du doigt, de nombreuses fleur en forme de coupe rose renversée. Ces coupes contenaient un peu d'eau de pluie, elles devaient faire dans les cinq mètres d'envergure. Elles étaient suspendues à des branches beaucoup plus haut, elles formaient ainsi un escalier vers le sol. Zirina rassura Mokri:

_ Ne t'en fait pas, elles supporterons ton poids. Regarde moi.

Zirina s'accroupit, tel un athlète sur le départ, au bord de la branche. Elle remuait lentement sa queue, elle était en pleine concentration. Le premier saut était le plus dur et le vent, qui faisait osciller les plantes, ne facilitait pas les choses. Quand le bon moment arriva, elle bondit, comme un félin sur une proie, et atterrit sur la plante qui descendit légèrement à son contact avant de remonter, tel un ressort. Lors du choc, Zirina s'affaissa sur elle-même pour mieux l'encaisser.

Elle continua ainsi de coupe, en coupe. A chaque saut, l'eau contenu dans la plante giclait partout lors du saut de Zirina. Elle arriva enfin sur le sol en atterrissant dans une flaque. Elle remit un peu ses cheveux dans l'ordre pour ne pas qu'ils la gêne dans sa vision. Elle leva le nez et regarda où en était Mokri.

Mokri'Utral'Taw suivait toujours le rythme de Zirina. Malgré tout, il commencée à fatigué sérieusement, il avait un ou deux points sur le côté, et surement des ampoules aux pieds, certes rein de très grave, une bonne nuit de sommeil, et son corps sera de nouveau d'attaque. Mais il regardait au si avec inquiétude la pluie tombé de plus en plus fortement sur les branches. Il sentait aussi le vent, soufflé de plus en plus fort. Bien tôt, il n'aura plus le choix que de s'accrocher à la large branche où il était entrain marché en espérant que la tempête passe. Zirina s'arrêta, soudain. Elle se tourna vers lui pour lui annonçais :

_ On va s'arrêter là pour la course, la pluie, mêlée au vent, pourrait rendre cet exercice fort dangereux. On va rejoindre le sol d'une façon assez spécial. On va s'aider de ces plantes.

Anderson fit tourner la tête à Mokri. Il observa rapidement les plantes que lui montrée Zirina. Elle le rassura, rapidement quand il se rendit compte de la hauteur à laquelle, ils étaient tout le deux :

_ Ne t'en fait pas, elles supporterons ton poids. Regarde moi.

Mokri avait quelques doutes, mais Zirina ne lui laissa pas le temps de les formulait. Elle s'élança dans le vide, s'aidant de sa queue. Il la vit tombé, et tombé sur les différents feuilles de la plante et finir par disparaitre de sa vu. Il n'entendit aucun crie et en déduit qu'elle n'avait rien eu. Il s'avança vers le vide, tendit sa queue, regarda sa cible, la feuille où il devait atterrir en premier. Il recula de trois pas, grâce à cet élan, il sauta dans le vide.
Il atterrie rapidement sur la feuille, le vent l'avait légèrement décalé, mais il en avait tenu compte, en gros. Il se laissa glissé, la feuille plia, il était mouillé de partout. Il tomba de nouveau dans une feuille, mouillé encore plus qu'avant,… Puis glissa, tomba, éclaboussé, encore et encore. Il prié la grande Terre mère, de lui venir en aide. Puis Ewya, en repensant au lieu où il était. Et se fut la derrière chute, il se prépara au pire. Mais il tomba dans un étant, soulevant un vague d'eau, éclaboussant les environs, dont Zirina. Lui, il but la tasse, et s'enfonça dans l'étant provisoire, formé par la pluie. Il remonta rapidement à la surface, et nagea vers la berge. Il sortit de l'eau ruisselant d'eau, littéralement. Elle était chaude, mais ce n'est pas une raison de prendre une douche en pleine nature. Il prit sa natte et l'essora comme il peu, vu qu'elle contenait des cellules nerveuses. Il jeta un coup d'œil à Zirina. Et sourit, elle était plus trempée que lui, comme si une cascade lui était tombée dessus.

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Zirina se demandait où pouvait bien se trouver Mokri, elle ne le voyait pas et ceci l'inquiétait. Soudain elle le vit tomber juste devant elle dans une mare crée par la pluie, sous le choc il aspergeât d'eau tout ce qui se trouvait autour de lui, dont Zirina. Elle était déjà bien trempée donc un peu plus ou un peu moins...Tout en rigolant, elle l'aida à sortir de la mare.

Après avoir fait un petite pause, Zirina accompagna Mokri dans la clairière où ils étaient déjà passés. La pluie cessa enfin, le vent tomba et les rayons du soleil commençait à percer les épais nuage gris. Ils allèrent tout deux à la mare au milieu de cette clairière, le sol boueux avait permis de laisser de belle emprunte. Zirina montra à Mokri chaque traces et lui précisait de quel animal il s'agissait. Elle lui fit faire quelques exercices pour voir s'il retenait bien. Zirina lui demandait de parcourir la clairière, de trouver des empruntes et de lui quel animal était passé par là. Cet exercice dura une petite heure, le second consistait à suivre des traces.

Celui-ci se déroula également sans problème. Les deux Na'vis s'assirent alors dans l'herbe encore humide pour se reposer un peu. Zirina regarda avec beaucoup de curiosité le boomerang que portait à la taille Mokri, elle lui demanda alors:

_ Je vois ton objet en bois à la taille. Si je me rappelle bien, tu m'avais dis que c'était un peu près comme une arme. J'aimerais bien voir comment ça s'utiliser, tu pourrais m'apprendre à m'en servir si tu veux.

Zirina avait toujours été très curieuse envers l'inconnu. Après tout, c'était elle qui devait lui apprendre, mais rien n'empêchait qu'il pouvait lui aussi lui enseigner des pratiques qui lui étaient inconnues. Elle avait le pressentiment, qu'ils pouvaient apprendre beaucoup l'un l'autre. Le temps s'y prêtait bien à présent, pas un brin de vent, plus de pluie et un magnifique soleil pour terminer la journée.

Mokri sourit, il sortit de la mare grâce à Zirina. Qui était prit d'un fou rire, il ne put s'empêchait d'éclaté de rire, lui aussi. Il se moquait d'eux deux, ils étaient trempés de la tête au pied. Ils reprirent leur souffle pendant un petit moment. Mokri suivit Zirina vers la clairière où ils étaient déjà venus pour s'entraîner. Une fois arrivée, la pluie cessa et le beau temps réapparu. Mais le sol était encore boueux. Zirina lui montra différente traces laissaient par les animaux de Pandora. Ils étaient prés d'une petite mare, le point d'eau à partir du quel Zirina avait demandée de pisté un animal de son choix. Il avait échoué, ne connaissant pas les différentes traces que la faune de cette lune, laissée dans la jungle. Zirina lui enseigna rapidement, et tester sa mémoire, il du fournir un effort qu'il n'avait pas fait depuis longtemps apprendre, mais son corps était jeune. Et son esprit encore très agile. En outre, il était un chaman reconnu en Australie, et dans d'autre pays. Il fit des efforts, ce n'était pas inutile se qu'il apprenait, il aime toujours chasser de temps en temps et dans ce corps, il aurait de nouveau l'occasion de le faire plus souvent.

Puis elle le laissa de nouveau suivre des traces, il arriva à lui monter un Yerik d'assez prés, en tournant face au vent, pour ne pas effrayer l'animal le plus peureux de Pandora. Puis ils s'arrêtaient pour se reposer. Il s'assit dans l'herbe, profitant de cette pause, son corps se muscler progressivement, mais il avait encore beaucoup de boulot. Zirina lui posa une question qui le surprit :

_ Je vois ton objet en bois à la taille. Si je me rappelle bien, tu m'avais dis que c'était un peu près comme une arme. J'aimerais bien voir comment ça s'utiliser, tu pourrais m'apprendre à m'en servir si tu veux.

Il sourit, et détacha son boomerang de sa taille et lui dit :

"Je vais te monter comment on l'utilise, mais si tu veux apprendre à l'utiliser, tu devras apprendre à le fabriquer."

Il resta un moment pour estimer la force du vent. Puis il lança son boomerang, il décrit une courbe. Anderson tendit le bras et referma la main. Il tenait de nouveau l'arme dans sa main. Il avait lancé l'arme d'un mouvement précis, montrant les différentes étapes à Zirina puis tendit l'arme à la Na'vi :

"Mais pour un essai, je veux bien te le donné, et t'aiderais à l'utiliser. On saura rapidement, si tu est fait pour avoir cette arme."

Il sourit et ouvrit la main, pour inciter Zirina à se saisir du Boomerang. Mokri savait qu'elle ne va pas réussir un bon lancée, tout suite, contrôlé la trajectoire d'un boomerang dans tout les situations demandé une grande expérience. En plus, l'arme était taillée pour lui, pour sa main, et sa taille. C'était une raison, que quand tu apprends à lancée un boomerang tu apprends aussi à le fabriquée. L'arme doit évoluer avec son lanceur, elle vit comme lui, et le bois qui le constitue n'est pas réellement mort dans ce cas. La tradition veut qu'a la mort de son lanceur, le boomerang se brise, ça n'arrive pas souvent, car on l'enterre avec le lanceur, et en résistant des prières spécifiques pour l’esprit habitant le boomerang…

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Zirina fut contente lorsqu'elle vit de Mokri avait accepté de lui monter comment son arme fonctionnait. Il saisit son boomerang qu'il avait à la taille:

_"Je vais te monter comment on l'utilise, mais si tu veux apprendre à l'utiliser, tu devras apprendre à le fabriquer."

_ Merci beaucoup, j'ai hâte de voir ça. Pour ce qui est de m'en fabriquer un, je suis impatiente de l'apprendre. Nous aussi nous devons fabriquer nos propre armes. JE t'apprendrais à faire les tiennes le moment venu.

Mokri lança alors son boomerang en décompensant bien les étapes pour que Zirina les voit et analyse correctement. L'arme en bois s'envola majestueusement dans les airs, puis décrit une courbe et revint dans les mains de son lanceur qui n'eut même pas besoin de bouger. Zirina le regarda et dit avec beaucoup d'étonnement:

_ Ouah, c'est fabuleux. On a pas, à ma connaissance, des armes comme celle-ci.

"Mais pour un essai, je veux bien te le donné, et t'aiderais à l'utiliser. On saura rapidement, si tu est fait pour avoir cette arme."

Mokri lui tendit l'arme de bois, Zirina la prit et tenta de la prendre correctement. Elle essaya de faire le même geste que Mokri lui avait montré. Elle lança le boomerang qui s'écrasa lamentablement à trois mètres devant elle. Zirina se doutait qu'elle ne réussisse pas du premier coup, personne ne pouvait savoir maitriser une arme inconnue dès la première fois. Surtout que celle-ci semblait requérir un haut niveau de maitrise. Elle alla chercher le boomerang en faisant des petits bonds dans l'herbe et en s'aidant de sa queue pour s'équilibrer. Une fois ramassé, elle retourna près de Mokri et fit un second lancé. Cette fois le boomerang s'envola correctement, commença une ascension vertigineuse, mais tomba ensuite comme une pierre dans la plaine.

Ils allèrent tout deux le chercher, Zirina confia à Mokri en chemin:

_ Cette arme semble assez difficile à maitriser, mais ca me plait ce genre de chose. Surtout qu'elle parait plaisante à utiliser quand on sait parfaitement la manier.

Mokri sourit devant la joie d’éprouver Zirina devant le vol de son boomerang. Il était contenant qu’elle apprécie l’harmonie qui se dégage de cette arme. Il avait peur qu’elle ne l’apprécier pas, préférant la puissance et la précision d’une flèche. Ou encore qu’elle soit dédaigneuse envers une arme humaine. Mais Zirina est devenue la Tsahik des Omaticaya pas sans raison.

Il la regarda laver son boomerang, la première fois, n’avait pas était assez franche, ni horizontale. L’arme tomba à quelque mètre de sa lanceuse. Mokri aurait dans d’autre situation rit, mais là il garda facilement le sérieux, se n’était pas un de ses chasseurs qui s’entraîner avec. Mais une Na’vi qui n’avait jamais vu de Boomerangs auparavant, et qui utilisé une arme « alien », pour elle. Mokri la vit persévéré, elle partit ramasser l’arme, et la lançais une deuxième fois. Cette fois, c’était un peu mieux, mais pas mal du tout pour une première fois avec un boomerang autre que le sein. Alors que Mokri suivit Zirina qui allait rechercher l’arme, celle-ci lui révéla :

_ Cette arme semble assez difficile à maîtriser, mais ça me plait ce genre de chose. Surtout qu'elle parait plaisante à utiliser quand on sait parfaitement la manier.

Anderson lui sourit et une fois arrivé devant le boomerang, il le prit, le plaça sur sa ceinture et lui demanda :

"Je pense que tu arriveras rapidement à la manier, peut-être pas parfaitement avant longtemps, mais suffisant pour chasser avec."

Il regarda la clairière, et le ciel, il trouver toujours la géante gazeuse trop prés d’eux. Trop gros dans le ciel, il ne savait pas vraiment dire pourquoi. il se promit de posé cette question à un des astrophysiciens qui l’avait sous ses ordres. Oui, ce n’est comme l’étrange champ magnétique assez puissant pour soulevé des montagnes de roche, mais qui ne crame pas les êtres vivant qui rentrent dedans. Encore que pour le « Vortex », c’est une manifestation d’Ewya, ce n’est peut-être pas un champ magnétique tout simple. Il revint sur la clairière, une harde de Yerik venait de passé non loin d’eux partant se réfugié à l’ombre des arbres pour y chercher de jeunes bougeons nécessaire pour complété leur alimentation. Il regarda Zirina, et lui demanda en Na’vi :

« Ma Tsa’hik, Vous avez prévu quoi pour la suite ? »

Il se résigna à faire subir encore plusieurs exercices physiques à son jeune corps d'Avatar. Mais il en aura besoin pour survivre dans la jungle de cet planète, et ce corps doit bien se musclé un peu, et se dérouillé. Il est jeune en bonne santé, autant qu'il profite de la vie...

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Zirina et Mokri arrivèrent à l'endroit où était tombé le boomerang, Mokri le ramassa pour le remettre à sa ceinture, il enchaina avec:

"Je pense que tu arriveras rapidement à la manier, peut-être pas parfaitement avant longtemps, mais suffisant pour chasser avec."

Elle comprit cela et ça lui plaisait plus qu'autre chose qu'une arme soit difficile à manier. Mokri se mit ensuite à regarder le ciel et plus particulièrement la géante gazeuse qu'on pouvait apercevoir entre les nuages, il semblait bien pensif. Zirina se mit assis dans l'herbe, elle faisait un peu une mise au point sur tout ce qu'il avait vu et vécu ensemble. Puis elle se mit à observer à son tour le ciel, de gros nuages noires s'approchaient d'eux à grandes vitesse.

« Ma Tsa’hik, Vous avez prévu quoi pour la suite ? »

Zirina rigola un peu, elle lui avait dit qu'elle préférait qu'il la nomme par son vrai nom durant la formation, elle répondit alors:

_ J'avais pensé faire une nouvelle course dans les branches, mais je vois qu'un violent orage approche, on ferait mieux de rentrer avant qu'il ne soit sur nous. Ah et n'oublie pas, je préfère Zirina.

Elle se releva rapidement et fit un signe de tête à Mokri pour qu'il la suive. Ils devaient vite rentrer à l'arbre maison avant de se faire saucer. Enfin être mouillée ne dérangeait en aucun cas Zirina, mais un orage est souvent accompagné de vent violent qui peut rendre la promenade en forêt dangereuse.

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